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354 abonnés
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3,5
Publiée le 15 août 2024
Attention, ce film n’est pas à prendre au sérieux. Il suffit de voir la conception du scénario, qui a impliqué les fans, pour comprendre son absurdité. C’est un peu irréel, mais cela donne un beau nanar. On se demande ce qui est le plus ridicule : l’histoire abracadabrante, les effets spéciaux dignes de la belle époque de la SEGA, ou les personnages secondaires, tous plus caricaturaux les uns que les autres ? Ce film est classé en 'Action/Thriller', mais sa véritable place est dans la comédie. Si on joue le jeu, c’est un petit plaisir à regarder. On se demande surtout ce que Samuel L. Jackson vient faire dans ce marasme.
Ne nous cachons pas de la vérité : l'idée, si elle peut sembler originale, arrive très rapidement à un stade où le scénario s'essouffle, parce que des serpents dans un avion, ben...c'est assez peu pour faire tout un film. Samuel L. Jackson n'est pas mauvais, mais est à l'image de ce film : pas terrible.
un nanar mieux que la moyenne grâce Aux effets spéciaux assez réussis des serpents.pour le reste si vous attendez que le scénario devienne crédible ou que les acteurs se mettent à bien jouer vous pouvez toujours attendre.la chose étonnante c'est que ce film a très bien marché au box-office donc ce dernier pourrait se regarder par curiosité mais pas pour une autre raison.
Navet fièrement assumé par David R. Ellis qui ne s'embarrasse pas avec un scénario trop encombrant pour son film. Le synopsis pourrait tenir dans les cinq mots du titre. Un flic noir et des hôtesses de l'air sexy affrontent de vilains serpents dans un avion. Les autres personnages sont de bonnes caricatures et on trouve : un rappeur black agressif mais finalement cool, un gros blanc arriviste et désagréable, des jeunes éphèbes qui s'envoient en l'air dans les WC, etc.
Le film ne cache pas sa nature : c'est un nanar et il le dit dès son titre. Mais il regorge de bonnes idées comme celle de regrouper deux phobies pour le prix d'une (l'avion et les serpents) ou celle d'avoir laissé aux internautes la possibilité de suggérer des scènes gores dont certaines ont été rajoutées dans le film. Mais ces bonnes idées sont largement plombées par un scénario prétexte inutile, des personnages convenus et une tension très mal gérée alors qu'elle aurait pu être un grand moteur du film. On ressent cependant bien l'angoisse des acteurs face à certains serpents qui étaient présents sur le tournage et les morts sont plutôt inventives. Mais cela ne dépasse un grand niveau même si l'on apprécie le "I've had it with these motherfucking snakes on this motherfucking plane !" de Samuel L. Jackson.
Pour éliminer un témoin gênant, des mafieux bourrent un avion de serpents venimeux hyper agressifs. L'idée de base de "Snakes on a Plane" est assez originale, et le film contient quelques rebondissements bienvenus. Mais les personnages et péripéties restent très clichés. Par ailleurs, le côté série B se ressent dans les acteurs moyens (à part Samuel L. Jackson) et les CGI assez laids. Néanmoins, les attaques de reptiles prennent aux tripes, et se révèlent souvent trash mais teintées d'humour. Le film a donc le mérite de ne se prendre qu'à moitié au sérieux.
Là... tout est dans le titre, donc aucune surprise possible ! En effet « Snakes on a plane » est une série B bien déjantée qui marie allègrement deux phobies partagées par quasiment tout le monde... la peur de l'avion et celle des serpents. Inutile de préciser que le scénario tient sur un timbre poste et qu'il ne fait preuve ni d'originalité, ni de la plus petite once d’intérêt cinématographique. Par contre, les serpents sont diablement excitants et ils sont nombreux dans cet avion hermétiquement fermé à 3000 mètres d'altitude. Les morts sont nombreuses, ultra violentes et l'hystérie qui s'empare de l'appareil est particulièrement jouissive. Le casting est également intéressant, même si les acteurs engagés n'ont sans doute pas travaillé leurs cours de cinéma classique. En effet, mené par un Samuel L. Jackson plutôt en forme, il ne se compose guère que de jolies jeunes femmes et de victimes plus ou moins consentantes. Il en résulte un film qui ne restera sans doute pas dans les annales mais qui remplit allègrement son rôle de divertissement. Plutôt marrant en fait !
Je m'en souviens de ce film. Il était déjà connu avant même sa sortie dans les salles de cinéma. Connu après un buzz internet né autour de son titre. « Snakes on a plane ». C'est vrai que comme ça, ça donne pas franchement envie. Et que ça sonne comme un titre de turbo nanar. Jackson lui même ayant déclaré qu'il avait joué dans ce film parce que le titre l'amusait. Alors, venons en aux faits. Qu'en est-il vraiment de ces « Serpents dans l'avion ». Autant le dire d'emblée, on est face à une grosse série B d'action, complètement débile et improbable, mais qui s'assume telle qu'elle est. David R. Ellis, s'est visiblement foutu de pas mal de choses et a simplement voulu se faire plaisir. Peut-on lui reprocher? Oui si son film avait été imbuvable. Et, étonnement, il se trouve que ce film ne l'est pas. Malgré sa colossale connerie. Et puis, même dans le truc le plus débile du monde, Samuel L. Jackson a toujours grave la classe. Ici, il s'amuse, tue tout plein de vilains serpents et prononce même une des répliques les plus connues de la décennie précédente. Les gars, débranchez votre cervelle et faites vous plaisir, c'est tout ce que j'ai à vous dire.
On rigole devant l'énormité du propos et les situations invraisemblables et ce film, qui ne se prend pas au sérieux, est vraiment sympa à regarder. Le divertissement à l'état pur. Cependant, j'aurai mieux compris que ce film de série B sorte directement en vidéo plutôt que dans un circuit de 335 salles en France. Allez comprendre ?
Devant un tel titre on ne peut que deviner le type de films catastrophe aérien comme Airport contenant les clichés les plus connus, mais qui réussit à nous tenir en haleine. Bonne réalisation, et bons effets spéciaux sur les reptiles et bien sûr manque de développement. Avec Jackson dans un de ses rôles les plus connus.
Avec Des Serpents dans l'Avion, je ne vais pas tourner autour du pot : c'est scénaristiquement invraisemblable, visuellement laid (en tout cas, pour les effets numériques), joué sans conviction... En somme, et je pèse mes mots, c'est entièrement con (il n'y a qu'à voir le titre...). Et pourtant, ce nanar se laisse regarder avec un plaisir coupable, parce qu'il est en quelque sorte fun, et notamment grâce à des séquences plutôt désopillantes et énergiques avec les serpents, et surtout que le film ne se prend pas au sérieux. En somme, le film de David R. Ellis (à qui l'on doit Destination Finale 2) arrive à nous livrer un film, certes ridicule, mais qui se révèle être un divertissement de taille si l'on veut s'éclater entre potes avec du grand n'importe quoi.
Comme le dit le titre (qui conviendrait bien à un nanar), dans ce film on va voir plein de grosses bébêtes rampantes dans un avion. Pitch improbable avec contexte improbable, puisque ce lâché de bestioles est mis au point par un mec de la mafia (si je me souviens bien) qui veut empêcher un gars mort de trouille de témoigner contre lui. Une fois qu'on a dépassé la nullité et le simplisme extrême du scénario, je crois que l'on peut affranchir le film de tous ses défauts. On assiste donc à une suite de mise à morts au choix fort amusantes ou jouissives, avec des personnages caricaturaux et débiles mais assez drôles, si bien que le temps passe vite. On ne retient au final (et comme c'était à prévoir) pas grand-chose du film, mais c'est pas grave on s'en tape, de toute façon on n'avait pas regardé le film dans cette optique ! Dispensable mais réellement amusant.
Des serpents dans l’avion ? Oui et alors ? Samuel L. Jackson s’amuse comme un petit fou avec ses joyeuses bêtes rampantes qui sucent les tétons des bimbos comme ceux des vieilles rombières « alcoolos ». Ils sont tellement vicieux ces reptiles qu’ils vont même jusqu’à avaler tout cru la "nouille" d’un idiot venu se la secouer dans les toilettes de l’avion en délire. Comme il s’ennuie un peu avec ses serpents à sonnette qu’il défouraille à coup de pistolet électrique, le bon Samuel va aller prendre la place des deux pilotes trépassés pour faire atterrir le jet avec l’aide d’un geek formé au pilotage assisté sur console de jeu. Dingue je vous dis !!!