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Agnes L.
166 abonnés
1 630 critiques
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3,0
Publiée le 27 janvier 2017
Centré sur les relations entre hommes blancs et indiens, ce western présente une certaine originalité. En effet, ici ce sont les tuniques bleues qui croient en la parole des Apaches, soit disant pacifiques, alors que dans beaucoup de westerns, l'armée ne pense qu'à exterminer les indiens. Et c'est un homme blanc qui a grandi dans cette tribu qui se retrouve être le plus fervent adversaire des Apaches parce qu'il dit bien les connaître. Seulement, il n'est pas écouté alors même qu'il prédit ce qui va arriver... L'histoire est assez simple mais ne génère pas d'ennui car il y a pas mal d'actions.
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2,5
Publiée le 17 janvier 2015
il faut croire que les guerriers apaches dans ce film des 50's prèfèrent affronter l'US Cavalry plutôt que de nègocier! Du coup, c'est du pain bèni pour le rèalisateur Charles Marquis Warren qui nous plonge dans un western honnêtement mouvementè d'après le roman de W.R Burnett! Alors que reste t-il de "Arrowhead" près de soixante ans après sa sortie ? Fragments et souvenirs d'un cinoche américain en plein essor qui vaut par son petit charme entre la sèrie B et le western sans fioritures! Mais surtout l'affrontement de deux immenses acteurs presque dèbutants (Charlton Heston en èclaireur de la cavalerie amèricaine et Jack Palance en chef indien fanatique dètestant les Blancs) qui se battent fougueusement et qui deviendront ce que l'on sait d'eux par la suite! De plus, la chevelure indienne noire et soigneusement entretenue du fascinant Palance fait toujours des ètincelles chez les inconditionnels du genre! Dommage que le duel final entre les deux vedettes tourne finalement court...
Un Western qui a de bonnes intentions mais qui n'est guère passionnant signé Charles Marquis-Warren en 1952 !! Le cinéaste réalise mais était aussi le scénariste, ce film est trop bavard pour ce genre qui demande beaucoup d'actions, de courses de chevaux etc... . Déjà, le personnage principal incarné par Charlton Heston est nonchalant, raciste et dissuade la cavalerie Américaine que les Apaches sont mauvais alors que les politiciens croient en l'alliance, le héros est pathétique avec ses idées et ses remords, Charlton Heston n'a pas l'air à l'aise avec ce role mais il y aura du meilleur pour la suite de sa carrière comme "Ben-Hur" ou "La planète des singes" pour citer ceux que je connais. Seul la fin réveille l'esprit et Jack Palance est excellent en chef Apache mais il y a beaucoup mieux dans le genre Western.
Une agréable surprise que ce Le Sorcier du Rio Grande western que j'ai regardé pour Charlton Heston car il fait partie de mes acteurs préférés, je ne m'attendais à rien de spécial et en effet je n'ai pas découvert un grand film mais Le Sorcier du Rio Grande bénéficie d'une réalisation très vive et l'on rentre rapidement dans l'histoire. Jack Palance fait un méchant savoureux et de plus pour un western datant du début des années 50 Le Sorcier du Rio Grande fait preuve d'une certaine violence.
Curieux. C'est le premier mot qui me vient à l'esprit pour décrire « Le Sorcier du Rio Grande », dont les deux étoiles ne reflètent pas l'efficacité. Car j'ai passé un bon moment devant ce western bien fait et dynamique, offrant même quelques montées d'adrénaline des plus plaisantes. Non, ce qui m'a gêné, c'est cet aspect anti-indiens primaire transpirant quasiment à chaque minute, me posant vraiment problème pour adhérer au récit. Alors OK : Charles Marquis Warren fait l'effort pour tenter qu'ils ne sont pas tous méchants et haineux, mais en définitive c'est presque pire. Ces derniers sont en effet montrés comme des suiveurs, incapables de réfléchir par eux-mêmes et prêts à mourir pour un chef manifestement bien illuminé : si c'est ça la tolérance selon le réalisateur-scénariste... De plus, le film n'a pas peur d'en faire trop : alors que l'armée est prête à faire une confiance aveugle aux Chiricahuas, voilà que ces derniers la trahisse honteusement ! Tout cela parce qu'elle n'a pas voulu écouter Ed Bannon, qui lui savait parce qu'il a vécu dans sa jeunesse avec eux... Le tout à base de racisme ordinaire et de trahison raciale loin d'être subtils... Reste que malgré tout cet aspect grossier, l'œuvre n'en reste donc pas moins très professionnelle, traversée par quelques fulgurances et une poignée de belles idées, d'autant que l'opposition Charlton Heston - Jack Palance a vraiment de la gueule... Comme quoi, même un discours douteux peut être compensé par une mise en scène de qualité et un script haletant : « Le Sorcier du Rio Grande » en est la meilleure illustration.
Un western cru 1953 qui se laisse regarder. Une histoire de haine entre deux hommes, au milieu de plumes et de tuniques bleues. Vous avez dit raciste ? ... Je répond western cru 1953 : Les indiens sont méchants mais ce n'est pas de leur faute, ils sont nés comme ça ! Menteurs, perfides, pas très malins, c'est pas de leur faute ! Heureusement, il y a Charlton Heston, un blanc élevé par les indiens, mais lui il ne ment pas, il n'est pas perfide et est malin. C'est pas de sa faute non plus, il est blanc