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Un visiteur
5,0
Publiée le 18 avril 2007
Excellent :) La presse peut en penser ce qu'elle veut, l'histoire comme les acteurs et les effets speciaux sont vraiment bien accordee ! A voir ! Attention, ame sensible s'abstenir. Quelques scenes peuvent heurter votre sensibilite ^^
Un film avec de belles images qui surprennent parfois. Hilary Swank fait son boulot, mais le scénario retrace des chemins que l'on connaît finalement déjà. J'aurais mis 2 étoiles si la performance d'Annasophia Robb ne valorisait pas ce film
Je n ai pas envie de perdre mon temps a écrire cette critique pour ce film d un ennuis totale qui se revéle sans auncune saveur et par manque de profondeur.STOP!!!!!!!!!!
J'ai trouvé ce film très sympathique et je dois avouer que j'ai passé un bon moment. Les châtiments ne révolutionne pas le genre mais je me suis laissée prendre par l'histoire. Et pour finir, quand je lis dans les critiques "histoire invraisemblable, scénario abracadabrant" j'ai juste envie de dire : "hey les gens c'est juste un film fantastique, alors laissez moi m'évader un peu".
Fantastique et ésotérique ont beau rimer, leur association, en matière de cinéma, aboutit presque toujours à un résultat proche de lapocalypse. Nouvel exemple avec ces Chatiments, du même acabit que le calamiteux remake de La Malédiction sorti lan passé, et avec qui ils partagent des points communs, autant dans la nullité que dans cette histoire de fin du monde probable, conjuguée à une hypothétique réincarnation juvénile de Satan. La messe est dite dès la première scène, mais Stephen Hopkins persiste dans le ridicule avec une constance qui force le respect : trucages ratés, scènes de dialogues sabordées au moment censé être le plus important (peut-être est-ce parce quil ny avait rien dintéressant à dire), effets risibles (tenter de nous faire peur avec une bouilloire ou une fenêtre qui souvre, il faut oser) Personne non plus pour maintenir le film à flot côté interprétation : Hilary Swank semble se demander ce quelle fait là, Annasophia Robb, en mode expression unique, n'est jamais inquiètante, tandis que David Morrissey ajoute tranquillement une belle casserole à sa collection débutée lan passé avec Basic Instinct 2. Le pire, cest que tout ça aurait juste pu nous faire rire. Mais non, même au second degré, la vision de ces Chatiments reste un calvaire.
non mais, quand les producteurs comprendront qu'on en a marre de toutes ces bondieuseries?entre des anges exterminateurs qui n'impressionnerait même pas ma mémé et une secte satanique sortie d'un épisode de charmed;le tout agrémenté d'une bonne morale bien judéo-chretienne à propos de la foi, je n'ai qu'une chose à dire:à ceux qui attendent avec impatience l'adaptation de preacher, je dis laisser tomber:actuellemnt, jamais hollywood ne produirait quelque chose d'aussi peu conventionnel...ils sont bien trop occu^pés à produire du fantastique commercial pour cul-bénis type Les Châtiments.
Une femme pasteur défroquée et devenue très pragmatique se retrouve dans une histoire ocillant entre le mysticisme et l'ostracisme des habitants d'un petit village pris eux-même sous le châtiment de Dieu... Je passerai rapidement sur l'histoire hautement invraisemblable pour aller directement à la fin car cette apothéose finale mérite à elle seule le déplacement vu la grandiloquence des explications aimablement données au pauvre spectateur.
Un histoire assez originale, des effets spéciaux nombreux et réussis, pour un premier film d'horreur Hilary Swank a misé sur une recette qui marche. Pourtant il faut reconnaître que l'on échappe pas aux habituels clichés - une femme qui a perdu la foi et qui doit la retrouver pour faire face au mal, le méchant, un prêtre qui met en garde l'héroïne... Bref pas vraiment d'innovations! Malgré cela on assiste à un spectacle assez réjouissants à l'exception faite d'une fin que trop prévisible.
L'idée de départ est plutôt bonne : les 10 plaies d'Egypte qui s'abattent brusquement sur un village perdu au fond des bayous de Louisiane, le parallèle entre les miracles, la religion et les explications scientifiques. Le casting est lui aussi prometteur : la double oscarisée Hilary Swank (Boys don't cry et Million dollar baby), David Morrisey (Dérapage, Basic instinct 2) et Stephen Rea l'acteur fétiche de Neil Jordan (The crying game, La fin d'une liaison...). Le début est bien envoyé, les scènes au Chili et l'arrivée en Louisiane mais dès que les plaies commencent à s'abattre en série, elles s'abattent aussi sur nous ! Les effets spéciaux sont limites, les effets de mise en scène et de suspens (ne parlons pas de terreur) sont téléphonés avec une musique ne faisant qu'alourdir le trait. La fin est vraiment trop démonstrative, on avait pas besoin de ça. le tout dernier rebondissement final laisse présager d'une suite, j'espère qu'on nous évitera cette 11ème plaie ! Bref, c'est mal réalisé, mal écrit, mal interprété mais encore faut-il avoir quelque chose à interpréter. On dira : accident de parcours pour Hilary Swank et Stephen Rea. Quant au réalisateur Stephen Hopkins on attend toujours qu'il nous fasse un bon film, à défaut de chef d'oeuvre...
Quelle déception ! Le scénario est abracadabrantesque, la fin est bâclée et alors, que dire du casting ! Hormis la petite qui joue Loren, les autres sont aussi nuls les uns que les autres ! Quest venu faire Hillary Swank dans ce nanard !!!! Seul chose à mettre au crédit de ce film : quelques scènes qui vont feront sursauter. Ce film sinspire des 10 plaies dEgypte et bien, je vous présente la 11ème !!!!
Moi qui me faisait une joie de le voir, je crois que si j'étais tombée dessus un dimanche après midi à la télé et bien j'aurais zappé! Même les meilleurs acteurs vont parfois se perdrent dans un navet, c'est chose faite pour Hilary Swank qui nous avait quand même habitué à mieux. Alors que le sujet laissait présager le meilleur, au final c'est surfait, pas du tout crédible et surtout prévisible jusqu'à en devenir mortel. Bref, si vous connaissez des troubles du sommeil, n'hésitez pas à l'acheter à sa sortie en dvd, vous ferez de jolis rêves (et c'est quand même un comble pour un film d'épouvante, non ?)