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chrischambers86
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1,5
Publiée le 9 septembre 2018
"The Reaping" nous fait revivre les èpisodes de la Bible sur un thème archi classique : la lutte du Bien contre le Mal! Parlons flèaux ? Ça risque d'être trop long mais Hilary Swank le fait très bien dans le film! Sur le thème du flèau et des règles du satanisme, ce film fantastique assez poussif du rèalisateur de "A Nightmare On Elm Street - Part 5 : The Dream Child" et "Predator 2" a eu manifestement pour ambition de nous rappeler "The Exorcist", "The Omen" et "Rosemary's Baby"! Malheureusement, le rèsultat est loin de valoir les trois films cultes citès! Considèrèe seulement comme sèrie B horrifique et rècrèative, " The Reaping" peut se voir si on est un amateur de production horrifique à grand renfort d'asticots et de mouches, de crapauds et de pustules, de vaches malades et d'infection de poux! Les F/X sont de bonne facture (le marècage devenue rouge sang) mais l'histoire tombe facilement dans le clichè religieux! AnnaSophia Robb pourrait être le commencement et le point de dèpart! Rassurez-vous seule Hilary Swank peut l'arrêter et la dètruire car seule une servante de Dieu peut tuer un ange! C'est la volontè de Dieu, n'ayez surtout pas peur...
Un film qui surfe sur la mode du surnaturel, et du religieux à tendance diabolique. Le personnage , une scientifique qui ne croit pas du tout à l'extraordonnaire va être confronté à des phénomènes étranges. Mais l'intrigue est confuse, malgré un très bon jeu de Hilary Swank. Une réalisation trop classique.
Tourné en 2007 par Stephen Hopkins (« La couleur de la victoire », « L'ombre et la proie » mais aussi « Les contes de la crypte »), « Les châtiments » est un film fantastique, à tendance religieuse, construit autour des fameux fléaux Bibliques. Le scénario est plutôt bien écrit et le suspense s'installe gentiment autour d'étranges phénomènes qui perturbent une petite ville perdue de Louisiane. Les habitants inquiets font porter le chapeau à une famille qui vit en marge de la communauté et à leur petite fille en particulier. Un couple d'enquêteurs, beaucoup plus « terre à terre » arrive de la ville pour donner une explication rationnelle et scientifique à ces événements. L'histoire oscille en permanence entre l'enquête policière, intelligente, qui sert de fil rouge... et à quelques scènes bien flippantes qui nous font irrémédiablement retourner vers l'irrationnel. Bien que l'ensemble soit un peu « fouillis », la tension est palpable et on se demande bien où le réalisateur veut nous emmener. Côté distribution, le couple Hilary Swank (très belle) et Idris Alba (toujours impeccable) fonctionne merveilleusement bien... et la fillette est vraiment flippante. Une très jolie découverte pour amateurs de frissons « sacrés ».
"Les Châtiments", qui aurait pu s'intituler "Hilary Swank chez les bouseux qui vivent dans un trou tellement perdu qu'on arrive pas à capter le signal téléphonique et qui sont pas conséquent primitifs" tant le film dépeint l'Amérique profonde avec une stupidité affligeante, est un monument de ridicule : le scénario accumule les poncifs et le réalisateur enquille les séquences ratées. Quant à l'idéologie, ils commencent à nous saouler les Américains avec leur Dieu Tout-puissant qui décide de tout surtout quand le réalisateur le traite d'une manière aussi rentre-dedans. Question importante : pourquoi la magnifique et talentueuse Hilary Swank qui n'a plus rien à prouver s'est embarquée dans cette galère?? C'est bien le plus grand mystère qui entoure ce film!!
Fantastique et ésotérique ont beau rimer, leur association, en matière de cinéma, aboutit presque toujours à un résultat proche de lapocalypse. Nouvel exemple avec ces Chatiments, du même acabit que le calamiteux remake de La Malédiction sorti lan passé, et avec qui ils partagent des points communs, autant dans la nullité que dans cette histoire de fin du monde probable, conjuguée à une hypothétique réincarnation juvénile de Satan. La messe est dite dès la première scène, mais Stephen Hopkins persiste dans le ridicule avec une constance qui force le respect : trucages ratés, scènes de dialogues sabordées au moment censé être le plus important (peut-être est-ce parce quil ny avait rien dintéressant à dire), effets risibles (tenter de nous faire peur avec une bouilloire ou une fenêtre qui souvre, il faut oser) Personne non plus pour maintenir le film à flot côté interprétation : Hilary Swank semble se demander ce quelle fait là, Annasophia Robb, en mode expression unique, n'est jamais inquiètante, tandis que David Morrissey ajoute tranquillement une belle casserole à sa collection débutée lan passé avec Basic Instinct 2. Le pire, cest que tout ça aurait juste pu nous faire rire. Mais non, même au second degré, la vision de ces Chatiments reste un calvaire.
Un départ impressionnant et à la mise en scène qui vous dresse les poils sur les bras et très vite, ce thriller fantastique s'enlise dans les marais et tombe dans l'ultra stérile et dans le spectaculaire facile. Stephen Hopkins ne sort que du classique pour un énième thriller classique.
Poussif est le maître mot de ce film satanique de bas de gamme. Hilary, avec son air ahuri durant tout le film ne parvient pas, loin de là, à faire monter la sauce de ce pitoyable pamphlet. Le summum est au moment de l'attaque des criquets, ridicule! Le diable habite de film, mais pas là où on pense! A éviter sauf pour les ultra fans du genre peut-être!
Vraiment mauvais, et pourtant je suis bon public. C'est dommage parce que jusque là les films Dark Castel étaient tous pas mal hormis 13 fantômes. Franchement leurs précédent, la maison de cire est quand même infiniment meilleur. Pas grand chose à dire, parce que pas grand chose à sauver. Honnêtement je me suis fait chier pendant une bonne partie de la projection parce qu'il ne ce passe rien. Tout ça pour nous servir un remake de Weather Man franchement bof quoi. Plutôt déçu parce que vu le pitch sa aurait peu être pas mal. Reste Hillary Zwank, la fille qui joue la petite et l'affiche qui est jolie mais le reste c'est poubelle.
Les images sont belles et l'histoire est triviale mais bonne. L'intrigue se laisse suivre mais on ne se laisse pas prendre par l'urgence devant laquelle les personnages doivent réagir. En tout cas, il ne sagit absolument pas d'un film d'horreur mais bien d'un film fantastique. Il est dommage que le réalisateur n'ait pas su donner une atmosphère plus inquiétante au film et donner à certaines scènes une intensité qui aurait fait de ce film un très bon film.
L'idée de départ est plutôt bonne : les 10 plaies d'Egypte qui s'abattent brusquement sur un village perdu au fond des bayous de Louisiane, le parallèle entre les miracles, la religion et les explications scientifiques. Le casting est lui aussi prometteur : la double oscarisée Hilary Swank (Boys don't cry et Million dollar baby), David Morrisey (Dérapage, Basic instinct 2) et Stephen Rea l'acteur fétiche de Neil Jordan (The crying game, La fin d'une liaison...). Le début est bien envoyé, les scènes au Chili et l'arrivée en Louisiane mais dès que les plaies commencent à s'abattre en série, elles s'abattent aussi sur nous ! Les effets spéciaux sont limites, les effets de mise en scène et de suspens (ne parlons pas de terreur) sont téléphonés avec une musique ne faisant qu'alourdir le trait. La fin est vraiment trop démonstrative, on avait pas besoin de ça. le tout dernier rebondissement final laisse présager d'une suite, j'espère qu'on nous évitera cette 11ème plaie ! Bref, c'est mal réalisé, mal écrit, mal interprété mais encore faut-il avoir quelque chose à interpréter. On dira : accident de parcours pour Hilary Swank et Stephen Rea. Quant au réalisateur Stephen Hopkins on attend toujours qu'il nous fasse un bon film, à défaut de chef d'oeuvre...
L’horreur de The Reaping ne réside pas tant dans ses visions cauchemardesques que dans le montage qui charcute des plans par ailleurs hideusement cadrés. Que Stephen Hopkins soit un mauvais réalisateur ne constitue pas une nouveauté mais trouve ici son expression la plus aboutie : le seul élément de caractérisation de l’héroïne principale est sa blessure maternelle, comblée le temps de quelques minutes par un clip voulu torride qui présente – on le devine compte tenu de l’illisibilité générale – deux corps nus au contact l’un de l’autre ; le traumatisme s’incarne à l’écran par des flashs épileptiques et dopés aux effets numériques affreux ; le rythme en dents de scie alterne pauses mollassonnes et accélérations forcées, pour une aventure horrifique à laquelle nous ne croyons pas une seconde et qui nous intrigue à de rares occasions, comme lorsque les protagonistes découvrent une étendue d’eau rouge sang dans laquelle surnagent des poissons morts. Nous ne ressentons jamais le désarroi de Katherine, ni sa détermination à éclaircir la mystérieuse affaire dont elle a la charge. Il est plutôt paradoxal qu’une œuvre de châtiments laisse, à terme, un spectateur aussi indemne et amnésique du flot d’images aussitôt vues aussitôt oubliées.
Un film qui n'est pas hors du commun, avec son peu d'effets de surprises et ses scènes inutiles, particulièrement celle où Hilary Swank explique les 10 plaies d'Égypte, je vois pas l'intérêt. Pas de sensations fortes, ce n'est pas un mauvais film mais on ne peut pas dire qu'il tienne en haleine, même avec sa conclusion boiteuse mais pourtant prévisible.
L'histoire de la secte est blanchie par l'histoire des plaies d'egypte et par dessus tous ça c'est nul,l'actrice joue trop bien son rôle mais dans un film bidon ou les explications n'ont aucun rapports avec les 10 plaies d'egypte .
Je m'attendais à mieux pour un film sur les 10 malédictions avec Hilary Swank... Les malédictions s'abbatent beaucoup trop vite, il y a parfois des scènes où 3 malédictions tombent, alors que d'autres scènes sont longues, ennuyeuses et sans grands interets... Même si parfois on sent que c'est l'effet désiré, je n'ai jamais sursauté, je n'ai jamais été surpris, car le scénario est courru d'avance... Dommage...