Derniers Avis : Faubourg 36 - Page 15

Pour apprécier ce genre de film, il convient d'avoir la nostalgie d'un pseudo-passé qui n'a jamais existé et qui n'existera jamais. En effet, Chistophe Barratier nous offre une nouvelle carte postale parisienne, je dirais "à la Amélie Poulain" : un Paris idéalisé avec ses titis, son accordéon, ses quartiers populaires, le tout fréquenté par des communistes héroïques et des fachos relous. Franchement, le film est pas mal, mais il contient beaucoup de longueurs et surtout un message aujourd'hui complètement éculé.

un bon petit film
rien d'extraordinaire, quelques longeurs....

e n'ai pas honte de dire que j'avais bien aimé "Les Choristes". Pendant les 5 premières minutes de "Faubourg 36", j'ai cru que j'allais également aimer ce film : du cinéma, certes ultra-classique, mais avec de très beaux mouvements de caméra, un cinéma qui assume totalement le côté artificiel des décors, un cinéma qui nous replonge 50 ans en arrière, mais qui le fait très bien. C'est après que ça se gâte ! Et de plus en plus ! Avec de plus en plus de chansons d'une grande banalité. Avec une histoire à laquelle on n'arrive pas à croire. Avec des acteurs qui, sans être mauvais, ne sont pas non plus au sommet de leurs possibilités. C'est seulement pendant les 5 dernières minutes que l'on retrouve un certain charme à ce cinéma de papa, voire de grand papa. 10 minutes agréables sur 120, le ratio est insuffisant !

Un coup de coeur. Il y en a trop peu dans l'année pour ne pas les mentionner. Faubourg 36 restitue l'ambiance 1936 avec ses joies et ses peines avec brio.
Les acteurs sont excellents, les décors parfaits et le sujet attendrissant.
On passe deux heures de pur bonheur sans jamais s'ennuyer et en riant aussi. (http://30thdec.free.fr)

Superbe ! Ce film diverti, émerveille, touche. Sa force? L'authenticité, la simplicité d'un cinéma aux codes d'autrefois avec les moyens d'aujourd'hui. L'esthétique des décors, bien que visuellement factices, agit comme un charme qui nous envoûte dans le scénario, se tenant dans un Paris des années '30' qui sent les planches et les costumes, le pavé et les kiosques animés. Les acteurs sont tous éblouissants, tenant leur rôle avec vérité et pudeur. Bref on ressort de ce film avec une incroyable amour de la vie, un espoir, comme si la France n'eût jamais changé depuis cette époque. Pour ceux qui aiment la vie, les artistes, les nostalgiques... Mention spéciale pour Pierre Richard, d'un charisme qui touche!

Bonne réalisation, des acteurs de qualité, mais je n' ai pas trouvé le sujet vraiment passionnant, et le spectacle m' a paru long .J' avais beaucoup plus apprécié" Les Choristes ".Un point positif cependant, l' imitation du style de Trénet m' a fait encore mieux comprendre combien il fut révolutionnaire à cette époque .

Loin , très loin des choristes de par la qualité du scénario et les acteurs n'arrivent pas à nous émouvoir comme au premier film on s'ennuit pas pour autant mais bon ..

Super beau film, on ne voit pas le temps passer. Mais Zéro étoiles, comme à mon habitude, dans chaque scène ou presque, il y a qq'un, surtout Corniac, qui FUME.
Cette fois ci on ne voit nulle part le nom du mecène. Est-ce Caporal ou peut-être le FSRT (le "Fonds de Solidarité des Retraités du Tabac"... qui ne doit pas avoir énormément de membres ! ;) )

Amoureux des films de paris d'entre deux guerres, de Music-hall allez voir le film !
Des acteurs remarquables, Pierre richard, kad, jugnot et Cornillac sont remarquables.
Nora Arnezeder apporte au film ce qu'elle apporte dans l'histoire...douceur romantisme...

La monté du fashisme, le communiste le front populaire et le chomages... des sujets intemporels.

On retrouve la touche barratier mais aucune comparaison avec les choristes si ce n'est la qualité de la musique qui semble authentique.

Les 2h passent très vite une preuve que le film transporte

une impression de déjà vu , des longueures, on devine tout ce qui va se passer , une bonne pléiade d'acteurs ,un film familial ...

Et voilà, encore un bon petit film "franchouillard" et bien de chez nous ! Et bien je revendique d'avoir eu pas mal de plaisir et d'émotions en le regardant. Des personnages forts en gueule, de beaux décors de cinéma, de beaux plans, des costumes, de la musique, de l'accordéon, de la chanson, de la danse, de la couleur, de la nostalgie, un peu d'action. M...., faut croire que ce n'est pas si compliqué de faire des choses plaisantes à regarder et sans trop se prendre le chou. Dommage qu'il n'y en ait pas plus !
(bon, d'accord, il faut aussi des films où on se prend la tête, mais ça n'empêche pas...)

Un film remarquable en tout point. Un univers parisien splendide avec une musique tout à fait en accord avec l'esprit du film. Une histoire pleine de tendresse avec un Gérard Jugnot, un Clovis Cornillac et un Kad Mehrad des grands jours. On ne se lasse pas de voir évoluer ces acteurs à l'écran. On n'atteint pas le niveau de "Les Choristes" mais la magie opère et on se laisse guider!!

Cette comédie d’époque se veut touchante, émouvante, attendrissante, bouleversante, … Mais les émotions ne passent pas beaucoup. Malgré tout, Gérard JUGNOT et Kad MERAD jouent juste comme souvent, de même que Clovis CORNILLAC ce qui n’est pas toujours le cas. Toutefois, la grande révélation est Nora ARNEZEDER - très professionnelle – qui apporte beaucoup de fraîcheur au film. Pour moi, il s’agit d’un bon spectacle français à voir : pour ses acteurs, ses décors et son ambiance bien reconstituée.

Aucun intérêt, des ficelles énormes une histoire à l'eau de rose sans surprise, une réalisation de papy. Bref à oublier très vite.

Il y a un je ne sais quoi qui m’a gêné dans Faubourg 36, comme s’il était préprogrammé pour un plan marketing destiné à surfer sur le succès des choristes. Du coup ça sent à plein nez le plan média. Le film force le trait sur le côté guinguette, Ménilmontant populo des années 30 non pas tant pour retranscrire l’authenticité d’une époque mais plutôt pour promouvoir un futur CD avec toutes ces nouvelles pseudos anciennes chansons du film, pompées sur du Trenet, Fréhel, Lucienne Boyer, Rina Ketty et consorts avec un objectif inavoué : conduire une armée de séniors nostalgiques aux rayons disques de la FNAC. Reste néanmoins le charme et la fraîcheur de la douce Nora Anezeder, et une belle photographie visuelle du Paris d’avant-guerre.