Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Score
par G.D. Jones
Ce teen movie spleenatique ausculte le passage de l'enfance à l'adolescence de ces cinq amis avec une tendresse rare. Marchant sur les traces des classique du genre (...), ce joli petit film, pudique et sincère, est une preuve supplémentaire du renouveau du cinoche argentin.
La critique complète est disponible sur le site Score
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Sobre et réaliste...
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Yasmine Youssi
A mi-chemin entre Les 400 coups et Le Grand Chemin, Meza brosse un savoureux portrait de préados, permettant aux spectateurs de retrouver ce goût si particulier des premières fois. Un film intemporel baigné de cette lumière universelle des étés d'enfance.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
aVoir-aLire.com
par Catherine Le Ferrand
Pablo José Meza, qui réalise ici son premier long métrage, excelle à rendre cette immobilité de la chaleur et de l'ennui, ces moments au bord de la rupture, où l'on sait confusément que rien ce sera plus jamais pareil.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
par Isabelle Danel
Les premières fois ont une force d'émotion indéniable. (...) Premières déceptions, premières amours (...). Nostalgie des derniers feux de l'enfance avec son lot de révelations qu'on n'avait pas su (voulu) voir. Un premier film imparfait et languissant malgré une foule de détails justes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
En vain chercherait-on une quelconque profondeur dans cette peinture de la vie provinciale de cinq ados dont le dessin rappelle les traits -en plus gros -de L'argent de poche de Truffaut. De cet original, Buenos Aires n'est qu'une pâle copie aux teintes délavées. (...) Il aurait fallu qu'auparavant les plans soient habités, à la place de cette littéralité des images qui ne montrent que ce qu'elles disent et aplatissent tout.
Le Monde
par Thomas Sotinel
(...) ce nulle part argentin est un lieu commun du cinéma. Pour l'extraire de cette banalité, le scénariste Pablo José Meza axe son film sur le dévoilement des secrets que ses cinq héros se cachent non pas les uns aux autres mais à eux-mêmes. (...) Le réalisateur Pablo José Meza ne sait pas bien quoi faire de ce qu'il a inventé, si ce n'est s'appuyer sur une tradition ancienne du film d'apprentissage, en égrenant les figures imposées - le premier amour maladroit, la découverte de la création comme exutoire...
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Marc Kressmann
Buenos Aires 100 km revisite sans génie les clichés du passage à l'adolescence (...). Alors qu'il aurait pu miser à fond sur le réalisme, Meza préfère une certaine candeur quitte à sombrer dans la comédie dramatique parfaitement inoffensive. (...) le réalisateur n'arrive à rien tirer de ses jeunes acteurs amateurs, tous raides comme la justice. Il ne faut pas non plus compter sur ses plans séquences interminables pour que l'émotion passe l'écran.
Positif
par Grégory Valens
Ce n'est qu'un ptit film de teenagers de plus Sans déplaisir et sans ennui On attend qu'ça passe
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par François Gorin
Premier film de Pablo José Meza, cette chronique sans doute nourrie de souvenirs personnels joue sur des registres délicats : les cinq ados sont pratiquement traités sur le même plan (exercice d'équilibre un peu artificiel) ; certains moments voulus " en suspens " réclameraient une certaine force d'évocation poétique qui fait parfois défaut. Paradoxe du film qu'on voudrait dire attachant (...) et qui, déjà, se détache.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Score
Ce teen movie spleenatique ausculte le passage de l'enfance à l'adolescence de ces cinq amis avec une tendresse rare. Marchant sur les traces des classique du genre (...), ce joli petit film, pudique et sincère, est une preuve supplémentaire du renouveau du cinoche argentin.
TéléCinéObs
Sobre et réaliste...
Zurban
A mi-chemin entre Les 400 coups et Le Grand Chemin, Meza brosse un savoureux portrait de préados, permettant aux spectateurs de retrouver ce goût si particulier des premières fois. Un film intemporel baigné de cette lumière universelle des étés d'enfance.
aVoir-aLire.com
Pablo José Meza, qui réalise ici son premier long métrage, excelle à rendre cette immobilité de la chaleur et de l'ennui, ces moments au bord de la rupture, où l'on sait confusément que rien ce sera plus jamais pareil.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
Les premières fois ont une force d'émotion indéniable. (...) Premières déceptions, premières amours (...). Nostalgie des derniers feux de l'enfance avec son lot de révelations qu'on n'avait pas su (voulu) voir. Un premier film imparfait et languissant malgré une foule de détails justes.
Cahiers du Cinéma
En vain chercherait-on une quelconque profondeur dans cette peinture de la vie provinciale de cinq ados dont le dessin rappelle les traits -en plus gros -de L'argent de poche de Truffaut. De cet original, Buenos Aires n'est qu'une pâle copie aux teintes délavées. (...) Il aurait fallu qu'auparavant les plans soient habités, à la place de cette littéralité des images qui ne montrent que ce qu'elles disent et aplatissent tout.
Le Monde
(...) ce nulle part argentin est un lieu commun du cinéma. Pour l'extraire de cette banalité, le scénariste Pablo José Meza axe son film sur le dévoilement des secrets que ses cinq héros se cachent non pas les uns aux autres mais à eux-mêmes. (...) Le réalisateur Pablo José Meza ne sait pas bien quoi faire de ce qu'il a inventé, si ce n'est s'appuyer sur une tradition ancienne du film d'apprentissage, en égrenant les figures imposées - le premier amour maladroit, la découverte de la création comme exutoire...
MCinéma.com
Buenos Aires 100 km revisite sans génie les clichés du passage à l'adolescence (...). Alors qu'il aurait pu miser à fond sur le réalisme, Meza préfère une certaine candeur quitte à sombrer dans la comédie dramatique parfaitement inoffensive. (...) le réalisateur n'arrive à rien tirer de ses jeunes acteurs amateurs, tous raides comme la justice. Il ne faut pas non plus compter sur ses plans séquences interminables pour que l'émotion passe l'écran.
Positif
Ce n'est qu'un ptit film de teenagers de plus Sans déplaisir et sans ennui On attend qu'ça passe
Télérama
Premier film de Pablo José Meza, cette chronique sans doute nourrie de souvenirs personnels joue sur des registres délicats : les cinq ados sont pratiquement traités sur le même plan (exercice d'équilibre un peu artificiel) ; certains moments voulus " en suspens " réclameraient une certaine force d'évocation poétique qui fait parfois défaut. Paradoxe du film qu'on voudrait dire attachant (...) et qui, déjà, se détache.