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    Phantom of the paradise
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    289 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 13 mai 2013
    ce film a incroyablement mal vieilli . si si ! malgré ça ,on sent quand même qu'on a un grand nom derrière la caméra. scénario faisant de grandes références au fantome de l'opéra ,faust ,le portrait de dorian gray ....(comme références y'a pire ) par contre je m'attendais à une fin un peu plus explosive ,et surtout à un héros moins niais et plus sanglant (il se fait quand même avoir 3 fois par le méchant ,au bout d'un moment faut retenir la leçon ,c'est pas plus belle la vie !) sinon ca reste regardable ,le "phantom" et swan ont pas mal de charisme ,l'héroine est très belle et joue bien ,mais je ne met que 3 étoiles car vraiment je HAIS les films musicaux (à part mary poppins) et là c'est déjà un bel exploit d'avoir réussi à me tenir 1h30 devant l'écran .heureusement les parties chantées sont bien intégrées dans l'histoire. film à voir au moins une fois ,même si on sent qu'il date ....
    Hotinhere
    Hotinhere

    549 abonnés 4 957 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 mars 2021
    Le Mythe de Faust croisé avec celui du Fantôme de l'Opéra à la sauce De Palma...
    Une œuvre devenue culte complètement folle, visuellement délirante, accompagnée par une BO géniale.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 359 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 avril 2020
    Winslow est un compositeur inconnu. Il tente désespérément de faire connaître l’opéra qu’il a composé. Il se présente alors à Swan, un producteur qui cherche de nouveaux talents pour l’inauguration du Paradise, le palais du rock qu’il veut lancer. Mais ce dernier l’envoie balader et lui vole sa partition avant de le faire enfermer pour trafic de drogue. Défiguré et ayant perdu sa voix, Winslow parvient à s’évader pour venir hanter le Paradise. Avec “Phantom of the Paradise”, Brian De Palma revisite “Le Fantôme de l’opéra” de Faust dans un drame musical baroque, rock’n’roll et déjanté tout en s'insérant dans le thriller et le film noir. La musique, les costumes, les décors, les ambiances, le talent des deux comédiens et les nombreuses références à la littérature ou au cinéma, font définitivement de “Phantom of the Paradise” un chef d’oeuvre diaboliquement culte.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Cinememories
    Cinememories

    482 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 janvier 2021
    Savoir distinguer la réalité du divertissement est une nécessité qui alimente toute la démarche d’un Brian De Palma blessé, mais loin d’être abattu pour autant. Tout promptement sorti d’un « Sœurs de sang », injustement réprimandé pour ses hommages les plus sincères à Hitchcock, en passant par la trahison qu’il a subie de la part de ses producteurs sur son « Get to Know Your Rabbit », le réalisateur trouvera l’écho et l’élan solennel dans un nouveau long-métrage, plein de cynisme, de douleur et de parodie. Lui, qui a souffert du système de contrôle des majors Hollywoodiens, il vient insuffler à son récit, évidemment emprunté au « Fantôme de l’Opéra » de Gaston Leroux, mais également au conte mythique de « Faust », les deux ayant déjà été porté à l’écran. Et il serait facile de s’arrêter là, mais la plupart des références sont à découvrir par le biais des chants et des citations les plus symboliques, développant ainsi cette fièvre qui s’empare de l’âme des artistes et de cette terreur qui génère une consommation de masse et abrutissante.

    On ne tarde donc pas à saisir toute la tonalité dramatique, mais avant tout parodique de la chose. Des Juicy Fruits, qui ne demandent qu’à être pressés de toute leur substance ludique, au Glam Rock des années 70, qui met en évidence de manière grossière les artifices du spectacle, les confrontations seront nombreuses. Et c’est à travers Winslow Leach (William Finley), que Palma s’identifie au risque de se heurter à sensibilité d’un public irrité, toujours zombifié et qui a sacrifié son intellect pour une dépendance absurde. En quoi ce film serait-il un objet artistique, s’il ne parvenait pas à éveiller quelques consciences, tout en lui offrant ce qu’il réclame quotidiennement dans leur vie, une dose d’ironie ? Winslow se retrouve alors rapidement démuni de ses œuvres et de sa passion, la musique, qu’il couve dans chacune de ses notes et qu’il renvoie dans chacun de ses chants. C’est tout autant son ambition que l’on ampute, à une personne, tout ce qu’il y a de plus humain, qui essaye, souffre et saigne pour enfin exister. Il convient alors de lui accorder une opposition, qui parvient à la fois à relayer cette incarnation du mal et de cette allégorie de la possession. Et en le personnifiant, tout finit par être clairvoyant.

    Paul Williams, qui nous envoute d’abord grâce à sa sublime composition, puis par sa prestation dans la peau de Swan. Ce dernier est pourtant loin de l’idée que l’on se ferait d’un mégalomane instable et il se situe pourtant dans un voyeurisme perçant, digne d’un Big Brother. Nul soupçon sur ses intentions malsaines, hélas. Toute la discussion et les sacrifices, sur l’intégrité artistique que l’on cherche à préserver, rencontrent inévitablement cette pathologie liée à la figure emblématique de Dorian Grey, convoitant l’éternité et soumettant ainsi son univers aux péchés les plus primaires. Si Phoenix (Jessica Harper) semble souligner le prolongement d’un maléfice bien distinct, c’est notamment grâce au détour par le cinéma d’horreur, qui cherche à nouer le plus de nœuds possibles, en mixant ardemment toutes les références dans un même lieu, à savoir le théâtre du désespoir. On ne vit pas la même chose sur scène, en coulisse et au cœur du public. Cependant, on les entremêle avec juste ce qu’il faut d’élégance afin de nous investir dans l’embarras du spectacle, que l’on reconnait factice et impitoyable pour ses acteurs majeurs.

    Toutes traces d’humanité s’effacent dans l’esprit du fantôme qui hante les lieux d’une tragédie, source d’un succès qui en demande plus. Les valeurs du Death Records transcendent l’écran et l’actualité ne cesse de revenir à cette dévitalisation à laquelle on nous invite et à laquelle on nous incite à pactiser avec des forces supérieures, hors de notre portée et hors du temps. « Phantom Of The Paradise » façonne ainsi ses protagonistes dans un environnement contre-culturelle, diluée dans le cinéma Hollywoodien et dans bien d’autres entreprises, qui usent encore aujourd’hui des mêmes rouages. Le public en est abreuvé, mais n’en restera jamais rassasié, car une nouvelle estampille divine l’approchera un peu plus d’un paradis. Il possède malgré tout ses limites, qui reposent dans la crédulité de ceux qui encouragent ce mouvement sans fin. Pourvu que les masques tombent assez rapidement, afin d’éviter la propagation de l’angoisse éternelle des pulsions, même les plus nobles.
    bsalvert
    bsalvert

    407 abonnés 3 576 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 octobre 2015
    Aucune erreur dans ce film qui, trente ans après sa sortie, reste réussi. Les personnages, la musique, l'ambiance, les prises de vue, la dérision des groupes de l'époque, tout y est.
    PLV : comme dans tout film de Palma, vous est plongé dans un univers durant l'intégralité du film
    Ricco92
    Ricco92

    224 abonnés 2 149 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 mai 2019
    En 1974, suite aux problèmes de production de Get to know your rabbit, Brian De Palma utilise sa rancœur envers les gros studios pour écrire Phantom of the Paradise.
    Ainsi, à travers cette adaptation contemporaine et déjantée à la fois du Fantôme de l’Opéra de Gaston Leroux, du mythe de Faust et du Portrait de Dorian Gray, le cinéaste dénonce la trahison de l’art pour le profit par des producteurs cupides spoiler: (il est intéressant, plus de 20 ans avant la création de l’Auto-tune, de voir De Palma montrer comment une voix horrible peut être trafiquée pour devenir mélodieuse)
    . Le cinéaste ne cherche aucunement le réalisme en n’hésitant aucunement à partir sur le chemin de la caricature spoiler: : le créateur est un homme pur qui fait preuve d’une grande naïveté (il se fait déposséder de son œuvre et reproduit le geste de Faust alors qu’il vient de composer une cantate sur le sujet), Swan de son côté est un homme maléfique uniquement motivé par l’argent et le pouvoir, le chanteur très musclé est peu intelligent…

    De Palma choisit également de renforcer cet aspect irréel en mélangeant différents genres : la comédie musicale, le film fantastique, le drame ou encore la pure comédie spoiler: (l’enchaînement de séquences montrant l’expulsion de Winston de Death records, son procès et son évasion nage en plein burlesque)
    .
    Pour se faire, De Palma s’amuse à peaufiner sa marque de fabrique en exposant très visiblement sa mise en scène et les possibilités visuelles que lui offre le médium cinématographique : synecdoque spoiler: (les premières séquence ne laissent voir que les mains de Swan pour renforcer son importance)
    , grand angle, split-screen, surimpression, caméra subjective, fermeture à l’iris, cadre dans le cadre spoiler: … De même, autre marque de fabrique du réalisateur, il ne cache nullement ses influences en multipliant les hommages : un plan-séquence montrant le trajet d’une bombe dans une voiture comme dans La Soif du mal et une parodie de la séquence de la douche de Psychose (scène qui hantera à nouveau le cinéaste notamment dans Pulsions) se retrouvent parmi d’autres références à Frankenstein, au Cabinet du docteur Caligari, à Dracula, à Sueurs froides, à L’Homme qui en savait trop…

    Alors que ce style tombera parfois dans le ridicule (L’Esprit de Caïn, Femme fatale), il touche ici à la perfection avec une ambiance si originale et reste 45 ans après un objet rare dont seul The Rocky horror picture show, sorti moins d’un an après, peut se rapprocher en mettant cependant de côté les aspects plus dramatiques.
    keating
    keating

    52 abonnés 582 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 juillet 2015
    La première chose qui pourrait marquer, en face de ce film, c’est qu’il est effectivement hanté. Oui, de nombreux fantômes planent sur Phantom : Faust, Dorian Gray, Hitchcock, ou encore le fantôme de l’opéra. Mais en fait, la première chose qui me marque devant ce De Palma est son originalité. Je ne savais jamais à quoi m’attendre au fur et à mesure que les séquences se suivaient. Ce film dingue est unique au monde, il a digéré toutes ces influences avec une maestria incroyable. Non seulement la caméra du grand Brian enchaine les plans jubilatoires avec une grâce baroque : split-screen, hors-champ, adresse au spectateur, travelling circulaire, fondu enchainé, … Mais tout cela est au service d’une histoire passionnante qui réunit l’archétype faustien et la place de l’artiste dans l’industrie avec une actualité effrayante. Je ne suis pas sûr qu’on ait mieux raconté le détournement des codes de la contre-culture à des fins mercantiles que dans ce film. Ou le drame du créateur trahit par ses mécènes (situation que De Palma a connu en tant que réalisateur hollywoodien). Encore un grand cru du grand Brian, jubilatoire sur le fond comme sur la forme.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 178 abonnés 4 173 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 avril 2015
    Dans la foulée du rock progressif, l'opéra rock s'est fait au début des années 1970 une place dans la discographie de certains groupes en quête de respectabilité et de renouvellement. Le trublion Frank Zappa avait ouvert le bal avec "Freak Out!" (1966). S'engouffreront dans son sillage, Les Pretty Things ("S.F. Sorrow"), Les Kinks ("Arthur") puis les Who ("Tommy" et "Quadrephonia"). La transposition au cinéma du concept sera initiée par Brian de Palma qui montrera avec "Phantom of the Paradise" que la chose était possible sans être la catastrophe économique redoutée par des producteurs toujours frileux en matière d'innovation. Les producteurs de la Warner justement viennent de virer de Palma de "Get to know the rabbit" qui logiquement amer et revanchard trouvera dans cet épisode douloureux le sujet idéal de son film. Entremêlant le "Faust" de Goethe avec le "Fantôme de l'opéra" de Gaston Leroux et " Le portrait de Dorian Gray" d'Oscar Wilde, le film immergé dans l'industrie du disque en pleine effervescence depuis l'arrivée des Beatles, s'interroge sur les rapports de dépendance sibylline entre l'artiste et le monde de la finance. S'il dénonce bien sûr la voracité morbide du producteur à travers l'image démoniaque de Swan (Paul Williams), de Palma n'omet pas de souligner le besoin maladif de reconnaissance de l'artiste prêt tout comme Faust à passer un pacte avec le diable à l'image de la pure et fragile Phoenix (Jessica Harper) transfigurée dès que Swann lui fait miroiter les sunlights. Ce pacte aboutit le plus souvent à l'affadissement artistique et c'est bien ce que regrette de Palma qui refuse encore de tomber dans le piège si attractif de l'argent facile. Pour enjoliver sa satire, le réalisateur très en verve chevauche avec dextérité quatre genres cinématographiques, le fantastique, le comique, la romance et la comédie musicale qu'il distribue à parts égales, donnant ainsi tout son équilibre au film. Comme toujours chez De Palma les références abondent de Chaplin ("Les temps modernes") à Murnau ("Faust") en passant par Hitchcock ("Psychose"), James Whale ("Frankenstein"), Tod Browning ("Dracula"), Michael Powell ("Les chaussons rouges"), Robert Wiene ("le cabinet du docteur Caligari") ou même Hugh Hefner le démiurge dont il moque gentiment la Playboy house, sorte de communauté idyllique illusoire dédiée à l'hédonisme sans retenue. Formidable témoignage sur une époque révolue, le film se révèlera même prémonitoire, nous présentant avant l'heure lors du ballet final le rock satanique du groupe Kiss qui démentira s'être inspiré du film pour son légendaire maquillage. On pouvait craindre que très représentatif de tous les artefacts de son temps, le film supporte mal le passage des ans, mais le savant équilibre des genres évoqué plus haut accouplé à une formidable énergie le préservent étonnamment de la "ringardisation". Boursouflé à l'extrême souvent excessif mais surtout très en phase avec l'humeur du moment, "Phantom of the paradise" donnera le ton à ses successeurs fameux que seront "The Rocky Horror Picture Show" (Jim Sharman, 1975) ou 'Tommy (Ken Russel, 1975). Le foisonnement narratif et pictural du film un peu étouffant permet quand même aux acteurs de se mettre en valeur, notamment Paul Williams qui en sus d'avoir composé la bande originale campe un Swan onctueux et maléfique à souhait. Mais c'est l'inénarrable Gerry Graham déjà présent dans "Greetings" (1968) et "Hi, mom!" (1970) qui retient toute l'attention en rocker travesti complètement déjanté, en particulier lors de l'hilarante reprise de la fameuse scène de la douche de " Psychose" que de Palma ne rate pas une occasion de placer dans ses films de l'époque. S'en être pris de manière si frontale aux producteurs de tous poils ne restera pas impuni et de Palma en récoltera certains problèmes avec le copyright. Quelques avatars qui démontrent bien que l'on ne s'attaque pas impunément au système. D'ailleurs tous les "Phantom of the Paradise" ou "The rose" (Mark Rydell, 1979) du monde n'ont pas empêché l'affairisme d'étendre son emprise sur le monde de l'art au point d'avoir quasiment pris aujourd'hui les commandes de la création devenue le plus souvent un simple maillon de la chaîne marketing. L'appel à la révolte un peu vain et dérisoire de "Phantom of the Paradise" n'en prend que plus de force aujourd'hui.
    landofshit0
    landofshit0

    274 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 novembre 2013
    Phantom of the paradise est une satire de l'industrie musicale, dans laquelle De palma joue à fond la carte du grotesque. Le style et l'image sont parfois moche et difficilement supportables,mais heureusement ce ne sont que certains passages,car le reste est tout de même intelligemment exécuté.
    Shephard69
    Shephard69

    333 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 octobre 2018
    Moi qui ne suis pas d'ordinaire attiré par les films musicaux, je dois bien avouer que voici une sacrée claque. Un opéra rock qui s'inscrit dans la lignée du légendaire "Rocky horror picture show" et qui offre en même temps une vision psychédélique, glamour du monde du rock dans les années 70. Un hommage criant et totalement assumé aux oeuvres comme "Faust" ou "Le portrait de Dorian Gray", du rythme, des chansons entraînantes. Diablement charismatique, un long-métrage culte. Ou comment pouvais-je prétendre être cinéphile sans avoir vu cette perle ?
    GéDéon
    GéDéon

    85 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 avril 2024
    En 1974, Brian De Palma signe un conte fantastique et musical complètement kitsch. Dans cette parodie du show-business, la mise en scène très imaginative garantit de purs moments de délire. La bande son, entièrement composée par Paul Williams (qui interprète également le rôle de cet impresario véreux), rassemble une multitude de morceaux révélateurs de la diversité musicale de l’époque. Malgré le caractère sombre de l’histoire, plusieurs clins d’œil humoristiques parsèment le récit (caricature du groupe de rock Kiss, la scène du rideau de douche de « Psychose », etc.). Cet ensemble hétérogène allant dans tous les sens, possède une énergie folle lui permettant de traverser allègrement le temps Bref, un statut de film culte totalement mérité.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 2 décembre 2018
    Une réalisation psychédélique, composée d’histoire magique de l’ombre, le fantôme d’un revenant défiguré par une machine infernale, perdu dans son génie musical toujours vivant malgré cela, tout n’est que poésie, une voix qui se fait dépouillée de son âme, la version de la romance tragique de Faust. La mise en scène est à l’image de la foule en ébullition, un monde fou hypnotisé par ces artistes défoncés sur scène et en coulisse, un emprunt à « Psychose » détourné en dérision. La douceur des mélodies provient du paradis, le jardin des hallucinations, du délire des clowns, le pacte de sang signé de l’enfer puis le masque tombe, c’est excellent comme film et je suis touché par la grâce.
    Tom H.
    Tom H.

    8 abonnés 62 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 décembre 2013
    Ah ! J'ai trouvé ce film malsain, assez dégoûtant par moment. C'est le genre de film qui aurait très bien pu me plaire mais... Rien à faire, je n'accroche pas ! Le fan de rock rétro que je suis n'a même pas su apprécier l'ambiance théâtrale pop du film. Ce n'est pas ennuyeux, par contre, ce n'est pas mauvais non plus. Mais ce n'est pas pour moi !
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 21 février 2009
    Un scénario trop barré pour appartenir à mon univers. Au bout de 20 minutes, je n'étais déjà plus dans le film. Dommage car la réalisation de de Palma était inventive et les musiques réellement mélodieuses.
    Alolfer
    Alolfer

    127 abonnés 1 147 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 octobre 2023
    Quel film excellent de la part de Brian de Palma ! Un film "bizarre" est assez perché dans son univers mais c'est d'une maîtrise parfaite ! Paul Williams est formidable dans ce film ainsi que les autres acteurs ! Ce film est un mélange de genre : on passe de la comédie à la musique et tout ça avec une dose d'horreur ; l'équilibre est vraiment respecté ! Bien évidemment, les musiques est formidable !

    Un film que je considère comme sous-côté
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