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    Free Zone
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    2,4
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    47 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    FREE ZONE est un film qui m'a beaucoup touché par la beauté de son histoire autant que par sa réalisation très esthétique.La performance des actrices est incroyable (Hanna Laslo, Natalie Portman).Un très bon road-movie qui se dirige tout droit vers la liberté.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 juin 2007
    Une Américaine, une Israélienne et une Palestinienne sont dans une voiture…
    Avec ce film qui comporte quelques longueurs, Amos Gitaï nous livre un road movie en automobile à travers Israël et la Jordanie. La comptine de la sublime scène d’entrée où l’on voit Rebecca / Nathalie Portman pleurer et la scène finale de Hanna l’Israélienne et Leïla, la Palestinienne qui se dispute sans fin résume bien la situation géopolitique du Proche Orient.
    À voir pour comprendre que la paix est possible mais difficile.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Avec un trio d'actrices exceptionnelles, toutes également émouvantes, ce film au sujet toujours aussi complexe à traiter s'en sort très bien. On peut cependant déploré quelque perte de rythme après la première demi-heure toutefois. Le premier plan est en revanche sublime, autant la musique que Natalie Portman, meilleure de film en film.
    SociN
    SociN

    11 abonnés 597 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Un film ennuyeux!
    Le début est époustouflant. Le long plan séquence sur Natalie Portman en pleurs accompagné d'une sublime musique traditionnelle est magnifique. Il dure 5 minutes et nous promet beaucoup. Mais malheureusement, le reste du film ne suit pas. Pendant une heure, Amos Gitai nous promène, avec un montage trés maîtrisé certes, mais c'est l'ennui qui guette. C'est à peine si quelques annectodes ou péripéties évitent au spectateur de s'endormir. Avec l'apparition de l'américain, on se dit que le film va enfin commencer, mais non, et on voit arriver le générique de fin, sans savoir si on doit être soulagé (merci d'abréger nos souffrances) ou bien déçu de ne pas avoir un léger aboutissement dans ce film. Quand au jeu d'Hana Laszlo, il est bon certes, mais méritait t'il un prix d'interprétation à Cannes ? Non certainement pas.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Très beau film, très émouvant où j'ai pus découvrir la magnifique actrice Hanna Lazlo qui mérite amplement sa palme de meilleure interprête féminine au festival de Cannes! Tout au long du film on découvre un magnifique bande originale qui prend vraiment au coeur, magnifique chanson en hébreu!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Un bon film, un film d'auteur, un film où les trois actrices sont formidables, un film bien mené,un film plaisant à voir,Nathalie portman joue un rôle d'humaniste plus que bluffant.
    DimDim72
    DimDim72

    8 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 mars 2009
    Ennuyeux et sans intérêt.
    Très décevant de la part d'Amos Gutaï.
    Marc1976
    Marc1976

    46 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Belle histoire, belle bande son, bonnes actrices. Mais l'instabilité de l'image donne un sentiment de malaise, voire de nausée, au spectateur. Dommage que la recherche d'un effet devienne désagréable au point de nuire à l'ensemble.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Très bon film tourné comme un documentaire. Ne traite pas d'un sujet mais de plusieurs petits sujets. Je le recommande a ceux qui aime les films d'auteur. Très bonne prestation des actrices, très bien réalisé, je félicite toute l'équipe de tournage.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    J'ai beaucoup aimé les deux niveaux d'interprétation offerts par ce film. Amos Gitaï se comporte là en véritable talmudiste. Au 1er niveau, 3 femmes parcourent le Moyen-Orient et nous montrent à la fois l'histoire des peuples israéliens et palestiniens, et la complexité de cette région dont les schémas simplistes proposés habituellement sont si éloignés de la réalité. Au 2nd niveau, allégorique, ces 3 femmes symbolisent les 3 Etats actuellement engagés dans la recherche de la paix: Etats-Unis, Israël et Palestine. Sans doute ce 2nd niveau n'est-il pas évident. Pourtant, Amos Gitaï nous y prépare en nous projetant, au début du film, des images supperposées du flash back et du présent, nous obligeant à suivre sur 2 niveaux à la fois.
    Les seuls points limites sont toutes les références culturelles qui, sans aucun doute, doivent passer inaperçues pour un grand nombre de spectateurs ...
    cyril armanet
    cyril armanet

    4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Alors que l'actualité entre israéliens et palestiniens est encore chaude. Ce film est une lueur d'espoir avec la vie de ces 3 femmes totalement différentes. La première scène est d'une émotion extraordinaire et Nathalie Portman confirme son talent de très très grande actrice.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 25 juin 2007
    Le synopsis de cette histoire ne se dévoile en réalité qu'à la toute fin du film, puisqu'avant, Haneke aura pris un malin plaisir à guider les spectateurs que nous sommes dans un traquenard sans précédent.
    En effet, comme l'indique le titre du film, ce dernier volet n'est en fait qu'un tissu de multiples couleurs. Un guêpier dans lequel viennent s'entasser des dizaines et des dizaines d'images, toutes différentes, construites sous formes de puzzles.
    Plusieurs histoires différentes, filmées de manière très théatrales, des plans fixes, comme d'habitude chez le metteur en scène, qui coupent volontairement les personnages.
    Théatral donc, dans la manière de montrer tout en distance, une dérive du quotidien.
    On commence par la confrontation de l'adulte à l'enfant. Thème récurrent chez Haneke, la non-communication, on parle mais on ne communique pas, une nuance qui fait toute sa différence ici.
    L'enfant, meurtri dans un quotidien d'adultes réfractaires d'une société vampirisée.
    Des moutons, qui suivent le berger, même s'il saute dans le précipice.
    Lentement, mais sûrement, le drame se dessine. On connait l'histoire, en lisant le synopsis, mais on ne sait jamais, chez Haneke, quand cela va basculer.
    Dans son troisième film, une nouvelle fois ce quotidien monotone sera la source de la déchéance. L'ennui profond, la banalité d'une vie, le temps qui passe, mais ou rien ne se passe.
    Car c'est de cela qu'il s'agit, du temps, et de son déchènement psychologique.Ses personnages parlent pour parler, agissent pour agir, pleurent sans savoir pourquoi, ils sont là, tel des larves, des invertébrés transparents, des zombies dotés de la parole.
    Son film, il le construit donc en fragments, plusieurs histoires, mais une seule finalité.
    Son histoire commence comme un journal On regarde, on bave d'apprentissage, on se tue devant le tissu de manipulation médiatique On s'y croirait, tant le réalisme réel, notre réalité, est ici dépeinte...

    La suite sur actee.canalblog.com
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Humanisme, tendresse et violence sont quelques-uns des axes traversant ce film, réflexion aussi sur l’absurdité de l’époque et la nostalgie d’ « avant », du début du siècle où les frontières, absurdement tracées au Moyen-Orient par Français et anglais, n’existaient pas pour ce qu’elles sont devenues, balisage que l’on sait de tous les conflits. Sur la violence, point n’est besoin de s’étendre. Le film nous entraîne dans une traversée des frontières, traversée réelle d’un taxi qui emmène l’Américaine Rebecca (Natalie Portman)et son chauffeur, l’Israélienne Hannah (Hanna Laslo, époustouflante !) vers une « Free Zone » où chacun, quelle que soit sa nationalité achète et vend sans question de nationalité, de culture ou de religion. La zone libre !!! Zone de commerce, sans plus, seul dénominateur commun à une coexistence, et non zone de paix. Les règles humanistes sont donc brouillées. Comme le seront les images de ce film. Surimpressions, caméra à l’épaule, mouvements saccadés, le film est techniquement très travaillé. La tendresse d’Amos Gitaï pour ses personnages se lit à chaque instant dans la façon qu’il a toujours de les faire vivre ensemble, quoique dans le conflit...Au-delà d’une histoire de passage de frontière, c’est à une traversée métaphorique de toutes les barrières que nous sommes conviés. A. Gitaï a fait lui-même ce voyage, dans cette Free Zone, avec un chauffeur. De cette expérience, il a changé hommes en femmes, ce qui accentue plus encore la sensibilité de son propos. Le caractère anecdotique, quasi documentaire du film éloigne des réalisations précédentes comme Kadosh. C’est que la gravité d’une situation ne se mesure pas à l’intensité des conflits.. Même si le non-achèvement du propos reflète l’impossibilité d’une conclusion sereine, on attend quelque chose de plus. Peut-être l’aurons nous dans un prochain film… Avec peu d’arguments, Amos Gitaï fait passer un message d’une incroyable force. Petite pierre blanche d’un chemin encore long à parcourir…
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Avec cette daube zonarde, Gitaï nous prouve une nouvelle fois à quel point le cinéma d'auteur devient vide quand il devient prétentieux. Un travail de plans séquences qui virent au ridicule, notamment le premier, salué à tort, tant sa longueur et la pâle interprétation de son actrice le rendent indigeste. Deux minutes auraient amplement suffit. Mais le réalisateur se complet dans la démeusure, et nous offre un film arrogant, balourd, road trip enfleurant le conflit des origines, des croyances, des éducations. Le non-jeu l'emporte et Free zone ressemble plus à un documentaire sur les dialectes locaux qu'à une réflexion socio-politique du conflit Isreal/Palestine et Orient/Occident. Laslo peut remercier les organisateurs du Festival de Cannes d'avoir convié Emir Kusturica à présider le jury. On aurait eu Tarantino, elle aurait même pas vu la couleur d'une récompense.
    Le pire, c'est que dans ce pseudo cinéma qui se réclame d'auteur, on invite une actrice hommywoodienne pour faire de la pub, alors même que cela va à l'encontre du principe. Et quand il s'agit de la nullissime Portman (que les critiques sérieux commencent à reconnaitre comme tel), qui est d'une inconsistance à peine croyable au regard de sa notoriété, on est sur d'aller au casse pipe. D'ailleurs Gitaï ne s'en est pas vanté. Il n'a plus jamais mentionné son nom. Reste qu'avec ou sans Amidala, le film reste totalement...zone.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 19 février 2007
    D'un ennui monstrueux. Un difficile sujet, certes, mais qui aurait gagné à être mieux traité, quitte à changer le rythme du film. Là, ce film avance sans queue ni tête, sans objectif précis : parlez-moi de la représentation de ce conflit de la manière la plus authentique possible, d'une chronique illustrant cette misère! Fichtre, c'est une perte de temps!

    Le film est, excepté une ou deux scènes, peu esthétique. Une réalisation à mi-chemin entre le documentaire et la fiction qui se veut assez immersive, mais qui boîte de par sa maladroitesse, ce qui en devient intellectuellement défendable... car c'est bien ce qui se passe ici ?
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