Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
36 critiques presse
Brazil
par Alex Masson
Rarement l'auteur de Kadosh avait été si incisif pour délivrer son message pacifiste.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Cahiers du Cinéma
par Jean-Michel frodon
Le film lui aussi avance sur quatre roues grâce à un moteur, mais surtout il est lui-même une "zone libre", politiquement et cinématographiquement.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
L'Humanité
par Dominique Widemann
(critique cannoise) Si chaque personnage est habité des fragments d'une histoire commune, aucun ne fait archétype tout en dévoilant, au détour d'un mot ou d'un geste, les grandes et petites charges explosives qu'ils abritent (...) L'espoir est au final aussi ténu que le film est abouti.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Ainsi, de même que le trajet des protagonistes se destine à briser les frontières, "Free Zone" fait exploser celle censée distinguer le documentaire et la fiction, imposant avec éclat cette évidence du cinéma moderne qui fait qu'un film se constitue aussi par le regard qu'il porte sur sa propre fabrication.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Score
par Yara De Lima
Tour à tout tendre et déchirant, ce film touche par une extrême justesse, absolument désarmante.
La critique complète est disponible sur le site Score
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Une parabole intelligente et sensible pétrie d'humanité.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Télérama
par Aurélien Ferenczi
(Pour) : Le talent d'Amos Gitai, qui signe ici son film le plus fluide, est de faire vivre ces femmes, mais aussi de déguiser ce film très travaillé en semi-documentaire, ouvert aux incidents du trajet.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Télérama
par Aurélien Férenczi
(critique cannoise) (...) jamais l'émotion ne nous [quitte] tout au long de ce film limpide, sans doute l'un des plus simples et les plus aboutis du cinéaste israélien (...) D'une situation théorique, Amos Gitai a su tirer une film d'une profonde humanité (...)
Elle
par Florence Ben Sadoun
(...) "jusqu'à quand cette folie ?" Amos Gitai repose la question en s'installant à l'arrière d'un taxi qui traverse l'histoire.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Emile Breton
(...) le récit suit un double cours, entre ce que disent les personnages et le passé qu'ils revivent. Dans l'habitacle même de la voiture, une superposition d'images, présent du voyage, passé revécu, marque ce " tressage " de l'individuel et du collectif.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
(critique cannoise) Film mineur dans la filmographie d'Amos Gitaï, Free Zone épate néanmoins par la maîtrise de sa mise en scène, l'énergie vitale qui sourd de ce périple trépidant, et la force à la fois critique et pacifiste de son auteur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Antoine de Baecque
Amos Gitaï adore ce genre de machine infernale, une machine à voyager entre Jérusalem et la frontière jordanienne, mais aussi entre les histoires, les genres, les paysages, les personnages. Si bien que le film n'est plus que trajets et déplacements (...) Il est donc dans la nature de Free Zone d'être anarchique et inégal.
MCinéma.com
par Philippe Descottes
(critique cannoise) Avec Free zone, Amos Gitaï nous offre à nouveau de superbes portraits de femmes (...) Un seul regret quand même : le personnage de Rebecca (...) devient évanescent dans sa deuxième moitié.
Positif
par Eithne O'Neil
Vitale, fondée sur une tristesse séculaire, "Free zone " est une ballade de notre temps.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
(...) un des films les plus émouvants d'Amos Gitaï sur le conflit dans cette région.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par N. T. Binh
Free Zone est l'une de ses oeuvres les plus abouties, par l'originalité de son propos et l'humanité qui se dégage de trois portraits de femmes, dont les destins se croisent.
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Pas assez poussé, réalisé visiblement trop vite (comme "Terre promise"), le nouveau Gitaï demeure le brouillon traversé de fulgurances de ce qu'il aurait pu être.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
(critique cannoise) Gitaï a laissé son cinéma en Israël : rien n'est construit par la mise en scène, réduite à un jeu maniériste bourrés d'effets chics infiniment lourds (...) Seules les images des faubourgs de la free zone bouleversent, Gitaï retrouvant en un fragment de séquence un lyrisme sec et puissant.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Emanuèle Frois
Dommage que cette terre promise, cette terre de liberté ne soit pas développé dans ce film. Reste ce beau portrait de femmes qui, malgré les conflits qui les opposent, pourraient changer le cours de l'histoire.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Malgré l'engagement des actrices, la confrontation entre le jeu américain de Natalie Portman, l'exubérance de Hanna Laslo (Prix d'interprétation à Cannes) et la sobriété de Hiam Abbas se heurte à la lourdeur d'un texte qui explique trop.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Ce sont ce dévoilement de lieux peu vus, ainsi que les performances d'Hana Laszlo et Hiam Abbas, qui font le prix de ce film plutôt que son dispositif et son message trop évidents et prévisibles.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Christine Haas
(...) une réflexion sur la question des frontières politiques et mentales, avant d'évoluer vers une relation de solidarité humaniste entre les trois femmes.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Sandrine Guioc
Le premier plan est inoubliable. Pour ce seul plan, il faut voir Free zone (...) Gitai y invite à un voyage free-style (superposition d'images fiévreuses, alternance de vides et de pleins) (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
Variety
par Derek Elley
(critique cannoise) La dimension du voyage est l'aspect le plus novateur du film, conduisant le spectateur sur des chemins rarement emprûntés, même si le scénario ne parvient que partiellement à en tirer un récit satisfaisant.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Zurban
par Véronique Le Bris
(critique cannoise) (...) en dehors de trois scènes vraiment fortes (le long plan séquence sur le profil de Natalie Portman, en larmes, et les confidences d'Hanna et de l'Américain), ce road-movie chahuté, hanté par de lourds flash-backs, manque le plus souvent de conviction.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
(...) si l'ensemble succombe souvent sous le poids des métaphores et manque de rigueur, il est rehaussé par la qualité de son interprétation dont un magnifique trio d'actrices (Hanna Laslo, récompensée à Cannes). L'excellente bande-son, loin d'être un artifice superfétatoire, ajoute à l'intensité du récit.
Fluctuat.net
par Sophie Berdah
(...) là où le réalisateur de Kippour, de Kaddosh, de Alila savait souligner l'incommunicabilité des êtres et leur emprisonnement dans des cercles sociaux, le réalisateur de Free Zone s'enferre dans une démonstration au mieux naïve, au pire contre-productive.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Libération
par Didier Péron
(critique cannoise) Free zone (...) est effectivement très "libre" et plus encore "zone". C'est à peine un film, plutôt une proposition de cinéma-grumeaux nageant dans une grande plâtrée de purée politique.
Ouest France
par La Rédaction
Il nous embarque cette fois sur un itinéraire confus. Malgré ses recherches formelles, il nous laisse en rade. On retiendra pourtant l'énorme implication des trois interprètes, même si c'est la seule Hanna Laslo qui a été couronnée du prix d'interprétation par le jury du festival de Cannes.
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
The Hollywood Reporter
par Duane Byrge
(critique cannoise) Ce road-movie s'embourbe, en raison d'un filmage heurté, d'un rythme languissant et de la maladresse du discours. Free zone est un épouvantable périple cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Télérama
par Marine Landrot
(Contre) : Cette esthétique chic et toc sabote souvent le jeu des actrices, et la rencontre de ses trois beaux personnages de femmes (une juive américaine, une Israélienne et une Palestinienne) finit par ne rien donner de plus que le côtoiement indifférent de trois voyageuses dans un bus de banlieue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
Rarement l'auteur de Kadosh avait été si incisif pour délivrer son message pacifiste.
Cahiers du Cinéma
Le film lui aussi avance sur quatre roues grâce à un moteur, mais surtout il est lui-même une "zone libre", politiquement et cinématographiquement.
L'Humanité
(critique cannoise) Si chaque personnage est habité des fragments d'une histoire commune, aucun ne fait archétype tout en dévoilant, au détour d'un mot ou d'un geste, les grandes et petites charges explosives qu'ils abritent (...) L'espoir est au final aussi ténu que le film est abouti.
L'Obs
Ainsi, de même que le trajet des protagonistes se destine à briser les frontières, "Free Zone" fait exploser celle censée distinguer le documentaire et la fiction, imposant avec éclat cette évidence du cinéma moderne qui fait qu'un film se constitue aussi par le regard qu'il porte sur sa propre fabrication.
Score
Tour à tout tendre et déchirant, ce film touche par une extrême justesse, absolument désarmante.
Télé 7 Jours
Une parabole intelligente et sensible pétrie d'humanité.
Télérama
(Pour) : Le talent d'Amos Gitai, qui signe ici son film le plus fluide, est de faire vivre ces femmes, mais aussi de déguiser ce film très travaillé en semi-documentaire, ouvert aux incidents du trajet.
Télérama
(critique cannoise) (...) jamais l'émotion ne nous [quitte] tout au long de ce film limpide, sans doute l'un des plus simples et les plus aboutis du cinéaste israélien (...) D'une situation théorique, Amos Gitai a su tirer une film d'une profonde humanité (...)
Elle
(...) "jusqu'à quand cette folie ?" Amos Gitai repose la question en s'installant à l'arrière d'un taxi qui traverse l'histoire.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
(...) le récit suit un double cours, entre ce que disent les personnages et le passé qu'ils revivent. Dans l'habitacle même de la voiture, une superposition d'images, présent du voyage, passé revécu, marque ce " tressage " de l'individuel et du collectif.
Le Monde
(critique cannoise) Film mineur dans la filmographie d'Amos Gitaï, Free Zone épate néanmoins par la maîtrise de sa mise en scène, l'énergie vitale qui sourd de ce périple trépidant, et la force à la fois critique et pacifiste de son auteur.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Amos Gitaï adore ce genre de machine infernale, une machine à voyager entre Jérusalem et la frontière jordanienne, mais aussi entre les histoires, les genres, les paysages, les personnages. Si bien que le film n'est plus que trajets et déplacements (...) Il est donc dans la nature de Free Zone d'être anarchique et inégal.
MCinéma.com
(critique cannoise) Avec Free zone, Amos Gitaï nous offre à nouveau de superbes portraits de femmes (...) Un seul regret quand même : le personnage de Rebecca (...) devient évanescent dans sa deuxième moitié.
Positif
Vitale, fondée sur une tristesse séculaire, "Free zone " est une ballade de notre temps.
TéléCinéObs
(...) un des films les plus émouvants d'Amos Gitaï sur le conflit dans cette région.
Zurban
Free Zone est l'une de ses oeuvres les plus abouties, par l'originalité de son propos et l'humanité qui se dégage de trois portraits de femmes, dont les destins se croisent.
Chronic'art.com
Pas assez poussé, réalisé visiblement trop vite (comme "Terre promise"), le nouveau Gitaï demeure le brouillon traversé de fulgurances de ce qu'il aurait pu être.
Chronic'art.com
(critique cannoise) Gitaï a laissé son cinéma en Israël : rien n'est construit par la mise en scène, réduite à un jeu maniériste bourrés d'effets chics infiniment lourds (...) Seules les images des faubourgs de la free zone bouleversent, Gitaï retrouvant en un fragment de séquence un lyrisme sec et puissant.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Dommage que cette terre promise, cette terre de liberté ne soit pas développé dans ce film. Reste ce beau portrait de femmes qui, malgré les conflits qui les opposent, pourraient changer le cours de l'histoire.
Le Monde
Malgré l'engagement des actrices, la confrontation entre le jeu américain de Natalie Portman, l'exubérance de Hanna Laslo (Prix d'interprétation à Cannes) et la sobriété de Hiam Abbas se heurte à la lourdeur d'un texte qui explique trop.
Les Inrockuptibles
Ce sont ce dévoilement de lieux peu vus, ainsi que les performances d'Hana Laszlo et Hiam Abbas, qui font le prix de ce film plutôt que son dispositif et son message trop évidents et prévisibles.
Paris Match
(...) une réflexion sur la question des frontières politiques et mentales, avant d'évoluer vers une relation de solidarité humaniste entre les trois femmes.
Première
Le premier plan est inoubliable. Pour ce seul plan, il faut voir Free zone (...) Gitai y invite à un voyage free-style (superposition d'images fiévreuses, alternance de vides et de pleins) (...)
Variety
(critique cannoise) La dimension du voyage est l'aspect le plus novateur du film, conduisant le spectateur sur des chemins rarement emprûntés, même si le scénario ne parvient que partiellement à en tirer un récit satisfaisant.
Zurban
(critique cannoise) (...) en dehors de trois scènes vraiment fortes (le long plan séquence sur le profil de Natalie Portman, en larmes, et les confidences d'Hanna et de l'Américain), ce road-movie chahuté, hanté par de lourds flash-backs, manque le plus souvent de conviction.
aVoir-aLire.com
(...) si l'ensemble succombe souvent sous le poids des métaphores et manque de rigueur, il est rehaussé par la qualité de son interprétation dont un magnifique trio d'actrices (Hanna Laslo, récompensée à Cannes). L'excellente bande-son, loin d'être un artifice superfétatoire, ajoute à l'intensité du récit.
Fluctuat.net
(...) là où le réalisateur de Kippour, de Kaddosh, de Alila savait souligner l'incommunicabilité des êtres et leur emprisonnement dans des cercles sociaux, le réalisateur de Free Zone s'enferre dans une démonstration au mieux naïve, au pire contre-productive.
Libération
(critique cannoise) Free zone (...) est effectivement très "libre" et plus encore "zone". C'est à peine un film, plutôt une proposition de cinéma-grumeaux nageant dans une grande plâtrée de purée politique.
Ouest France
Il nous embarque cette fois sur un itinéraire confus. Malgré ses recherches formelles, il nous laisse en rade. On retiendra pourtant l'énorme implication des trois interprètes, même si c'est la seule Hanna Laslo qui a été couronnée du prix d'interprétation par le jury du festival de Cannes.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
The Hollywood Reporter
(critique cannoise) Ce road-movie s'embourbe, en raison d'un filmage heurté, d'un rythme languissant et de la maladresse du discours. Free zone est un épouvantable périple cinématographique.
Télérama
(Contre) : Cette esthétique chic et toc sabote souvent le jeu des actrices, et la rencontre de ses trois beaux personnages de femmes (une juive américaine, une Israélienne et une Palestinienne) finit par ne rien donner de plus que le côtoiement indifférent de trois voyageuses dans un bus de banlieue.