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Un visiteur
0,5
Publiée le 12 avril 2007
Mon Dieu quel navet... navet de chez navet de chez navet... Vraiment aucun intêret!!! les acteurs surjouent (notamment Samuel Le Bihan, absolument insupportable), Andie McDowell, certes charmante, n'y croit pas une seule seconde et ça se voit, Tim Roth est le seul à peu près potable... Quant au scénario, c'est bien simple: il n'y en a pas... ou plutôt, il y en a un, mais tellement insipide et bâclé que c'est comme s'il n'existait pas. Les dialogues sont ridicules ("Fergus est mort. Mort depuis 6 mois. Vous devriez le savoir.", quelle nullité mon Dieu) et les personnages sont caricaturaux au possible: le beau locataire Français qui fait office d'homme à tout faire, et qui deviendra par la même occasion l'ami "intime" de la famille (avec de gentilles scènes style pub pour Ricoré: les fillettes rentrent de l'école, se précipitent dans les bras de leur mère avant de passer illico presto dans ceux de Marc: "Maman! Marc peut manger avec nous?" " Eh bien... pourquoi pas!" (ou presque), l'ado en pleine crise qui trouve un appui en la personne du locataire, l'amie à moitié folle adepte de sciences occultes... Bref, trop de clichés, trop de flashbacks pour rien et le pire: la fin! une gentille happy-end à l'américaine avec, en dernier plan, le mari qui retourne d'où il est venu... absolument dérisoire.
Quelle déception ! Les acteurs et le thème abordé laissaient présager un film plutot sympathique. Mais l'histoire est complètement linéaire, aucun évènement ne vient jamais perturber le déroulement de l'histoire. Encore un film qui sera très vite oublié !
Le dernier signe aurait dû être compris : la bande annonce me laissait entendre que le film serait ennuyeux et malheureusement, je ne l'ai pas détecté :S A part bien entendu, le charme de Samuel Le Bihan, je ne me suis pas régalée du tout et suis restée sur ma 'faim' en terme de suspense, d'action... de tout quoi ! Il faut arrêter de mélanger plusieurs genres qui ne nous emmènent pas plus loin que ce qui est espéré !
Ce "film" n'a strictement aucun intêret. Il ne vaut pas le cout de le louer au videoclub, alors l'acheter... A la rigueur, si on vous l'offre, le DVD peut vous servir de frisbe sympa avec la photo d'Andie MacDowell dessus. Ou d'un sous-verre pour vos soirées dvd, mais alors il faut un assez gros verre.
c'est nul et ennuyeux à mourrir. c'est une sorte d'"Apparition" (avec Kevin Costner) mais en beaucoup, beaucoup, beaucoup moins bien. Qu'est ce que Samuel le Bihan est allé se fourvoyer la dedans. Au moins le français ne joue pas le rôle du méchant. ça change un peu.
La bande annonce ne retranscrit pas du tout le film, quand on a vu la bande annonce on a quasiment vu tous le film, il n'y a pas de suspens, la fin n'est pas génial, ce n'est pas un film qui mérité d'être vu
Bienvenue à nanarland ! Ou comment produire un film sans intérêt, à partir d'une histoire minable, avec des acteurs sur le retour, confié à un cinéaste manchot ? On se demande parfois ce qui se passe dans la tête des producteurs européens. Comment imaginer une seule seconde que ce "téléfilm" puisse avoir le moindre retentissement ? On est assez rapidement fixé, car au bout de dix minutes, le spectateur aguerri comprend que l'histoire du film est inepte et qu'elle ne débouchera sur rien d'autre qu'un vide intersidéral. Ici, tout le monde doit être accusé : les scénaristes qui ne savent visiblement pas torcher une histoire digne de ce nom ; le cinéaste visiblement incapable de réaliser le moindre plan qui tienne la route ; les acteurs qui ont l'air de s'ennuyer ferme (A. McDowell n'a jamais été aussi fade et Tim Roth a l'air d'être passé dans le coin par hasard). La présence de Samuel Le Bihan n'aide pas : si vous voyez le film en V.O. vous entendrez un autre acteur anglophone le doubler, mais si vous le voyez en V.F. c'est lui-même qui se double (et on sait que l'exercice est périlleux et raté la plupart du temps). Tout cela pour vous dire de fuir cette daube infame. Les seuls dans la salle à ne pas avoir crié "remboursez" sont ceux qui ont une carte illimitée.
Il est étonnant que de très bons films ne puissent bénéficier d'une sortie sur grand écran ( le cas de "the door in the floor" par exemple) alors que des productions aux allures de téléfilms moyens comme " le dernier signe" ont cette chance. Cette impression amère que les cinémas privent les spectateurs d'oeuvres fortes (car moins lucratives) se prolonge dans la déception ressentie après avoir vu "le dernier signe"( "heureusement qu'il s'agit du dernier" serons-nous tentés de dire).
Ce film, aussi vite vu qu'oublié, n'a cependant rien de honteux. Il s'agit d'un petit melo gentillet à la lizière du fantastique, un ersatz de "Ghost" en plus tourmenté, moins féérique, moins intense et à la psychologie bon public. De grosses ficelles, des dialogues triviaux dont la fadeur contraste avec un sujet voulu à la base mi-angoissant mi-dramatique, ainsi qu'un "happy end" aussi prévisible quidiot.
Il n'y a donc rien de mémorable dans cette co-production franco-canadienne correcte dont le générique sympathique nous gratifie ( le mot est peut-être trop fort) du come-back d'une (véritable) revenante: Margot Kidder alias l'ex "Loïs Lane" de Superman. Samuel le Bihan se contente d'arborer son coutumier sourire narquois et en profite - entre deux répliques insignifiantes - pour montrer son torse noueux et sec. Bref, il ne surprendra pas ses détracteurs, il se contente du minimum syndical. Par contre, on en espérait davantage de la part de Andie McDowell, dont le charme et la beauté nous feraient (presque)oublier les lacunes d'un scénario indigent, et de Tim Roth, dont la noirceur du regard sied fort bien au rôle de mari-fantôme. Leurs expressions sont d'un minimalisme effarant qui ne permet malheureusement pas aux spectateurs de s'identifier à leurs tourments. Certains plans jouissent d'une touche onirique et nostalgique appréciable, mais il est regrettable que le postulat pourtant intéressant chavire dans une fin expéditive juste digne d'une comédie romantique bas de g
le sujet pouvait laisser croire à un film à frissons.Mais il n'en est rien.Le tout vire à l'histoire d'amour toute bête.Les dialogues sont basiques,et il n'y a quasi pas de suspense,car on devine la fin.Il se dégage néanmoins une atmosphère poétique,et c'est peut-être le seul atout du film.
Ma curiosité piquée par la bande annonce jai voulu voir ce que cachait ce « Dernier Signe » (message à Chad : je ne suis pas allée voir le film pour le descendre sur allociné !). En fait de signe du Ciel jai vite atterri ! Cette histoire de revenant est sans aucune surprise. Ce qui est censé faire peur laisse de marbre. Ce qui est censé émouvoir ne suscite quun sourire de pitié. Et par surcroît la morale de ce film me semble à la limite de lhonnêteté. La petite croix qui brille au cou de la belle Kathy pourrait laisser croire en effet que ces élucubrations spectrales font partie de la foi chrétienne. Or la croyance en la survie de lâme nest pas obligée de sencombrer de ce spiritisme lourdaud et primitif, sans aucune distance ni intériorisation. Si lon pense que pardonner est une libération, ce théorème ne gagne rien à être assené de manière si démonstrative, surtout en laissant croire que cest facile . Il ne reste ici quun vague parfum de religiosité fade qui contribuera encore à discréditer la religion. Et tout cela risque encore de renforcer les préjugés sur les Américains naïfs et crédules. Cest commercial et mal fait. Samuel le Bihan, peu inspiré par le thème sans doute, surjoue en montrant complaisamment un physique avantageux. Quest venu faire le sulfureux Tim Roth dans cette galère ? On met une éternité à reconnaître ses traits sous ce spectre qui semble s'acquitter d'un pensum. Seule Andie Mac Dowell réussit à nous toucher fugitivement. Pour elle je mets une étoile au film. Mais si lon vous fait un « Dernier Signe », réfléchissez bien avant de répondre !