Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Brazil
par Eric Coubard
L'Annulaire est un film magnifique, effrayant et charnel qu'il ne faut absolument pas manquer.
Elle
par Elisabeth Quin
Adaptation très envoutante du roman de Yoko Ogawa. (...) Le rapprochement entre soumission et sexualité est traité avec beaucoup de... doigté.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Positif
par Yann Tobin
Dans un cinéma français de plus en plus formaté, L'Annulaire de Diane Bertrand apparaît comme un vent frais (...), une bouffée d'originalité (...). La mis en scène de cette fable tient de la magie pure et simple.
La critique complète est disponible sur le site Positif
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Paris Match
par Alain Spira
Ce film, adapté d'un roman de Tyoko Ogawa, fascine par une poésie lancinante écrite par une caméra virtuose. Cette oeuvre à part joue les contrastes entre les sties industriels à l'anatomie métallique et le charme débordant d'Olga Kurylenko.
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Une manière pertinente de donner corps à la prose épurée et acérée de la romancière nippone Yoko Ogawa, auteur du récit éponyme.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Atmosphère étrange, vertige des sens, étreintes amoureuses. Le désir dans tous ses états dans ce film délicieux et anxiogène.
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
(...) plus terre-à-terre qu'il n'y parait, le film ne sait que montrer, finalement incapable de s'incarner ou de s'abstraire. Mais il n'est pas interdit d'imaginer que Diane Bertrand y parvienne un jour.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
par Thomas Sotinel
Tout est tellement chic qu'on a presque peur de déranger le bel ordonnancement du film en le regardant (...) Ce n'est donc pas l'intelligence ni l'élégance qui manquent au film de Diane Bertrand. Mais on dirait qu'elle s'est efforcée de faire en sorte qu'il n'y ait rien à redire, et du coup, il n'y a plus grand-chose à dire.
MCinéma.com
par Aurélien Allin
(...)La façon dont la cinéaste tente d'installer une atmosphère de mystère et d'épure jusqu'au-boutiste, est trop artificielle pour que le spectateur s'y intéresse réellement. (...) Surtout que la psychologie des personnages ainsi que l'écriture sont ici vieillottes, les dialogues sonnant souvent faux, en cela peu aidés par des acteurs mal dirigés. L'ennui guette rapidement, et le spectateur n'a plus qu'à se raccrocher à la beauté visuelle de ce film remarquablement photographié, et à la transcendante musique de Beth Gibbons, chanteuse du groupe Portishead.
Première
par Stéphanie Lamome
Un univers sous bocal. On peut s'y casser les dents ou rester scotché...
Score
par V. McKey
Olga Kurylenko, incontestable nouvelle Bardot, est le seul éclat d'un film qui s'asphyxie entre fiévreuse étude du trouble érotique, onirisme défraîchi et vision adolescente du sado-masochisme.
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Ophélie Wiel
On peut regretter qu'au jeu austère des acteurs Diane Bertrand ajoute une mise en scène cérébrale, assortie d'images trop léchées, supposées oniriques. Mais on se surprend à s'attacher au mystère du petit bout d'annulaire perdu, fil rouge de ce conte fantastique et excessif jusque dans la bizarrerie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Olivier Pélisson
Malgré une raideur qui paralyse parfois le récit et pourrait l'enfermer dans une bulle esthétisante, la sensuelle Olga Kurylenko et l'excellent Mar Barbé nous emportent dans l'étrangeté des situations et la beauté des plans, délicatement orchestrés par la cinéaste.
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Diane Bertrand accumule les japoniaiseries, les indices purement décoratifs, perdant tout sens de la suggestion dans une mise en scène hésitante et bourrée de tics, à l'esthétisme complaisamment diffus, alors qu'un objet, un détail, un plan plutôt qu'une image- un brin de concret quoi!- auraient davantage troublé le réel
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Brazil
L'Annulaire est un film magnifique, effrayant et charnel qu'il ne faut absolument pas manquer.
Elle
Adaptation très envoutante du roman de Yoko Ogawa. (...) Le rapprochement entre soumission et sexualité est traité avec beaucoup de... doigté.
Positif
Dans un cinéma français de plus en plus formaté, L'Annulaire de Diane Bertrand apparaît comme un vent frais (...), une bouffée d'originalité (...). La mis en scène de cette fable tient de la magie pure et simple.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Paris Match
Ce film, adapté d'un roman de Tyoko Ogawa, fascine par une poésie lancinante écrite par une caméra virtuose. Cette oeuvre à part joue les contrastes entre les sties industriels à l'anatomie métallique et le charme débordant d'Olga Kurylenko.
TéléCinéObs
Une manière pertinente de donner corps à la prose épurée et acérée de la romancière nippone Yoko Ogawa, auteur du récit éponyme.
aVoir-aLire.com
Atmosphère étrange, vertige des sens, étreintes amoureuses. Le désir dans tous ses états dans ce film délicieux et anxiogène.
Chronic'art.com
(...) plus terre-à-terre qu'il n'y parait, le film ne sait que montrer, finalement incapable de s'incarner ou de s'abstraire. Mais il n'est pas interdit d'imaginer que Diane Bertrand y parvienne un jour.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Tout est tellement chic qu'on a presque peur de déranger le bel ordonnancement du film en le regardant (...) Ce n'est donc pas l'intelligence ni l'élégance qui manquent au film de Diane Bertrand. Mais on dirait qu'elle s'est efforcée de faire en sorte qu'il n'y ait rien à redire, et du coup, il n'y a plus grand-chose à dire.
MCinéma.com
(...)La façon dont la cinéaste tente d'installer une atmosphère de mystère et d'épure jusqu'au-boutiste, est trop artificielle pour que le spectateur s'y intéresse réellement. (...) Surtout que la psychologie des personnages ainsi que l'écriture sont ici vieillottes, les dialogues sonnant souvent faux, en cela peu aidés par des acteurs mal dirigés. L'ennui guette rapidement, et le spectateur n'a plus qu'à se raccrocher à la beauté visuelle de ce film remarquablement photographié, et à la transcendante musique de Beth Gibbons, chanteuse du groupe Portishead.
Première
Un univers sous bocal. On peut s'y casser les dents ou rester scotché...
Score
Olga Kurylenko, incontestable nouvelle Bardot, est le seul éclat d'un film qui s'asphyxie entre fiévreuse étude du trouble érotique, onirisme défraîchi et vision adolescente du sado-masochisme.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
On peut regretter qu'au jeu austère des acteurs Diane Bertrand ajoute une mise en scène cérébrale, assortie d'images trop léchées, supposées oniriques. Mais on se surprend à s'attacher au mystère du petit bout d'annulaire perdu, fil rouge de ce conte fantastique et excessif jusque dans la bizarrerie.
Zurban
Malgré une raideur qui paralyse parfois le récit et pourrait l'enfermer dans une bulle esthétisante, la sensuelle Olga Kurylenko et l'excellent Mar Barbé nous emportent dans l'étrangeté des situations et la beauté des plans, délicatement orchestrés par la cinéaste.
Les Inrockuptibles
Diane Bertrand accumule les japoniaiseries, les indices purement décoratifs, perdant tout sens de la suggestion dans une mise en scène hésitante et bourrée de tics, à l'esthétisme complaisamment diffus, alors qu'un objet, un détail, un plan plutôt qu'une image- un brin de concret quoi!- auraient davantage troublé le réel