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jamesluctor
134 abonnés
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1,0
Publiée le 6 août 2012
Un essai aussi original que raté. Si les tentatives de rêve éveillé sont plutôt amusantes, difficile de se sentir passionné par cette vision de l'enfer assez classique, et simplement épicé avec un peu de Hellraiser. Un soupçon seulement, car on doit voir les créatures à peine 10 minutes pendant tout le film, le reste des personnages étant trop peu intéressant. Une sacré déception pour l'amateur, qui devra se contenter d'un film Z calibré pour le DTV et finalement peu intéressant.
Dernier Hellraiser de la saga "principale" qui vaut encore le coup. Le film est plutôt pas mal, c'est un thriller assez divertissant qui prend plusieurs "parties pris" qui peuvent plaire ou non. Le premier étant le très peut de temps à l'écran de Doug Bradley en Pinhead. Le deuxième est le rôle des cénobites qui changent. Ils n'ont plus cette neutralité qui les caractérisaient dans les premiers films. Et la scène avec les cowboys est vraiment nulle. En revanche, suivre un anti héros dans son propre enfer personnel et le voir revivre en boucle la même journée bloqué dans celui ci est une bonne idée et c'est plutôt bien effectué. En résulte un film imparfait mais assez efficace et sûrement le dernier film Hellraiser à valoir le coup dans la saga principale.
pas terrible vraiment pas terrible ! les éfet speciaux toujour impec les acteurs pareille mais on voye pas assez les cénobite peine 6 ou 7 minutes en tous ! et le film est trop psychologique pour être du hellraiser ( selon moi ) on comprends presque rien a l histoire telment y a : je me reveille je rêven encore réveille ! je suis drogué ! non je dormais je me rendor mai c est un rêve , en gros c est ce que ce hellraiser nous donnes on arive pas a suivre l histoire bref ce 5 éme opus est vraiment pas terribe 2/5
A ma grande surprise j'ai trouver ce cinquieme episode plutôt reussi. On retrouve un Hellraiser version thriller, cela donne un nouveau souffle a la saga qui en avait bien besoin apres un quatrieme episode rater. Certain pour toujours dire que Pinhead et ces "amis" sont moin present mai malgré tout l'intrigue est interessante.
Un film plutôt bien malgré quelques défauts. Le plus gros étant le scénario. Pas qu'il soit mauvais, mais que ce ne soit pas un scénario Hellraiser. On dirait que pour faire un film Hellraiser, les producteurs ont sorti de leur tiroir un scénario de policier fantastique sur lequel ils ont collé Pinhead et la boîte (et c'est le cas, ce scénario n'était pas censé être celui d'un Hellraiser). En fait, si Pinhead n'apparaissait pas et que la boîte n'était pas là non plus, rien ne nous lierait avec l'univers d'Hellraiser. Les nouveaux cénobites quant à eux, sont plus intriguant que ceux du 3 et du 4, ce qui est une bonne chose. En bref, un film meilleur que sont prédécesseur mais qui s'éloigne trop de l'univers Hellraiser.
Wahou, j'ai hésité à mettre 4 étoiles. Le scénario est nul et loufoque, les personnages pathétiques, des cowboys&girls ... Un vrai nanar qui n'a d'Hellraiser que le nom, la boîte et l'apparition de PinHead, et moi qui pensait que le 4 était une daube au moins les cénobites étaient présents et jouaient leur rôle
Le cinquième épisode de la saga Hellraiser est l'un des meilleurs, quasiment autant que le premier!!! L'histoire est très éloignée des autres opus, et cela va très bien à la série. Ici le film est vraiment construit comme un enquête policière où l'on finit par se perdre entre rêves et réalité. Le héros est assez charismatique, Doug Bradley est toujours aussi excellent en Pinhead. Bref, c'est le seul film à voir à tout prix en plus du premier!!!
J'ai un peu gonflé la note, c'est le seul hellraiser qui n'est pas un ratage total, car, pour une fois, réalisé par un réalisateur avec une autre trempe que d'obscurs tâcherons de la série B. On va dire que ça vaut un bon épisode d'X-Files.
On a, enfin, une intrigue. Le méchant est un monstre récurrent dans les oeuvres de Barker, surnommé "face d'argile". Il incarne ici une vision de l'enfer courante chez les chrétiens, l'âme tourmentée par sa culpabilité.
Barker n'a pas aimé le film, car l'apparition finale de "Pinhead" faisait contre-sens. Il est débarrassé de son humour de moine sado-maso conscient d'être un faux chrétien, pour endosser le ton solennel de l'inquisiteur espagnol sûr de son bon droit. Mais comme Barker change d'avis souvent, c'est finalement cette idée qu'il a retenue pour le roman "Les Evangiles Ecarlates", ou Pinhead est un catholique intégriste infiltré dans le monastère de Satan.
Changement radical de cap dans ce Hellraiser 5 : Inferno. Nouveau réalisateur, on se situe 13 ans après le premier opus. On regrettera cet aspect gore et SM des anciens Hellraiser, ainsi que l'apparition des Cénobites dans leurs vraies formes. En clair, cet épisode n'a clairement rien à voir avec les précédents si ce n'est l'apparition de Pinhead et le Cube.
Ici on suit une enquête policière sur ces propres démons intérieurs. Joseph, détective corrompu et drogué, enquête sur un tueur qui laisse le doigt d'un enfant à la fin de chacun de ses crimes.
Un film qui apporte une touche d’originalité à la franchise en lui donnant un nouveau souffle. Faut dire qu'avec l'épisode 4 dans l'espace c'était vraiment pas gagné...
Un pari osé, qui reste acceptable car l'histoire principale se suit assez facilement sans en faire trop. Craig Sheffer convaincant dans son rôle. 11/20
Un film médiocre où j'ai eu, chose rarissime chez moi, des moments d'absence. Ca traine en longueur, on voit pinhead 2 minutes en tout et pour tout et ce n'est ni gore ni angoissant. Si je notais en fonction de la nullité d'un film, il faudrait rajouter une étoile au score maximum.
Une demi étoile, et encore c'est gentil. Le film semble vouloir pomper Angel Heart. Mais l'acteur principal n'est PAS Mickey Rourke. Doug Bradley n'est pas De Niro (qui joue le diable, rappelez vous). La réalisation et l'ambiance générale, n'arrive même pas à la cheville de celles d'Angel Heart. J'ai passé mon temps a attendre qu'il dévoile enfin ce qu'on sait deja dès le premier crime. Pourquoi une demi étoile? Juste pour la volonté de jouer plus sur le psychologique que sur l'horreur et de donner un autre degré à la tension de cet univers. Helas, coup dans l'eau.
Il y à quand même de bon moment mais l'histoire est sans dessus dessous si j'aurais à choisir entre le 5 et le 6 je dirais que le 6 manipule beaucoup mieux le style et la fin ma scie en 2 ! Mais le 5 on fini par ce perde dans toute cette univers
Hellraiser: Inferno est un film incroyablement sous-coté, souvent éclipsé par les premiers volets de la saga Hellraiser. Pourtant, il se distingue de manière révolutionnaire en apportant une nouvelle perspective fascinante au sein de la franchise. Inferno s’aventure dans une dimension psychologique qui transcende les attentes.
Certes, les Cénobites et l’horreur viscérale sont moins présents, mais cela ne diminue en rien l’impact du film. Il joue sur une terreur beaucoup plus subtile, explorant les tourments mentaux et les descentes aux enfers intérieurs. Cette nouvelle approche donne au film une profondeur narrative rarement vue dans les précédents, où l’horreur est autant psychologique que physique.
La bande-son est un autre point fort du film, accompagnant parfaitement chaque scène, renforçant l’atmosphère oppressante et l’intensité des moments de tension. Elle s’accorde idéalement avec la mise en scène et contribue à plonger le spectateur dans cette spirale cauchemardesque.
En somme, Hellraiser: Inferno est une œuvre audacieuse qui mérite d’être redécouverte. Son approche novatrice, qui privilégie l’exploration des tourments de l’âme, renouvelle l’essence même de la saga. Malgré son manque de reconnaissance, il reste une pièce essentielle du puzzle Hellraiser, apportant une complexité et une fraîcheur qui lui assurent une place de choix parmi les films d’horreur psychologiques.
Après le 3 (...) et le 4 (olalala), je n'attendais plus grand chose de la suite et pourtant ! Une bonne manière de renouveler la série, même si l'esprit original n'est plus vraiment là, et le gore "plein les yeux a disparu" (attention c'est encore bien trash hein), le scénar est bien ficellé, beaucoup de rythme, le spectateur est sympathiquement baladé tout comme le protagoniste principal. Ce film m'a bien étonné, captivé et finalement séduit.