Cet opus renouvelle un peu l'intrigue, on ne va pas plus loin dans l'histoire des Cénobites, mais on clos l'arc narratif du second volet. Pinhead devient également le personnage central de l'histoire.
Je m'attendais au pire par rapport a ce film est pourtant ce troisième volet des aventures de PINHEAD et de ces associés est assez bien. Scènes gores bien faites et une bonne intréprétation fait de cette serie B un film regardable.
Bon film. Hellraiser 3 est dans la continuité des deux précédents opus. Pinhead est plus charismatique et occupe une place plus importante. Les autres personnages sont moins intéressants que dans le 2. Le scénario quant à lui est moins riche que dans le précédent film mais il reste correct. Les effets gores sont bons et assez drôles. On regrettera une bande son moins percutante que dans les deux précédents films. En somme, Hellraiser 3 est un bon film. Il n'est pas au niveau du 2 mais reste tout à sympathique.
Le troisième opus remonte bien le niveau de la saga après le deuxième opus. L'ambiance est assez diffèrente, les personnages principaux changent, mais Pinhead toujours incarné par l'inévitable Doug Bradley a un rôle beaucoup plus central qui lui convient beaucoup mieux. Je trouve personnellement que la saga prend avec cet épisode une tournure qui lui va extrêmement bien.
Très certainement la dernière suite d’hellraiser avant que la saga ne parte définitivement en steak...on a droit là à une vraie retranscription de l’enfer sur terre, des personnages venus de l’au-delà imposer la souffrance et le sado-masochisme, des plans parfois bâclés, un scénario peu convaincant parfois même bidon, des effets spéciaux plus ou moins kitsch au final mais qui ne gâche en rien le plaisir de revoir le terrifiant Pinhead refaire surface...
Après un premier opus culte et un deuxième différent mais tout aussi intéressant, on sombre dans la vilaine série B avec ce troisième opus, suite commerciale qui ne dépasse jamais sa pauvre condition. On conserve un peu de gore tout de même mais il n'y a plus aucune tension, la surprise étant loin dans un premier temps et la mise en scène étant faiblarde ensuite. Ni bien joué, ni bien réalisé, Hellraiser 3 est particulièrement dispensable.
Les deux premiers films Hellraiser sont excellents mais malheureusement ce troisième film ne leur rend pas hommage. J'ai trouvé ça fade, mal joué, peu inspiré et que dire de la spoiler: course-poursuite entre l'héroïne et les Cénobites en plaine ville qui frôle le ridicule. Non vraiment j'ai très peu accroché à ce troisième opus. Je trouve que l'on perd vraiment toute la saveur des deux premiers films et j'ai l'impression de voir un vulgaire slasher là où les deux premiers films avaient du fond et de la forme. Reste le plaisir de retrouver Pinhead et quelques scènes sont sympathiques mais tout cela est bien mince pour sauver le film de la quasi noyade...
Avec ce 3eme volet, retour aux fondamentaux et à une histoire qui tient la route. Le debut et la fin restent sur le shema des 2 opus précédents, le gore et les effets spéciaux sont au même niveau mais évidemment l'effet de choc du 1er volet "Hellraiser le pacte" n'est plus là et donc le spectateur suit une trame désormais familière sans effet de surprise. Quelques bons points comme la scène dans la discothèque. 2.5 / 5 malgrè tout
Je dois bien l’avouer les deux premiers épisodes d’Hellraiser m’avaient laissé pour le moins dubitatif et je n’attendais donc pas grand chose de ce troisième volet. Un épisode qui en plus perd de sa singularité et Pinhead le chef des Cénobites se rapproche ici plus d’un Boogeyman classique de film d’horreur qui débarque pour augmenter son nombre de victimes. Peut être parce qu’il est plus accessible (ou parce que je n’attendais rien de spécial) mais j’ai paradoxalement plus accroché ce troisième volet, avec notamment la scène de la boîte de nuit qui contient un bon délire gore. Peut être que c’était la porte d’accès dont j’avais besoin pour mieux cerner l’univers crée par Clive Baker et cette histoire horrifique de souffrance et de jouissance. Personnellement je ne suis pas fan mais je l’ai pris plus au sérieux malgré ses nombreux défauts.
Le film a un certain charme typiquement rétro early 90s (toute mon enfance), rien qu'en terme d'iconisation de Pinhead avec l'éclairage qui en fait limite des caisses parfois, pour moi ça fonctionne absolument, mais en ce qui concerne l'histoire un peu moins. Ça démarre plutôt bien pour ensuite dériver dans quelque chose de trop spirituel chez l'héroïne, genre les rêves mêlés au flashbacks, la rencontre de l'alter-ego du démon, etc, c'est à moitié barbant et sensiblement équivoque. Surtout que d'un autre côté on a des moments purement funs comme la séquence de la boite de nuit qui se transforme en boucherie, la mise en scène est d'un bordel, Hickox sait y faire (comme le final WTF de Waxwork), mais je dirais que le tout manque d'un véritable intérêt, c'est cruellement banal, même si l'univers de la franchise est respecté. Bref assez partagé, on nous donne ce qu'on a envie de voir, plutôt divertissant mais sans surprise, enfin c'est déjà pas mal...
Anthony Hickox s'approprie la saga et orchestre un épisode bien plus moderne, avec la vague de son époque. Les Sénobites se diversifient et l'intrigue se dispense des lieux étriqués et des actions à répétition, autour d'un matelas. Certaines séquences se démarquent mais dans l'ensemble, la saga s'ouvre à un plus large public avec un semblant d'idée sur la feuille. Les détracteurs de cet épisode semble être ceux attaché aux nouvelles de Clive Barker, de sa chambre à coucher et de ce qui passe. Anthony Hickox y signe en tous cas son meilleur film, même s'il divise.