Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Fluctuat.net
par Laure Naimski
Bouli Lanners filme des vies désenchantées dans une Wallonie mordue par le froid et réussit avec Ultranova un premier long-métrage décalé et cocasse. (...) on ne peut que saluer ce film d'atmosphère aux dialogues justes, au sens du détail qui fait mouche et saluer la performance des acteurs (...). La construction remarquable en forme de puzzle soutient de bout en bout un regard tendre et mordant sur nos vies déshumanisées.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
La beauté des non-dits au service d'une oeuvre subtilement émouvante. (...) Le film paraît tellement simple et minimaliste que certains risquent de lui reprocher sa trop grande évidence. Pourtant, il est constamment en état de grâce, toujours dans le vrai, avec des personnages finement observés, qui traînent une mélancolie communicative dans le sens le plus "bélatarrien". (...) l'oeuvre est d'une beauté si discrète qu'elle émeut aux larmes.
Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Thomas Sotinel
[Les second rôles] sont plusieurs à être tout à fait formidables (outre son sens de l'espace, Bouli Lanners peut compter sur un joli talent de directeur d'acteur)... Ultranova glisse les émotions entre apparence et réalité. Le temps du film, l'absurdité de l'existence prend un sens, que l'on n'arrive pas à retrouver lorsque les lumières se rallument, comme on n'arrive jamais à établir du premier coup le déroulement et le sens d'un rêve.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Aurélien Allin
ULTRANOVA, est ainsi un OVNI dont la narration fluctuante, sait ménager une juste balance entre drôlerie surréaliste et mélancolie rêveuse. Bouli Lanners a choisi une approche ultra-minimaliste. (...) sans que le film ne devienne rasoir. L'étrangeté qui se dégage des personnages est aini totalement maîtrisée (...). Ici, les images et l'atmosphère suffisent et créent une émotion inexplicable qui bouscule et interpelle. Définitivement un auteur à suivre.
Positif
par Matthieu Darras
D'Ultranova, on garde avant tout en mémoire une atmosphère visuelle. Une image bleutée en cinémascope à la fois délavée et granuleuse. Il naît ainsi un profond sentiment d'étrangeté du décalage entre un parti pris stylistique volontairement transcendant et des lieux, sinon connus (...) du moins familiers (...). Dans sa façon de traiter l'ennui et le désenchantement des êtres, le tout s'avère original, quoique inégal. Encore une fois, un réjouissant objet cinématographique non identifié venu de Belgique.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Gérard Delorme
(...) il y a dans ce premier film de Bouli Lanners une alchimie qui réussit à captiver en transformant des motifs improbables : tristesse, Belgique, pluie. On pense au clown froid Kaurismäki, mais Lanners a un style bien à lui. La composition assurée et les cadrages au cordeau trahissent la patte du peintre. (...) premier fim simple mais attachant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par Pete Wakefield
Ca ne ressemble à rien, ou plutôt à une trop large portion du cinéma d'auteur. Mais ces vies aux récits chétifs, le réalisateur belge leur insuffle de la grâce. D'abord par de petites touches oniriques ou burlesques (...). Ensuite par une mise en scène fluide qui donne un corps pictural à ces existences anecdotiques. Sur ce rythme les paysages et les personnages fascinent alors par leurs éclats froids. (...) ce film est à prendre comme une cession instrumentale un peu libre.
La critique complète est disponible sur le site Score
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Bouli Lanners saisit le plat pays avec une sorte de mélancolie cocasse. (...) L'usage subtil (et pictural) de l'écran large, qui isole les personnages dans un no man's land tant physique que moral, finit par créer, sinon l'émotion, du moins un vrai attachement pour ces paumés ordinaires.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
"Ultranova" creuse à nouveau la veine de la comédie mélancolique. (...) Attachant, superbement interprété, mais déjà vu.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Eric Quéméré
Bouli Lanners signe aujourd'hui un film étrange jouant à plein la carte du minimalisme poétique, mâtiné d'humour désabusé. Un parti pris qui prend le risque de laisser parfois le spectateur sur sa faim, met que ne compense pas tout à fait l'esthétique soignée du film. Heureusement, la belle étrangeté du couple formé par les formidables Vincent Lécuyer et Hélène de Reymacker opère jusqu'au bout...
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Du glauque trop chiadé et des héros aléatoires au Plat Pays. (...) On ne sait pas ce qu'ils ont ces cinéastes belges à enlever la couleur de leurs films en couleur. Ca devient un peu cliché. Mais c'est symptomatique : le réalisateur se contente de vignettes, et ce qui le passionne avant tout est de photographier des paysages industriels.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Fluctuat.net
Bouli Lanners filme des vies désenchantées dans une Wallonie mordue par le froid et réussit avec Ultranova un premier long-métrage décalé et cocasse. (...) on ne peut que saluer ce film d'atmosphère aux dialogues justes, au sens du détail qui fait mouche et saluer la performance des acteurs (...). La construction remarquable en forme de puzzle soutient de bout en bout un regard tendre et mordant sur nos vies déshumanisées.
aVoir-aLire.com
La beauté des non-dits au service d'une oeuvre subtilement émouvante. (...) Le film paraît tellement simple et minimaliste que certains risquent de lui reprocher sa trop grande évidence. Pourtant, il est constamment en état de grâce, toujours dans le vrai, avec des personnages finement observés, qui traînent une mélancolie communicative dans le sens le plus "bélatarrien". (...) l'oeuvre est d'une beauté si discrète qu'elle émeut aux larmes.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
[Les second rôles] sont plusieurs à être tout à fait formidables (outre son sens de l'espace, Bouli Lanners peut compter sur un joli talent de directeur d'acteur)... Ultranova glisse les émotions entre apparence et réalité. Le temps du film, l'absurdité de l'existence prend un sens, que l'on n'arrive pas à retrouver lorsque les lumières se rallument, comme on n'arrive jamais à établir du premier coup le déroulement et le sens d'un rêve.
MCinéma.com
ULTRANOVA, est ainsi un OVNI dont la narration fluctuante, sait ménager une juste balance entre drôlerie surréaliste et mélancolie rêveuse. Bouli Lanners a choisi une approche ultra-minimaliste. (...) sans que le film ne devienne rasoir. L'étrangeté qui se dégage des personnages est aini totalement maîtrisée (...). Ici, les images et l'atmosphère suffisent et créent une émotion inexplicable qui bouscule et interpelle. Définitivement un auteur à suivre.
Positif
D'Ultranova, on garde avant tout en mémoire une atmosphère visuelle. Une image bleutée en cinémascope à la fois délavée et granuleuse. Il naît ainsi un profond sentiment d'étrangeté du décalage entre un parti pris stylistique volontairement transcendant et des lieux, sinon connus (...) du moins familiers (...). Dans sa façon de traiter l'ennui et le désenchantement des êtres, le tout s'avère original, quoique inégal. Encore une fois, un réjouissant objet cinématographique non identifié venu de Belgique.
Première
(...) il y a dans ce premier film de Bouli Lanners une alchimie qui réussit à captiver en transformant des motifs improbables : tristesse, Belgique, pluie. On pense au clown froid Kaurismäki, mais Lanners a un style bien à lui. La composition assurée et les cadrages au cordeau trahissent la patte du peintre. (...) premier fim simple mais attachant.
Score
Ca ne ressemble à rien, ou plutôt à une trop large portion du cinéma d'auteur. Mais ces vies aux récits chétifs, le réalisateur belge leur insuffle de la grâce. D'abord par de petites touches oniriques ou burlesques (...). Ensuite par une mise en scène fluide qui donne un corps pictural à ces existences anecdotiques. Sur ce rythme les paysages et les personnages fascinent alors par leurs éclats froids. (...) ce film est à prendre comme une cession instrumentale un peu libre.
Télérama
Bouli Lanners saisit le plat pays avec une sorte de mélancolie cocasse. (...) L'usage subtil (et pictural) de l'écran large, qui isole les personnages dans un no man's land tant physique que moral, finit par créer, sinon l'émotion, du moins un vrai attachement pour ces paumés ordinaires.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
"Ultranova" creuse à nouveau la veine de la comédie mélancolique. (...) Attachant, superbement interprété, mais déjà vu.
Zurban
Bouli Lanners signe aujourd'hui un film étrange jouant à plein la carte du minimalisme poétique, mâtiné d'humour désabusé. Un parti pris qui prend le risque de laisser parfois le spectateur sur sa faim, met que ne compense pas tout à fait l'esthétique soignée du film. Heureusement, la belle étrangeté du couple formé par les formidables Vincent Lécuyer et Hélène de Reymacker opère jusqu'au bout...
Les Inrockuptibles
Du glauque trop chiadé et des héros aléatoires au Plat Pays. (...) On ne sait pas ce qu'ils ont ces cinéastes belges à enlever la couleur de leurs films en couleur. Ca devient un peu cliché. Mais c'est symptomatique : le réalisateur se contente de vignettes, et ce qui le passionne avant tout est de photographier des paysages industriels.