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Votre avis sur Bombon el perro ?
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C'est un film argentin aux méandres et au rythme lent avec le sourire doux de Coco. Personnellement j'étais plus intéressé par sa fille qui semblait plus intéressante. Car c'est un voyage qui dérive d'un endroit à l'autre. Mon ignorance s'étendait à la Patagonie au moins maintenant je sais où elle se trouve. Mais j'ajoute que je n'ai pas détesté l'histoire ou le film c'était très naturel et avec beaucoup d'honnêteté. C'est juste que parfois je ne trouve pas que voir la misère quotidienne qui est souvent à côté de moi devienne un divertissement. Malgré la fin réussie je ne suis pas très positif sur l'ensemble de cette histoire...
Il faut arrêter d'étiqueter Sorín avec le mot « Patagonie ». C'est du marketing et c'est humiliant pour ce réalisateur qui est passé par une collaboration ratée avec les États-Unis pour Eversmile, New Jersey et a pris le temps de se remettre en question pour produire Bombón.
Revenant à des sources qu'il avait désavouées, délaissant le style propre et cannois de Historias Mínimas, Sorín pourrait avoir produit ici le film dont il rêvait. Adressé à personne, à peine critique du style de vie patagonien et même pas vraiment contemplatif (ce qui est compliqué, en fait, quand on tourne dans ces paysages), il abandonne l'idée d'exposer ses arguments pour prendre un peu de recul et simplement partager.
Son seul rajout : le dressage, qui permet à un acteur canin de tenir haut la patte sa prestation en insinuant un des quelques messages du réalisateur : l'animal est un produit commercial. Se retrouvant avec un dogue racé dans les bras, Juan Villegas (le personnage) va trouver sa vie changée davantage que par l'entrée de Sorín dans la vie de Juan Villegas (l'acteur). Propulsé dans un monde d'apparences auquel il ne connaît rien, il va obéir par bonté d'âme à un monde qui en est dépourvu.
Se plongeant dans le quotidien de ses acteurs amateurs comme il sait si bien le faire, concoctant des dialogues qui bougent, montrant des personnages qui s'intéressent les uns aux autres et qui sentent bon les interactions spontanées qu'on regrette parfois en Occident, et enfin s'entourant d'une musique à sa mesure, Sorín n'a pas besoin d'arracher une page à son pays pour nous la montrer : il peut la recopier, et sait même la calligraphier.
La spontanéité : voilà tout le secret de son œuvre, régissant tout, du jeu d'acteur aux scènes du chien. Sauf que ce n'en est pas un (un secret) lorsqu'on est de toute manière le seul à savoir quoi en faire.
→ https://septiemeartetdemi.com/
Revenant à des sources qu'il avait désavouées, délaissant le style propre et cannois de Historias Mínimas, Sorín pourrait avoir produit ici le film dont il rêvait. Adressé à personne, à peine critique du style de vie patagonien et même pas vraiment contemplatif (ce qui est compliqué, en fait, quand on tourne dans ces paysages), il abandonne l'idée d'exposer ses arguments pour prendre un peu de recul et simplement partager.
Son seul rajout : le dressage, qui permet à un acteur canin de tenir haut la patte sa prestation en insinuant un des quelques messages du réalisateur : l'animal est un produit commercial. Se retrouvant avec un dogue racé dans les bras, Juan Villegas (le personnage) va trouver sa vie changée davantage que par l'entrée de Sorín dans la vie de Juan Villegas (l'acteur). Propulsé dans un monde d'apparences auquel il ne connaît rien, il va obéir par bonté d'âme à un monde qui en est dépourvu.
Se plongeant dans le quotidien de ses acteurs amateurs comme il sait si bien le faire, concoctant des dialogues qui bougent, montrant des personnages qui s'intéressent les uns aux autres et qui sentent bon les interactions spontanées qu'on regrette parfois en Occident, et enfin s'entourant d'une musique à sa mesure, Sorín n'a pas besoin d'arracher une page à son pays pour nous la montrer : il peut la recopier, et sait même la calligraphier.
La spontanéité : voilà tout le secret de son œuvre, régissant tout, du jeu d'acteur aux scènes du chien. Sauf que ce n'en est pas un (un secret) lorsqu'on est de toute manière le seul à savoir quoi en faire.
→ https://septiemeartetdemi.com/
Un road movie qui n'en a pas l'air, des personnages sympathiques, même le chien, énorme mais gentil. Certains y voient une allégorie, je ne crois pas qu'il faille intellectualiser ce film mais le prendre comme il est : une peinture de la vie des argentins après la grande crise de 2001, allant d'un petit boulot à un autre, sans chômage, de la bienveillance mélée... et oui d'impuissance devant la crise. J'ai aimé cette histoire et ces personnages simples et sympas. Ce n'est pas un film d'action mais d'émotions.
un film bien realiser avec des decors interessants et un premier role bien campe tout comme le chien qui fait une belle prestation ( chapeau bas au dresseur et a la technique
une belle histoire qui vant le detour
une belle histoire qui vant le detour
BeatJunky
Un film très agréable à suivre qui m'aura donné le sourire par son message plein d'espoir. L'histoire toute simple de cet homme sympathique (un peu naïf parfois quand même...) qui se voit offrir un Dog Argentin après avoir rendu service à une jeune femme, m'a beaucoup plu. Derrière cette innocente histoire, on peut voir une représentation de la population argentine à travers ce monsieur contraint de trouver des combines et se débrouiller comme il peut pour survivre ... On suit donc ce monsieur de bled en bled avec sa nouvelle acquisition avec qui il espère gagner un peu d'argent, nous offrant au passage de jolis plans du pays. Ce n'est pas plus compliqué que ça mais ça marche! On se laisse embarquer facilement dans ce road trip qui m'a donné le sourire, particulièrement le dénouement que j'ai interprété comme un message d'espoir pour le pays. C'est tout ce que j'attendais de ce film après avoir lu le synopsis... si vous avez envie d'un film dépaysant, drôle, sans prise de tête, ce nouveau film de Sorin devrait vous plaire. Evitez par contre la VF, doublage encore une fois catastrophique....
J'aime le cinéma de Carlos Sorin parce qu'il parle de choses simples, vraies, humaines. L'histoire de cet homme et de ce chien est belle parce qu'elle est positive, elle renvoie à une leçon de vie qui dit qu'il faut prendre les choses comme elles viennent, sans juger, sans retenir. Ce film me fait penser à "Yes man" de Peyton Reed. Ce sont des films qui font du bien et moi c'est ce que je viens chercher quand je regarde un film. Merci senor Sorin !
Une tranche de vie lente mais passionnante, par la grâce d'une mise en scène juste et discrète, d'interprètes (non-professionnels pour la plupart) bien dirigés et de l'utilisation inspirée de décors naturels de toute beauté.
Un gentil film avec des acteurs sympathiques, bien sûr il y a quelques maladresses de caméra et je m'attendais à un scénario plus riche mais le film irradie des ondes positives à fortes doses qui font réellement du bien.
j'ai vu ce film argentin il y a qq années sur canal. C'est extrement bien joué et cette histoire de ce pauvre gars licencié fait mouche. La photo est superbe. Fait partie des meilleurs films que j'ai vus. Si vous avez l'occasion regardez le pour vous faire une idée. Attention ce n'est pas un film d'action.
Une histoire simple, des gens simples, une caméra discrète, du silence, des espaces vides et une humanité douce qui sourd à chaque plan. C'est toute la beauté du cinéma de Carlos Sorín, dont on avait déjà aimé Historias Minimas. Le réalisateur ajoute ici le portrait drôlement sensible d'un chien déprimé qui retrouve goût à la vie, à l'image de son nouveau maître et compagnon d'infortune. L'interaction entre ces deux personnages principaux est vraiment attachante. Bombón el perro est une oeuvre délicate, agrémentée de quelques plans magnifiques sur les paysages et ciels argentins.
Assez moyen, c'est lent, assez emouvant il est vrai, mais lent...l'histoire est simple ainsi que le dialogue.
Juan Villegas joue tres bien mais c'est mou du debut a la fin...
Au moment ou le film pourrait demarrer, c'est le generique de fin.
c'est mou mou mou!!!, le chien est tres beau et il ne meurt pas a la fin, c'est la chose la plus agreable du film a mes yeux.
Je n'ai pas aimé les plans du debut, je trouve les scenes mal filmees et je reste quand meme etonné qu'il ait eu autant de recompenses.
Juan Villegas joue tres bien mais c'est mou du debut a la fin...
Au moment ou le film pourrait demarrer, c'est le generique de fin.
c'est mou mou mou!!!, le chien est tres beau et il ne meurt pas a la fin, c'est la chose la plus agreable du film a mes yeux.
Je n'ai pas aimé les plans du debut, je trouve les scenes mal filmees et je reste quand meme etonné qu'il ait eu autant de recompenses.
quel beau film, si touchant, les personnages si reels...
J'aime bien les bombón ! Et puis j'ai compris que c'était un bombón qui ne se mangeait pas.
Des films avec une originalité rare dans sa prestation. Très touchant avec une immersion importante locale. Des situations du quotidien, la pauvreté sans être à outrance, les petites choses importantes, la convivialité et surtout, un J. Villegas très attachant avec ses deux mirettes. 3/5 car des scènes un peu trop longues et une histoire, sommes toutes, assez banales dans son ensemble. A découvrir !!!
Improbable amitié. Tout plein de coeur, de partage dans un monde de brutes sans pitié. Beau mais très tristes. Presque trop triste(d'où l'étoile en moins), car au fond sans espoir.
Beaucoup de plaisir à entre apercevoir un monde latino américain qu'on connait mal, et moi pas du tout.
Beaucoup de plaisir à entre apercevoir un monde latino américain qu'on connait mal, et moi pas du tout.
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