Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Elle
par Elisabeth Quin
Un conte de fées amer. Minimaliste. Mais pas misérabiliste. Assez formidable en fait.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Dominique Widemann
(...) Carlos Sorin, à l'exemple de certains plasticiens, procède plus par soustraction de matière, évitant le pathétisme (...) Fiction et documentaire font mine de s'imbriquer pour le meilleur d'une oeuvre cinématographique à la justesse bouleversante.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Tous les cinémas ne se nourrissent pas à cette même source, et c'est heureux, mais cette manière qu'a Carlos Sorin d'attraper la réalité et de la restituer ouvre des portes sur le monde.
Libération
par Ange-Dominique BOUZET
Dans l'Argentine de la dèche, telle que la dépeint Sorín, il n'y a pas beaucoup de place pour les happy ends hollywoodiens. Au terme d'une série de péripéties qui, pour être loufoques, ne cessent jamais de tenailler d'inquiétude, on ressent cette conclusion comme une marque de générosité miraculeuse.
MCinéma.com
par Aurélien Allin
Par la grâce de cette ligne narrative simplissime et d'acteurs amateurs surprenants d'humanité, Sorin parvient à signer un film très émouvant. (Il) cueille le public à chaud avec un dernier quart d'heure touchant, où l'amitié chien-homme reprend le dessus, sans jamais sombrer dans la mièvrerie et la naïveté.
Ouest France
par La rédaction
Une nouvelle fois, dans ce cinéma national qui n'en finit pas de surprendre par sa vitalité et sa pertinence, c'est toute l'Argentine traversée par le désordre et le chaos qui est dépeinte ici. Avec vigueur, intelligence et sensibilité. Impossible de rester à l'écart.
Paris Match
par Christine Haas
(...) Au détour du road-movie poético-philosophique, sa caméra traque l'âme derrière les regards, les silences, les rictus de personnages simples, dont les ressemblances ne sont jamais fortuites (...) Entre l'ombre et la lumière, ce film trouve la vérité.
Positif
par Dominique Martinez
(...) le cinéaste s'inscrit dans la continuité : l'amour des personnages simples interprétés par des non-professionnels, la sobriété d'une vision minimalist, la démarche lente d'un conte ancré dans la réalité ordinaire et dans un lieu.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Isabelle Danel
Sur le visage quelconque de l'acteur non-professionnel Juan Villegas passent des expressions unisues, de ces lueurs humaines qui ne s'inventent ni ne se jouent. Il ne se passe presque rien dans ce road-movie mais ce presque rien dit tout.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
(...) le réalisateur argentin déroule une intrigue émouvante, faussement anecdotique, à travers laquelle il ouvre une fenêtre humaniste et politique sur la crise sociale que connaît son pays. Maîtrisant avec synergie ces deux dimensions, il signe un film drôle, mélancolique et pertinent.
Télérama
par Frédéric Strauss
Carlos Sorin sait retenir la beauté de ces existences simples. Son sens de la mesure est une jolie forme de modestie, mais aussi une exigence de justesse et de liberté. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Son film laisse entrevoir tout du long un envol plus spectaculaire, une vague tension, une étrangeté, mais à la manière des grands paresseux magnifiques, garde ce potentiel sous-jacent. Maîtrise discrète ou confiance totale en son sujet, sûrement un peu des deux.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Fluctuat.net
par Agathe Moraval
(...) même avec une musique un peu lourdement mélancolique, et quelques épisodes faciles (sur la libido du chien, notamment), Bombon el perro envoûte par la simplicité poétique de cette rencontre peu commune.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Le Monde
par Isabelle Regnier
Le cinéma argentin n'en a pas fini avec la crise économique. Alors que d'autres auraient traité ce sujet par la violence, Carlos Sorin choisit l'humour absurde. Loin de produire les effets anesthésiants du happy end à l'américaine, ce parti pris surprend chaque fois un spectateur qui s'attend au pire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Score
par Pete Wakefield
(...) on regrettera qu'un cinéaste aussi doué au cadrage s'égare dans un mélo canin à la sauce guacamole.
La critique complète est disponible sur le site Score
Zurban
par Véronique Le Bris
Dans la lignée de son Historias Minimas, l'argentin Carlos Sorin écrit ici une ode à la vie des gens simples. L'ensemble manque pourtant de relief, même si l'implacable fatalité sied parfaitement à Juan et à Bombon.
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Le discours de Sorin et l'idéologie qui la sous-tend (...), ne sont pas neufs. Ils consistent à faire prendre des vessies pour des lanternes (...) et à diminuer de simples personnes (...) pour augmenter leur emprise sur elles.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Romain Titeux
Un film argentin truqué et publicitaire autour de l'adage "tel maître, tel chien". Ces "gens réels" sont la seule bonne intuition du film, tous très touchants, peut-être parce qu'ils n'ont rien à vendre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Elle
Un conte de fées amer. Minimaliste. Mais pas misérabiliste. Assez formidable en fait.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
(...) Carlos Sorin, à l'exemple de certains plasticiens, procède plus par soustraction de matière, évitant le pathétisme (...) Fiction et documentaire font mine de s'imbriquer pour le meilleur d'une oeuvre cinématographique à la justesse bouleversante.
L'Obs
Tous les cinémas ne se nourrissent pas à cette même source, et c'est heureux, mais cette manière qu'a Carlos Sorin d'attraper la réalité et de la restituer ouvre des portes sur le monde.
Libération
Dans l'Argentine de la dèche, telle que la dépeint Sorín, il n'y a pas beaucoup de place pour les happy ends hollywoodiens. Au terme d'une série de péripéties qui, pour être loufoques, ne cessent jamais de tenailler d'inquiétude, on ressent cette conclusion comme une marque de générosité miraculeuse.
MCinéma.com
Par la grâce de cette ligne narrative simplissime et d'acteurs amateurs surprenants d'humanité, Sorin parvient à signer un film très émouvant. (Il) cueille le public à chaud avec un dernier quart d'heure touchant, où l'amitié chien-homme reprend le dessus, sans jamais sombrer dans la mièvrerie et la naïveté.
Ouest France
Une nouvelle fois, dans ce cinéma national qui n'en finit pas de surprendre par sa vitalité et sa pertinence, c'est toute l'Argentine traversée par le désordre et le chaos qui est dépeinte ici. Avec vigueur, intelligence et sensibilité. Impossible de rester à l'écart.
Paris Match
(...) Au détour du road-movie poético-philosophique, sa caméra traque l'âme derrière les regards, les silences, les rictus de personnages simples, dont les ressemblances ne sont jamais fortuites (...) Entre l'ombre et la lumière, ce film trouve la vérité.
Positif
(...) le cinéaste s'inscrit dans la continuité : l'amour des personnages simples interprétés par des non-professionnels, la sobriété d'une vision minimalist, la démarche lente d'un conte ancré dans la réalité ordinaire et dans un lieu.
Première
Sur le visage quelconque de l'acteur non-professionnel Juan Villegas passent des expressions unisues, de ces lueurs humaines qui ne s'inventent ni ne se jouent. Il ne se passe presque rien dans ce road-movie mais ce presque rien dit tout.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
(...) le réalisateur argentin déroule une intrigue émouvante, faussement anecdotique, à travers laquelle il ouvre une fenêtre humaniste et politique sur la crise sociale que connaît son pays. Maîtrisant avec synergie ces deux dimensions, il signe un film drôle, mélancolique et pertinent.
Télérama
Carlos Sorin sait retenir la beauté de ces existences simples. Son sens de la mesure est une jolie forme de modestie, mais aussi une exigence de justesse et de liberté. Une réussite.
Chronic'art.com
Son film laisse entrevoir tout du long un envol plus spectaculaire, une vague tension, une étrangeté, mais à la manière des grands paresseux magnifiques, garde ce potentiel sous-jacent. Maîtrise discrète ou confiance totale en son sujet, sûrement un peu des deux.
Fluctuat.net
(...) même avec une musique un peu lourdement mélancolique, et quelques épisodes faciles (sur la libido du chien, notamment), Bombon el perro envoûte par la simplicité poétique de cette rencontre peu commune.
Le Monde
Le cinéma argentin n'en a pas fini avec la crise économique. Alors que d'autres auraient traité ce sujet par la violence, Carlos Sorin choisit l'humour absurde. Loin de produire les effets anesthésiants du happy end à l'américaine, ce parti pris surprend chaque fois un spectateur qui s'attend au pire.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Score
(...) on regrettera qu'un cinéaste aussi doué au cadrage s'égare dans un mélo canin à la sauce guacamole.
Zurban
Dans la lignée de son Historias Minimas, l'argentin Carlos Sorin écrit ici une ode à la vie des gens simples. L'ensemble manque pourtant de relief, même si l'implacable fatalité sied parfaitement à Juan et à Bombon.
Cahiers du Cinéma
Le discours de Sorin et l'idéologie qui la sous-tend (...), ne sont pas neufs. Ils consistent à faire prendre des vessies pour des lanternes (...) et à diminuer de simples personnes (...) pour augmenter leur emprise sur elles.
Les Inrockuptibles
Un film argentin truqué et publicitaire autour de l'adage "tel maître, tel chien". Ces "gens réels" sont la seule bonne intuition du film, tous très touchants, peut-être parce qu'ils n'ont rien à vendre.