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Un visiteur
2,0
Publiée le 17 janvier 2019
Légère baisse de régime humoristique pour les foldingues d’académiens, la bande de représentant de l’ordre autoritaire auprès du public, Metropolitan Police District de Washington D. C. du nord-est se déplace en avion express vers la ligne droite du sud paradisiaque ensoleillé, vaste paysage de lac peuplé de crocodiles, du brillant bâtiment bleuté populaire des séries TV policières et jeux vidéo de grand voleur d’auto. Le commandant nonchalant tant adoré de ses collègues loufoques doit prendre sa feuille de sortie, un départ anticipé à la retraite illégalement trafiqué par son subalterne jaloux obnubilé carriériste d’intrigue, on ne peut pas plaire à tout le monde, des gags lourds et beaucoup de fautes professionnelles, les blâmes de la détente. Le tonton officier supérieur retrouve son homologue neveu, le népotisme kitch séducteur et blague à gogo en vue, une académie indémodable sans test de concours pour le fun. Une rencontre entre service inter-police au sein de la grande famille américaine, du push musical agréable et karaté kamikaze clown, les bandits maladroits fuient, il y aura foule et du professionnalisme pour les chasser dans l’air. D’acteur ardent absent justifié pour raison diverse personnelle, nul besoin de se poser la question, c’est une approche purement artistiquement, ça avance à grand pas l’issue de la série 80.
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2,5
Publiée le 17 février 2012
Jones, Hightower, Laverne, Tackleberry...c'est le retour des joyeux drilles mais attention les flics ringards de la Police Academy dèbarquent cette fois à Miami Beach! La nouveautè dans ce cinquième volet (si on peut dire), c'est malheureusement la disparition du personnage de Mahoney mais fort heureusement il y a toujours l'inègalable capitaine Harris ("Hello Dork"). Le commandant Lassard est au bord de la retraite mais il sera prolongè grâce à l'exploit de ses hommes qui arrêteront des gangsters lors d'un congrès à Miami! Golf, moto, plage, visites guidèes sur les bayous, les amateurs de sport, de plaisanteries et de grosses gaudrioles trouveront un plaisir certain à ce cinquième opus interrompue de gags sans risque de procès verbal ! N’oubliez pas la crème solaire...
Bon, sur quatre films, j'ai réussi à m'apercevoir que les Police Academy impairs sont bons et les Police Academy pairs sont nuls...
Malheureusement, mon raisonnement tombe caduque quand on voit ce film. En effet, ce numéro 5, numéro impair se devait d'être bon et de rattraper la daube qu'était le 4. Et c'est loupé. Déjà, Steve Guttenberg a senti le vent tourner et est parti. Il a emmené avec lui le duo magique du troisième opus, Tim Kazurinsky et surtout Bobcat Goldwaith. On se retrouve avec Bubba Smith, George Gaynes et surtout David Graf en personnages principaux, tous aussi sympathiques les uns que les autres, mais terriblement limités par un scénario totalement nul de Stephen Curwick (qui a aussi écrit le numéro 6... Zut.). Marion Ramsey a enfin un rôle conséquent, Michael Winslow ne sert plus à rien et Matt McCoy est la définition faite homme du McGuffin.
Rene Auberjonois a beau gérer en méchant débile, le film est tellement ennuyeux et mal foutu qu'on s'ennuie ferme dans cette catastrophe industrielle.
On perd mahoney, du coàup la série s'essouffle et cette episode est de loin le plus mauvais des 5. Les gags sont moins drôle et les personnage moins attachant.
Le commandant Lassard fête son départ à la retraite dans un congrès de policier à Miami en présence de ses anciens élèves. Il se retrouve alors mêlé à son insu à une sombre affaire de vol de diamants. Disons le tout de suite, les scénaristes de cette énième suite n’ont pas inventé la poudre. De plus, les situations sont très semblables à celles déjà vécues dans les épisodes précédents et la plupart des gags tombent à plat. Mais pour une raison mystérieuse, il est très difficile de détester ce film. Cela tient sûrement au plaisir de retrouver une nouvelle fois cette célèbre bande de bras cassés, ou peut être à la décontraction assumée et fort sympathique des productions hollywoodiennes des années 80.
pour leurs 5e aventures, les académiciens partent a miami pour réglé une histoire de vole. des gags à répétition, des situations parfois grotesques, les suites s'enchaines et se ressemble, les piliers partent petit à petit. malgré tout on suit leurs péripéties nous sans quelques regrets.
Les cadres commencent à fuir la franchise (Steve Gutenberg) et à juste titre : plus grand chose à sauver ici. Les remplaçants ne sont pas à la hauteur et les gags commencent à être très très répétitifs...
toujours aussi drole mais on regrettera le sergent mahoney qui etait interpreté par Steve Guttenberg qui etait un des succes de la serie mais il y a toujours les autres piliers qui sont toujours aussi drole alors bon on s'amuse mais cela merite une etoile en moins.
Guttenberg n'est plus là et ca se recent! Le cinsuieme volet se laisse tout de meme regarder. Il n'est pas mauvais. Par contre, l'énorme point noir du film ce sont les voix francaises, completement massacrées! Bref, un film quelque peut décevant, Heureusement que Marion Ramsey et Lance Kinsey sont encore là!
plus de david guttenberg.. c'était mon préfèré, le plus intelligent, stratégique... de l'action nouvelle...mais ça devient lours à la longue...il y a des choses des gags qui sont vraiment c.....mais bon...
Guttenberg n'est plus là et ca se recent! Le cinsuieme volet se laisse tout de meme regarder. Il n'est pas mauvais. Par contre, l'énorme point noir du film ce sont les voix francaises, completement massacrées! Bref, un film quelque peut décevant, Heureusement que Marion Ramsey et Lance Kinsey sont encore là!
Sans doute le plus mauvais de tous si ce n'est quelques passages au milieu du film qui mettent le sourire aux lèvres. Mais l'absence de Steve Guttenberg ôte la vraie nature du police academy. En revanche Leslie Easterbrook me fait trop kiffer. Trop une bombe cette meuf. Mais franchement c'est tout quoi.
« I just want to say that this is a splendid kidnapping. »
Si le premier opus de la série Police Academy oscillait entre nanar et comédie culte des années ‘80, les épisodes suivants ont choisi leur propre voie, offrant un niveau déclinant au fur et à mesure. Ainsi, à force de gags répétitifs de film en film, usés jusqu’à la corde, prévisibles à en mourir et tombant à plat, ce cinquième opus, le premier sans Mahoney/Steve Guttenberg, vient enfin de toucher le fond. L’interprétation de plus en plus mauvaise n’arrange rien.
Je me suis promis de regarder les 7 films d’affilée, je ne sais pas si je tiendrai jusque là. Adieu.