1 cliché, 2 clichés, 3 clichés, 4 clichés, 5 clichés... C'est chiant comme critique ? Et bien, c'est ce que j'ai ressenti tout au long du film. Tout d'abord, content du casting, je m'amuse de voir l'affiche avec le couché de soleil, puis les poupées, puis le beau fils balançant son mégot dans les chiottes et puis le quart d'heure, ce fait demie heure et une fois la première heure passée, on se demande à quel moment, le prince charmant va embarquer Cendrillon. Bref, j'espère que le bouclier fiscal évitera à A. Dupontel de devoir faire des films inutiles et sans aucune inovation... (Pfu, je dis ça mais je ne peux pas croire ce que je dis là :-))... Peut-être une prochaine fois.
c'est un espèce d' amelie poulain de bac à sable encore plus bisounours sans le talent de jeunet , j'ai matté ça sur sur HD1 , Catherine Frot est vraiment appétissante comme milf dans ce film , je trouve la realisation trop lisse on dirait un telefilm mais bon ça se laisse à regarder sans plus ni moins
P.S : plus les trolls d'allociné mettent des sourires négatifs plus ça me fait bander
Je ne suis pas fan de Catherine frot, et pas de films francais non plus. Que dire appart que sa riducilise la ménagere francaise de moins de 50 ans. Eric-Emmanuel Schmitt est un bon écrivain, mais en tout cas le film ne donne vraiment pas envie de lire le bouquin! dommage!
En adaptant son propre livre, l’écrivain à succès Jean-Emmanuel Schmitt fait ses premiers dans le 7e art mais démontre clairement qu’il n’a pas l'étoffe d'un grand réalisateur. Non pas que son "Odette Toulemonde" soit mauvais mais il manque singulièrement de caractère tout en se laissant aller à une morale bien pensante typique des bobos parisiens qui ne s’assume pas. Il est amusant de constater les efforts fournis par ce pauvre Schmitt pour montrer qu’il prend ses distances avec l’intelligentsia parisienne (la charge franchement démago contre les critiques littéraires n’est pas un modèle de subtilité) et avec la vie parisienne tout court d’ailleurs (le côté "je suis du côté des provinciaux un peu ploucs mais heureux" est assez navrants). En voulant à tout prix mettre en avant sa tolérance et son ouverture d’esprit, le néo-réalisateur fait dans le jugement de valeur condescendant. Quant à la réalisation en elle-même, elle vaut à peine celle d’un téléfilm France Télévision, dopé artificiellement de quelques effets de style maladroits (les séances de lévitation d’Odette ainsi que le final m’ont laissé dubitatifs). Mais, une fois encore, "Odette Toulemonde" n’est pas raté puisqu’il peut compter sur le charme de la ville de Bruxelles (où le film a été tourné en partie) ainsi que sur l’interprétation des ses 2 acteurs vedettes avec la parfaite Catherine Frot, toute attendrissante d’admiration et d’optimisme malgré une vie compliquée, et Albert Dupontel en écrivain à succès, qui n’en finit plus d’étonner avec ses rôles à contre-emploi. Les 2nds rôles sont également une réussite de Jacques Weber en critique détestable à Alain Doutey en éditeur sans oublier les découvertes de Fabrice Murgia et Nina Drecq dans le rôle des enfants de l’héroïne. J’ai également apprécié la BO de Nicola Piovani, pas forcément transcendante mais tout à fait dans l’esprit mignon d’un film certes charmant mais trop naïf.
Et bien moi, j'ai adoré ce film, à l'humour et la tendresse extrême. Certains trouvent ça niais. Les pauvres...C'est au contraire un hymne au bonheur, même si c'est façon Mary Poppins, avec de savoureuses sorties et une légèreté exquise , je dirais même une certaine poésie. Trouver niais ce film, c'est trouver niaise Joséphine Baker et ses régimes de bananes, une des vedettes du film... et pourtant...Et quels acteurs !
Odette Toulemonde se réveille plutôt ennuyeux et lent, mais le scénario est assez original. Les acteurs sont plutôt bons, malgré le fait que Dupontel ne soit pas au mieux de sa forme, il y a beaucoup d'originalité dans la mise en scène et la réalisation, c'est une comédie sympathique sans prétention.