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Un visiteur
1,0
Publiée le 3 avril 2009
Je met l'unique étoile comme beaucoup uniquement pour les effets spéciaux magnifiques. Pour le fond le film est d'une débilité américaine qui me laisse sans voix. Le scenario catastrophe soit, les chiffres soit qu'il y ait de la religion derriere à la limite si c'est apporté avec legerté et poésie. Mais dans ce film , Dieu nous controle, Dieu punis l'homme, mais ce n'est pas la fin Dieu va recreer la vie sur terre, notre vie nous ne la controlons pas tout est écrit, Dieu nous controle. Le message est navrant, image d'une societe américaine croyante dans la debilité et l'image finale du paradis ou jardin d'Eden clos en beautée ce film débordant de conneries.
Un film très décevant que ce "Prédiction". Si l'idée de départ était intéressante la façon dont le film est construit est très décevante et finit même par devenir ridicule à la fin (mais je n'en dirai pas plus pour ne pas spoiler le scénario à ceux qui n'ont pas vu le film). Nicolas Cage assure le minimum syndical, on est bien loin de "Lord of War". La mise en scène est très inégale (oscillant entre le bon et le mauvais, en passant la plupart du temps par le passable), le scénario souffre de trop de longueur (on s'ennuie assez souvent finalement). Sans être mauvais, "Prédiction" n'en est pas moins très décevant. A voir à l'occasion un soir, si vous avez du temps à perdre.
L'intrigue était très bonne mais plus on avance, plus l'impression de "déjà vu" augmente et toute l'originalité du début s'envole et laisse place à une fin ultra plate !
Une vraie déception, et pas seulement parce que Nicolas Cage est au générique ... Tout est téléphoné, incohérent et manque totalement de liant. Si certaines scènes sont impressionnantes (le crash de l'avion), d'autres tombent complètement à plat (le départ des enfants, la séquence de panique à la station essence).
Attention . . . je me concentre, hum je vois que ce film est sortie après le Jour ou la Terre s'arrêta, tout comme doucement mais surement celle de Nicolas Cage s'arrête, il pourra aller jouer au golf avec Keanu . . . Je vois que le film a des similitudes avec le film de Scott Derrickson et je vois . . . qu'on vas pas s'en sortir. Sortie le 1er Avril 2009, comme quoi les blagues c'est pour tout les ages, Alex Proyas continue dans l'univers du fantastique, avec le gentil mais fataliste Prédictions; il était une fois dans une école, une petit fille bien étrange, qui pour le jour anniversaire de l'école écrit sur une feuille une série de chiffre, pas au goût de tous le monde car les travaux des enfants sont destinés a être enfermé dans une capsule pour être réouvert 50 ans plus tard; par qui ? Par le fils de John Koestler, Caleb, très biblique comme nom ? Qui se retrouve avec cette série de chiffre, que son père grand mathématicien enseignant au M.I.T décrypte cette série de chiffre et comble du malheur, cela se révèle être la date de catastrophe ainsi que la fin du monde avec une fin comme dans le Jour ou la Terre s'arrêta. Je suis pas vraiment enchantée de ce qu'a fait Alex Proyas, sur le coup pourtant le pitch me faisait saliver, mais l'intrigue est vraiment trop mal distillé on a compris le reste du film au bout de 25 min, la suite de chiffre ne sert a rien, et l'as de la mathématique Cage le comprend trop vite, on s'ennuie vraiment, les rares scènes d'actions sont plutôt bien maitrisé est intense, on a aussi les extraterrestre qui parle au enfants dans leur tètes c'est mignon mais vu qu'il ne parle pas ces dur d'imaginer ce qu'ils veulent, tout comme la fin qui est horrible avec un paradis pour enfant vraiment édulcoré et moche. Concernant les acteurs, c'est mi-figues mi-raisins, je plains de plus en plus Nicolas Cage, qui n'a plus eu un rôle potable depuis Lord of War, toujours le même jeu mono-expressif et un brushing variant selon l'inclinaison du soleil, incap
Dommage;Après une bonne idée de départ le film s'enlise dans une théorie mystico-religieuse que seul les américains peuvent croire.A part les deux scènes "catastrophes" très bien filmés et réalistes (mais ça,ce n'est plus un gage de bon film),on reste de marbre devant tant d'inéptie et de dialogues insipides.Même les acteur semblent perdus dans cette histoire qui semble sorti d'un cerveau scientologue.
Un film à tendance fantastique, avec un scénario sujet à interprétations et pas forcément toujours très solide. Les effets spéciaux sont plutôt réussis, tandis que le jeu des acteurs est juste moyen. Le scénario est franchement foutraque et les coïncidences sont vraiment trop nombreuses...
L’idée de départ est bonne. C’est bien fait. Les acteurs sont bons, même Nicolas Cage qui n’a pas joué que dans des chef-d’œuvre. Alex Proyas est un très bon réalisateur, comme ses précédents films le montrent. Les effets spéciaux sont excellents et la musique de Marco Beltrami soutient efficacement l’ambiance. Alors je pose la question : pourquoi gâcher tout ça avec les cinq dernières minutes du film ? Pourquoi, en effet, tomber dans les références biblico-apocalyptiques, même réinterprétées à la sauce « aliens bienveillants qui ressemblent à des êtres de lumière avec des ailes » ? N’aurait-il pas été plus judicieux de laisser planer le mystère et de laisser le spectateur tirer ses propres conclusions ? En plus, les aliens sont sympas : ils déposent quelques milliers de mômes sur une planète toute neuve et toute sauvage et ils espèrent que les gamins vont survivre tout seuls. Et si quelqu’un pouvait me dire ce que peuvent signifier les cailloux noirs, ça serait sympa. Un film à voir, donc, à condition de partir avant la fin.
Fantastiquement mauvais. Nicholas Cage est un alcoolique peu convaincant, le scénario est tiré par les cheveux, encore une paranoïa de nombre. La fin a demandé beaucoup d'imagination aux réalisateurs et on regrette qu'ils se soient donnés autant de mal car c'est vraiment raté.
Une étoile pour les effets spéciaux et le debut du film fort prenant (et puis aussi pour N. Cage que j'adore). Sinon, pour le reste, une fin avec des vieux relents nauséabonds de créationisme avec des ET en forme d'anges (asexués avec des ailes en halo de lumière), les enfants tels Adam et Eve courant vers l'arbre de la création, sans oublier une petite touche de libre arbitre laisser à ces "dieux" de sauver ou non notre espèce. Comment le réalisateur des prodigieux Dark City et The Crow as-t-il pu commetre une telle bondieuserie pour catholique extremiste