Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Ciné Live
par La rédaction
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Score
par Johnny Be Good
Voici un ahurissant portrait de fonctionnaire au service de la face cachée d'un Etat. Jusque dans un aveuglement dont on ne sait au final s'il rend cet homme terriblement sincère dans sa démarche d'espion du quotidien, touchant, ou méprisable. Le portrait d'un système politique à la Big brother écrasant toute individualité est, lui, glaçant.
La critique complète est disponible sur le site Score
Télérama
par Jacques Morice
Edifiant. Adopter le point de vue et la langue du pouvoir policier, c'est l'intelligence de ce documentaire, bien plus perturbant qu'un réquisitoire. [...] C'est la dimension fascisante, et à la fois fascinante, de toute surveillance qui est montrée. [...] Cela interpelle forcément, dans nos sociétés du contrôle dépourvues d'idéal autre que sécuritaire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par François Bégaudeau
Si donc il fallait reprocher à ce documentaire (...), sa géméllité avec les films de surveillance, ce n'est pas classiquement, au sens où il reprend à son compte les procédures qu'il dénonce, mais en ce qu'à son tour il ne se soutient que de l'annonce, promise par le grain documentaire, d'un document qui ne vient pas. Grief qui peut se retourner en éloge : cette frustration a pour heureux effet de désamorcer la parano liée au sujet.
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Emmanuel Chicon
Désillusions. Un documentaire politique qui interroge pêle-mêle la croyance et le cinéma. Tout l'art qu'Eyal Sivan et Audrey Maurion déploient dans leur documentaire Pour l'amour du peuple consiste précisément à convoquer " les images du passé pour surveiller le présent ".
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) Eyal Sivan poursuit sa réflexion amorcée avec Un spécialiste sur la soumission de l'individu non tant à une doctrine qu'à un discours dominant. Sa voix vaut d'être entendue.
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Eyal Sivan et Audrey Maurion poursuivent leur décryptage du totalitarisme. [...] Un film qui pousse à s'interroger sur la fragilité et les errances de la nature humaine.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Etonnant film d'archives (...). Avec ce film d'une inquiétante étrangeté sur un monde paranoïaque où la suspicion généralisée créait automatiquement de la culpabilité. Bel exercice en vérité que ce film sur l'immontrable, plus vertigineux que toutes les fictions sur le totalitarisme.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Antoine de Baecque
(...) impressionnant travail de montage. (...) les images d'archives, beaucoup de vidéosurveillance, montrent frontalement et lapidairement la normalisation "douce" des comportements.
Studio Magazine
par Marie Varasson
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le résultat de cette mixture où toutes ces images, quelle que soit leur nature, sont assujetties à une même parole détournée de sa vocation première comme de la présence de son énonciateur donne un film artificiel et désincarné, dont la réussite paradoxale tient à la manière dont il adhère à son sujet : ne rien voir à force de tout vouloir contrôler.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
TéléCinéObs
par Bernard Archour
Si l'austérité du film est parfois pénible, son écoute et sa vision n'englacent pas moins les sangs.
Zurban
par Eric Quéméré
On éprouve (...) un certain malaise à entrer ainsi dans le point de vue d'un homme qui, loin de regretter le "sale boulot" effectué, se sent aujourd'hui trahi par un régime auquel il croyait sincèrement, et pour lequel il était prêt à faire le bonheur des gens malgré eux... Une réflexion dérangeante sur la nature de nos idéaux.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Première
par Gérard Delorme
Peut-on traiter l'ennui sans être ennuyeux ? Vieille question de cinéma qu'aurait dû se poser les documentaristes avant de traiter un sujet acrobatique : l'histoire de la Stasi, la police secrète est-allemande. [...] Le narrateur a beau proférer une énormité de temps en temps, on est quand même déjà mort d'ennui epuis la première minute.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Score
Voici un ahurissant portrait de fonctionnaire au service de la face cachée d'un Etat. Jusque dans un aveuglement dont on ne sait au final s'il rend cet homme terriblement sincère dans sa démarche d'espion du quotidien, touchant, ou méprisable. Le portrait d'un système politique à la Big brother écrasant toute individualité est, lui, glaçant.
Télérama
Edifiant. Adopter le point de vue et la langue du pouvoir policier, c'est l'intelligence de ce documentaire, bien plus perturbant qu'un réquisitoire. [...] C'est la dimension fascisante, et à la fois fascinante, de toute surveillance qui est montrée. [...] Cela interpelle forcément, dans nos sociétés du contrôle dépourvues d'idéal autre que sécuritaire.
Cahiers du Cinéma
Si donc il fallait reprocher à ce documentaire (...), sa géméllité avec les films de surveillance, ce n'est pas classiquement, au sens où il reprend à son compte les procédures qu'il dénonce, mais en ce qu'à son tour il ne se soutient que de l'annonce, promise par le grain documentaire, d'un document qui ne vient pas. Grief qui peut se retourner en éloge : cette frustration a pour heureux effet de désamorcer la parano liée au sujet.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Désillusions. Un documentaire politique qui interroge pêle-mêle la croyance et le cinéma. Tout l'art qu'Eyal Sivan et Audrey Maurion déploient dans leur documentaire Pour l'amour du peuple consiste précisément à convoquer " les images du passé pour surveiller le présent ".
L'Obs
(...) Eyal Sivan poursuit sa réflexion amorcée avec Un spécialiste sur la soumission de l'individu non tant à une doctrine qu'à un discours dominant. Sa voix vaut d'être entendue.
Le Figaroscope
Eyal Sivan et Audrey Maurion poursuivent leur décryptage du totalitarisme. [...] Un film qui pousse à s'interroger sur la fragilité et les errances de la nature humaine.
Les Inrockuptibles
Etonnant film d'archives (...). Avec ce film d'une inquiétante étrangeté sur un monde paranoïaque où la suspicion généralisée créait automatiquement de la culpabilité. Bel exercice en vérité que ce film sur l'immontrable, plus vertigineux que toutes les fictions sur le totalitarisme.
Libération
(...) impressionnant travail de montage. (...) les images d'archives, beaucoup de vidéosurveillance, montrent frontalement et lapidairement la normalisation "douce" des comportements.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Le Monde
Le résultat de cette mixture où toutes ces images, quelle que soit leur nature, sont assujetties à une même parole détournée de sa vocation première comme de la présence de son énonciateur donne un film artificiel et désincarné, dont la réussite paradoxale tient à la manière dont il adhère à son sujet : ne rien voir à force de tout vouloir contrôler.
TéléCinéObs
Si l'austérité du film est parfois pénible, son écoute et sa vision n'englacent pas moins les sangs.
Zurban
On éprouve (...) un certain malaise à entrer ainsi dans le point de vue d'un homme qui, loin de regretter le "sale boulot" effectué, se sent aujourd'hui trahi par un régime auquel il croyait sincèrement, et pour lequel il était prêt à faire le bonheur des gens malgré eux... Une réflexion dérangeante sur la nature de nos idéaux.
Première
Peut-on traiter l'ennui sans être ennuyeux ? Vieille question de cinéma qu'aurait dû se poser les documentaristes avant de traiter un sujet acrobatique : l'histoire de la Stasi, la police secrète est-allemande. [...] Le narrateur a beau proférer une énormité de temps en temps, on est quand même déjà mort d'ennui epuis la première minute.