Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Plus que par les situations et par les gestes, c'est par la lumière que l'émotion surgit, glaçante, implacable, et par la modestie apparente (...) En ce sens, " Être sans destin " apparaît comme un premier équivalent fictionnel à l'oeuvre de Claude Lanzmann (...)
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Critikat.com
par Lajos Koltai
Reste qu’Être sans destin, en s’opposant fermement à l’angélisme d’une représentation banalisée, réhabilite un témoignage fort avec finesse ; en convoquant l’irreprésentable au singulier, Koltai rend paradoxalement un bel hommage à ceux « qui ont une tombe au creux des nuages » (Celan).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Florence Ben Sadoun
Et là, on se prend l'écran et pas seulement (...) On est happé dans l'enfer d'un camp de concentration vu à travers les yeux d'un adolescent.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Score
par Audreu Zeppegno
(...) "Etre sans destin" nous relâche à l'air libre avec une boule dans la gorge et l'esprit chamboulé.
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Béatrice Toulon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Fluctuat.net
par Lajos Koltai
Adaptation par Imre Kertèsz de son roman éponyme (...) Le film ne lui rend que partiellement hommage ; il reste néanmoins beau et bouleversant, et évite tout manichéisme primaire.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Une méditation terrible et austère sur le goût de la vie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Libération
par Didier Péron
Sans doute y a-t-il ici suffisamment de travellings soigneusement cadrés le long des clôtures de barbelés pour exaspérer, mais la force du récit l'emporte avec une même sidérante vraisemblance dans la reconstitution que celle que l'on trouvait dans "le Pianiste" de Polanski
MCinéma.com
par Philippe Scrine
(...) on reprochera au film son académisme et son esthétisation excessive (...) Néanmoins, la beauté formelle de l'ensemble, le cadrage de l'image, les jeux de lumières et de couleurs, ne nuit pas à sa véridicité.
Télérama
par Pierre Murat
Un film ambitieux, solennel, digne et passionné. Inattaquable, en somme. Et pourtant contestable. Si le malaise naît une fois de plus, ce n'est pas la faute du scénario (...) Mais de la mise en scène de Lajos Koltai, de son parti pris esthétisant (...)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Pierre Langlais
Une adaptation presque parfaitement fidèle du roman de Imre Kertész, presque inadaptable. Intéressant pour ceux qui ont lu le roman. Opaque pour les autres.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Isabelle Danel
Cette plongée en sépia dans la barbarie quotidienne (...) ne parvient qu'à de rares moments à atteindre la fulgurance de l'insoutenable paradoxe d'être vivant au pays des morts et d'aimer la beauté d'un lever de soleil derrière les barbelés ...
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
[Certains] auront certainement à coeur de souligner combien la musique d'Ennio Morricone et le jeu outrancier de l'acteur principal lestent ici la tragédie d'un pompiérisme pesant.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Claire Vassé
Une adaptation du roman autobiographique de Imre Kertész, écrite par lui-même mais, hélas, mise en scène par Lajos Koltai avec une inflation de musique et de lumière esthétisante.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) cette tendance esthétisante - qui fabrique de la beauté, de la jouissance et du spectaculaire à partir de l'avilissement et de la déshumanisation - est particulièrement malvenue s'agissant de la représentation d'une telle réalité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Le résultant est non seulement décevant mais carrément accablant (...) le film écrase le réel dont il s'inspire à défaut de le restituer.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Obs
Plus que par les situations et par les gestes, c'est par la lumière que l'émotion surgit, glaçante, implacable, et par la modestie apparente (...) En ce sens, " Être sans destin " apparaît comme un premier équivalent fictionnel à l'oeuvre de Claude Lanzmann (...)
Critikat.com
Reste qu’Être sans destin, en s’opposant fermement à l’angélisme d’une représentation banalisée, réhabilite un témoignage fort avec finesse ; en convoquant l’irreprésentable au singulier, Koltai rend paradoxalement un bel hommage à ceux « qui ont une tombe au creux des nuages » (Celan).
Elle
Et là, on se prend l'écran et pas seulement (...) On est happé dans l'enfer d'un camp de concentration vu à travers les yeux d'un adolescent.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Score
(...) "Etre sans destin" nous relâche à l'air libre avec une boule dans la gorge et l'esprit chamboulé.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
Adaptation par Imre Kertèsz de son roman éponyme (...) Le film ne lui rend que partiellement hommage ; il reste néanmoins beau et bouleversant, et évite tout manichéisme primaire.
Le Figaroscope
Une méditation terrible et austère sur le goût de la vie.
Libération
Sans doute y a-t-il ici suffisamment de travellings soigneusement cadrés le long des clôtures de barbelés pour exaspérer, mais la force du récit l'emporte avec une même sidérante vraisemblance dans la reconstitution que celle que l'on trouvait dans "le Pianiste" de Polanski
MCinéma.com
(...) on reprochera au film son académisme et son esthétisation excessive (...) Néanmoins, la beauté formelle de l'ensemble, le cadrage de l'image, les jeux de lumières et de couleurs, ne nuit pas à sa véridicité.
Télérama
Un film ambitieux, solennel, digne et passionné. Inattaquable, en somme. Et pourtant contestable. Si le malaise naît une fois de plus, ce n'est pas la faute du scénario (...) Mais de la mise en scène de Lajos Koltai, de son parti pris esthétisant (...)
aVoir-aLire.com
Une adaptation presque parfaitement fidèle du roman de Imre Kertész, presque inadaptable. Intéressant pour ceux qui ont lu le roman. Opaque pour les autres.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Première
Cette plongée en sépia dans la barbarie quotidienne (...) ne parvient qu'à de rares moments à atteindre la fulgurance de l'insoutenable paradoxe d'être vivant au pays des morts et d'aimer la beauté d'un lever de soleil derrière les barbelés ...
TéléCinéObs
[Certains] auront certainement à coeur de souligner combien la musique d'Ennio Morricone et le jeu outrancier de l'acteur principal lestent ici la tragédie d'un pompiérisme pesant.
Zurban
Une adaptation du roman autobiographique de Imre Kertész, écrite par lui-même mais, hélas, mise en scène par Lajos Koltai avec une inflation de musique et de lumière esthétisante.
Le Monde
(...) cette tendance esthétisante - qui fabrique de la beauté, de la jouissance et du spectaculaire à partir de l'avilissement et de la déshumanisation - est particulièrement malvenue s'agissant de la représentation d'une telle réalité.
Les Inrockuptibles
Le résultant est non seulement décevant mais carrément accablant (...) le film écrase le réel dont il s'inspire à défaut de le restituer.