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Kalie
60 abonnés
967 critiques
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5,0
Publiée le 11 décembre 2013
Cette histoire d’amour contrarié par une terrible malédiction est intelligemment mise en scène. Le fantastique est ici abordé sobrement (pas de scène de transformation spectaculaire). Le film fait la part belle à l’action et aux sentiments. Rutger Hauer (loup la nuit) et Michelle Pfeiffer (faucon le jour) sont bouleversants. Il s’agit ni plus ni moins de l’un de mes couples cinématographiques préférés. Au final, on est en présence d’un film d’aventure médiévale passionnant et émouvant. C’est une petite merveille des années 80 injustement oubliée aujourd’hui.
Un très beau film. Belle histoire, belle interprétation. Un compte qui vous amène ailleurs. J'ai beaucoup aimé. Je le reverrai volontier. Ca fait rêver.
Monsieur le blondinet porte le jour sur son bras un aigle qui la nuit est une jeune femme fragile qui elle meme a dans son sillage le blondinet qui de nuit est un sont aidés par un jeune trou du cul et un pretre débile et affrontent un eveque qui a lancé une malédiction sur le couple cité plus B.O. nulle a chier et des méchants tout laideur affligeante typique de bien des films des années 80.(l'intro fait penser a un poster de beaufs aimant Johnny avec son aigle sur fonds bleu).Le pire c'est les périodes de transitions d'humain a animal,avec des lumières kitsch et des yeux en gros a en etre malsain.
Un film touchant malgré ses nombreuses imperfections, et en premier lieu la bande son, complètement à coté de la plaque.Michelle Pfeiffer n'a jamais aussi belle.
Que dire de Ladyhawk, ce conte médiéval aux allures fantastiques. Ce qui est étrange avec ce film, c'est qu'il est à la fois ringard et beau. Le générique en est un exemple. C'est vraiment moche. Voir un aigle avec une lumière bleue derrière, c'est aussi désagréable que la photographie de Batman et Robin de Schumacher. Et pourtant, le reste du film est parfois magnifique, avec ses décors, ses châteaux du Moyen-Âge et ses costumes. Certaines séquences sont d'une beauté folle, grâce à la mise en scène de Richard Donner. Pour les scènes d'actions, c'est la même chose. C'est à la fois réalistes et poignants, mais aussi ridicules, dans les expressions, la façon de bouger. Heureusement le casting est en partie solide. Rutger Hauer, à un charisme fou, et Michelle Pfeiffer est splendide. Matthew Broderick est par contre insipide au possible, on en vient presque à oublier sa présence, malgré quelques scènes où il montre un peu de talent. Le scénario part d'une idée simpliste, mais il est bien traité. On passe outre le coté un peu caricaturé des "méchants" de l'histoire, pour s'attarder sur la poésie du film, car il est loin d'en être dépourvue. Enfin la musique est réussie, mais ne colle pas du tout avec le film ! C'est dommage, car elle reste agréable à écouter. Au final, ce film au coté un peu kitch à un charme fou. C'est très agréable de le regarder, à la fois pour son histoire, son ambiance et son atmosphère, que pour deux grands noms du cinéma, et ce, malgré ses défauts, qui ressortent sans doute plus aujourd'hui que dans les années 80.
Tournée peu avant le cultissime Les Goonies, cette approche de l'heroic fantasy n'est hélas pas aussi fantastique qu'elle n'y parait... Conservant un thème fantastique évident mais cependant discret, Ladyhawke s'avère être plus un film d'aventures médiévales qu'un véritable long-métrage d'heroic fantasy. Ici point de sorciers ou de dragons, nous y retrouvons un chevalier intrépide partant à la recherche de l'évêque qui les a maudit, lui et sa bien-aimée, à se transformer respectivement en loup et en faucon. Lui devient loup lorsque la nuit tombe, elle devient faucon lorsque le jour se lève, liant les deux êtres tout en les séparant à jamais. Aidé d'un jeune garçon espiègle, l'ancien capitaine de la garde va parcourir le pays pour mener à bien sa mission. Le concept de ces deux amants métamorphes est bienvenu et poétique mais n'arrive malheureusement pas à faire de Ladyhawke une œuvre marquante. Pourtant nanti de décors splendides, de costumes réussis et d'un casting alléchant (Rutger Hauer, Michelle Pfeiffer et le jeune Matthew Broderick), le film de Richard Donner peine à trouver ce souffle épique qu'il est sensé dégager. Réparti sur une durée un poil trop longue, le rythme vacille et s'avère inégal tandis que les dialogues n'arrivent jamais à rencontrer de réelle grâce. Pareillement, les séquences d'action ne resteront pas dans les mémoires, la faute à des cadrages anodins (n'est pas John Milius qui veut) et une musique peu adéquate. Car c'est là que réside le plus gros point noir du film : la musique mi-rock symphonique d'Andrew Powell, typiquement 80's avec ses claviers électroniques, contraste fortement avec le décor proposé et s'avère vite ringarde. De plus, les effets spéciaux, propres à un film dit fantastique, sont ici clairement ratés, en témoigne la transformation d'Isabeau en faucon, sorte de patchwork brouillon et indigeste à l'écran. Au final, malgré de bonnes intentions et quelques qualités immuables, Ladyhawke demeure un film de fantasy pour le moins raté qui arrive cependant à rester un tant soit peu divertissant grâce à ses thèmes abordés et son casting de luxe.
Ce joli conte médiéval , doublé d'une histoire d'amour ne laisse pas indifférent.. On se prend vite d'affection pour ce couple maudit, aidé par une "petite souris" et un vieux moine attachants ! Rehaussé par la musique d'Alan Parson, ce film est une réussite de bout en bout. Du Bon Richard Donner !
J'aimais quand j'étais jeune, j'aime toujours à 43 ans. Même la musique. La photographie et les paysages sont superbe, l'histoire plutôt originale, et les combats pas si mal que ça. Bref, un plaisir.
PS: critique proposée en 2011, sans aucun spoiler ni problème, et toujours pas approuvée...
Légère déception. Bien sûr j'adore l'histoire de ce film, son ambiance particulière, les personnages, la photographie, mais... il y a quelque chose qui fait que je n'arrive pas à entrer dans l'histoire, et même à m'attacher aux personnages. Le rôle de Michelle Pfeiffer est indigne d'elle, il est beaucoup trop lisse, trop... fade je dirais. Le gros problème du film, c'est surtout sa BO ! AFFREUSE ! Mais bon ... si on passe au dessus de cet erreur lié à ces années musicales minables, le reste est toujours sympathique.
Certes Donner a du métier. Mais, a-t-il jamais montré autre chose ? Que ce soit à la Télé avec entre autres « Au Nom De la Loi », ou au ciné avec ses « Armes Fatales », à part « Sixteen Blocks », il n’a jamais su faire un seul film qui puisse transcender son genre. Ladyhawke » était bien parti pourtant. Non dépourvu parfois d’une certaine poésie, d’un humour plutôt bien porté par un tout jeune mais talentueux Matthew Broderick, il s’enlise hélas par des scènes de bagarres très médiocres, à l’image de la fin. Outre le fait que Donner nous inflige une demi-heure de duel burlesque, il nous assène des dialogues puérils et des scènes d’un romantisme inepte.