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videoman29
251 abonnés
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5,0
Publiée le 14 octobre 2018
En 1985, juste avant la sortie du phénomène « L'arme fatale », le cinéaste Richard Donner nous offre un sympathique film d'aventure médiéval, resté étonnamment « discret » en terme de notoriété. Je ne m'explique d'ailleurs pas très bien les raisons de ce semi-échec tant les qualités de cette œuvre attachante auraient dû en faire un vif succès populaire. En effet, tous les ingrédients sont bien présents pour que la mayonnaise prenne et que les spectateurs gardent en mémoire cet excellent divertissement, malheureusement diffusé au compte-goutte sur nos écrans TV... Le mélange d'action et de romantisme est parfaitement dosé, l'histoire est très originale et on parvient sans peine à s'identifier aux personnages, pour la plupart fort sympathiques. Les acteurs ne sont évidemment pas pour rien dans cet à priori positif et leur forte implication est particulièrement visible à l'écran. Certes Rutger Hauer n'est pas le Chevalier le plus charismatique de l'histoire du cinéma, mais il parvient tout de même à imposer sa présence, notamment grâce à son impressionnante carrure d'athlète. Cependant il ne faut surtout pas négliger la présence, à ses côtés, de la sublime Michelle Pfeiffer dont la renversante beauté emporte tout sur son passage. Certes, trente et quelques années plus tard, certains effets spéciaux ont pris un réel coup de vieux mais l'ensemble reste bien agréable à suivre... A vos télécommandes !
Je n'avais jamais vu ce film quand j'étais gamin et je le découvre aujourd'hui. Il faut croire que les bonnes appréciations que j'ai pu lire sont dues à la nostalgie de ceux qui l'avaient vu à cet âge, parce que le moins qu'on puisse dire, c'est que je n'avais pas raté grande chose à l'époque.
C'est lent. C'est ennuyeux. La réalisation est plate. La musique est nullissime et kitsch à souhait. Les combats sont très mal chorégraphiés. Matthew Broderick est insupportable. Rutger Hauer et Michelle Pfeiffer sont décevants. Il n'y a pas une once de suspense, on sait à l'avance comment ça va finir et le déroulement de chaque scènes. On a le droit à tous les clichés sur le moyen-âge avec le méchant évêque, le gentil moine alcoolique, les paysans moches et sales, les soldats bêtes et méchants.
Et bien sûr, comme souvent dans ce genre de film, on a le droit à cette étrange morale hollywoodienne qui veut que le "gentil" tue et extermine des tonnes et des tonnes de "méchants". Et que les "méchants" ne tuent pas la moindre personne parce qu'ils sont vraiment trop nuls au combat...
Allez, je met quand même quelques point parce que l'idée de la malédiction d'où découle l'intrigue est bien trouvée.
L'histoire est excellente. Voilà tout ce qu'on peut en dire de bien. Si on ressent un certain plaisir à cette fable du moyen-âge, le tout est quand même assez mauvais. Les épées en plastique, les combats atroces, les personnages insupportables, le cabotinage de mauvais goût de certains acteurs, le générique de début qui augure plutôt d'un film de SF cheap, la musique complètement à côté de la plaque, les figurants complètement figés, et j'en passe sûrement. Bref un ratage total pour une histoire pourtant plaisante. A cette époque on était quand même capable de faire des choses beaucoup plus crédibles.
A conseiller à tous les fans de la saga The Witcher qui retrouveront tous un tas d'éléments graphiques (donjon, château en ruine, certaines épées) qui ont servis à CD Projekt Red pour mettre en image les livres d'Andrzej Sapkowski. Casting famélique mais correct, réalisation très moyenne et intrigue tenant sur un post-it en font un film en dessous de ce que Richard Donner nous servait habituellement mais on évite la catégorie nanar, qui à mon avis est malheureusement la plus représentative de l'heroic fantasy au cinéma (contrairement aux jeux vidéos). Andrew Powell, crédité comme compositeur sur ce film, signe une des pires bandes originales jamais entendue au cinéma. Alors oui c'est mauvais mais ça n'a surtout rien à voir avec le genre du film. J'espère pour le bien du 7° art qu'il s'est reconverti dans l'eau lyophilisée parce que là on est au mieux dans un épisode de Magnum.
Un beau conte médiéval comme nos ancêtres devaient en écouter ou raconter au coin du feu en des temps lointains. Le cadre du Moyen-Âge est parfaitement recrée avec des décors et des costumes authentiques, le tout sans le moindre trucage numérique. Preuve qu'on peut se passer de ce genre de technique pour récréer des ambiances historiques. Niveau acteurs, Rutger Hauer est un vrai chevalier, respirant la noblesse, et Michelle Pfeiffer est d'une beauté sublime (quoique j'aurais aimé que ses cheveux soient plus longs). L'histoire d'amour liant leurs personnages est vraiment attachante et la réalisation de Richard Donner est travaillée avec recherche. Un film charmant, magique, envoûtant et qui fait certainement partie des meilleurs films médiévaux réalisés.
Pas génial de suivre Matthew Broderick dans un personnage agaçant bien qu'intrépide mais à l'humour mauvais et crachant un flot de paroles ininterrompu. Le couple d'acteurs Rutger Hauer / Michelle Pfeiffer est bien, sérieux, élégant dans ses costumes. Les décors et les tenues sont soignés et l'histoire fantastique est bonne. Ma véritable déception vient des acolytes du chevalier qui sont deux pitres dont finalement l'on ne sait rien. La mise en scène et les effets rendent bien. La musique est trop moderne pour une époque médiévale et il est dommage que l'on éprouve plus d'empathie envers le couple ensorcelés qu'envers les personnages principaux trop mauvais spoiler: et disparus sitôt l'aventure terminée !
Film fantastique et romantique qui garde toujours autant de force et de caractère, version fantastique et moyenâgeuse d'une sorte de Roméo et Juliette définitivement marqué par le couple sublime formé par le charismatique et solide Rutger Hauer et la douce, sublime, envoûtant, luminaire Michelle Pfeiffer, amants maudits par un sort les empêchant de se toucher et de s'aimer, elle faucon le jour, lui loup la nuit. Un film d'aventure poétique romantique et dramatique d'une incomparable beauté.
Les bons films médiévaux authentiques, sans effets numériques abondants avec mate painting qui enlève tout effet de réel avec les décors et l'ambiance d'époque sont bien rares. Le film de Donner raconte la romance entre deux amants sous l'emprise d'une malédiction, accompagnés de deux pitres incarnés par Broderick et McKern ; on n'en sait pas plus si le personnage de Broderick, sinon qu'il suit le chevalier-loup, c'est tout, contrairement à McKern qui est plus attachant. Les adversaires sont clairement définis : l'Eglise et le Capitaine de l'Armée, donc les puissants, chose facile pour un scénario d'aventure. La mise en scène relève bien le niveau du script, avec de bonnes idées de la part de Donner ( mise en valeur du paysage, vue subjective dans le heaume ), direction artistique minime mais efficace, mais par contre, beaucoup seront d'accord, la musique est vraiment ridicule ; aucun rapport avec l'époque, surenchère d'effets sonores ... Sinon Donner a correctement ficelé un film beau et épique.
Une superbe illustration d'une légende médiévale, orchestrée par le réalisateur des Arme Fatale. Ce film très méconnu parce que passé très injustement inaperçu à sa sortie, est d'une beauté magique avec sa reconstitution soignée, son charme poétique et son duo d'amants maudits formé par la rayonnante Michelle Pfeiffer, et Rutger Hauer en fier chevalier à la noblesse éclatante. Voici un exemple de film rare et très plaisant qu'on aimerait voir plus souvent même à la télé, au lieu des sempiternelles daubes qu'on nous inflige.
Lady Hanwke : Un film d’aventure chevaleresque très spécial et plutôt de mauvais gout au départ. C’est vrai, toute la première partie est une succession de décalage qui aurait pu le faire mais non. Et surtout au premier vu les musiques très moderne qui collent pas du tous a l’ambiance du film. Pourtant, ça peut le faire, Django de Tarantino utilise des musiques pop pour un western mais ça passe mieux alors que la non. Ensuite, l’adolescent héros du film, au départ, il est soulant, court dans tous les sens, balance des répliques pendant les scènes d’action… enfin, on a du mal a s’y attaché. Et puis, du début jusqu'à la fin, le scénario est fouille et on a du mal a rentré dedans, même a la fin, on ne comprend pas comment ils doivent vaincre la malédiction. Et c’est dommage car le scénario est un minimum intéressant car c’est un homme et une femme qui s’aime mais l’homme ce transforme un loup la nuit et le jour, la femme en aigle donc leur amour est impossible et c’est a cause d’un mage qui a jeter une malédiction. Et ils vont essayer de la rompre avec l’aide du héros ado qui va les protégés jour et nuit. Donc voila, scénario qui possède quand même de l’action et de l’humour mais ça aurait pu être bien mieux, c’est juste correcte. Et pour ce qui est de la réalisation, c’est celui qui a fait L’arme Fatale donc j’ai vu mieux, surtout pour la relation image/son, sinon la mise en scène est toujours inspiré. Et pour finir, le casting est plutôt bon et les deux acteurs adultes principaux convaincants. Donc voila, il y a de l’idée mais le tous manque de rythme et de cohésion.
Alors qu'il s'échappe du donjon d'Aquila, Philippe Gaston va peu à peu faire la rencontre de deux personnages, Étienne de Navarre, l'ancien chef de la garde d'Aquila et Isabeau d'Anjou. L'amour de ces deux-là n'a pas été accepté par l'évêque qui leur jeta une malédiction.
Comme le disait Baloo : "Il en faut peu pour être heureux" et Ladyhawke convient parfaitement à cette phrase où l'univers si fascinant que Richard Donner met en place suffit amplement à faire oublier ces quelques petits défauts (quelques baisses de rythmes notamment). Il nous transporte dans un univers médiéval où se côtoient chevalier, malédiction, faucon, donjon et religion, un monde qu'il met très bien en valeur à travers une magnifique reconstitution, tant dans les décors que les costumes, dialogues et surtout paysages.
C'est un amour impossible qu'il met en scène, un amour touché en plein cœur par une malédiction qui les empêche de vivre au même moment sous une forme humaine (l'un se transformant la nuit et l'autre le jour). Assez vite, Donner redonne de l'espoir à ce couple à travers l'arrivée d'un jeune voleur qui s'échappait du donjon. Dès lors, la quête commence et il met en avant des personnages intéressants voire même attachants et il retranscrit bien leurs évolutions et relations à travers une trame classique et efficace.
Au delà même de l'écriture des personnages et de l'histoire, c'est le charme qui se dégage de l'oeuvre qui emporte tout sur son passage, appuyé par une atmosphère romantique et fantastique et une belle exploitation de l'univers. D'ailleurs, les quelques effets ancrés dans son époque, à l'image de la bande-originale très synthé, participent aussi à la réussite de l'ensemble. Et enfin, si la prestation de Matthew Broderick est assez anecdotique, c'est tout le contraire de Rutger Hauer et la belle Michelle Pfeiffer avec ses yeux bleus perçants, participant pleinement à la réussite du film, notamment par leur présence et leur façon de s'approprier leur personnage.
C'est avec talent que Richard Donner nous concocte cette oeuvre de fantasy, il y ressort charme et magie et de quoi faire oublier ses quelques petits défauts pour nous emporter dans un fascinant univers médiéval.
Condamné à se changer en loup chaque nuit, tandis que sa dulcinée se change en faucon chaque journée, un soldat déchu cherche à se venger de celui qui a jeté un sort sur son couple. A mi-chemin entre l'heroic fantasy et le conte médiéval, "Ladyhawke" est un film très sympathique, malheureusement tombé dans l'oubli depuis sa sortie. L'ensemble bénéfice en premier lieu de superbes paysages et décors médiévaux (le tournage a été effectué en Italie), très bien exploités ici. Nous avons également le droit à une intrigue contenant pas mal de bonnes idées, et qui évite les niaiseries. A ce niveau, Richard Donner n'oublie pas ses personnages, et se centre autant, sinon plus, sur l'histoire d'amour poétique entre les protagonistes que sur les scènes d'action efficaces. A l'allure rustre de premier abord, Rutger Hauer parvient à jouer un héros à la fois charismatique, sensible, et animal. Il est secondé par une charmante Michelle Pfeiffer, et par un Matthew Broderick attachant, alors que son personnage de chapardeur menteur aurait pu vite taper sur les nerfs. En somme, "Ladyhawke" est un film fantastique de qualité.
Ce jolie petit conte médiéval est plutôt bien porté à l'écran. On voit que Richard Donner à eu droit à un beau budget. Même si il y a de belles émotions le film n'offre pas un scénario des plus excitant.La BO est complètement anachronique et trop présente et les armures font modernes voire même futuristes par certains aspects. Sympa mais sans plus.