Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
3,0
Publiée le 26 juillet 2010
Magnifique compte, scénario excellent, acteurs très bons. Malheureusement la musique et les effets spéciaux (pas très nombreux heureusement) ont un peu vieilli et les scènes de combat sont un peu molles. Mais bien sympa à avoir et à revoir
1986, Richard Donner, le très prolifique réalisateur de «La malédiction», «Superman» et «Les Goonies» s'essaie avec brio au film médiéval romantique saupoudré d'Héroic Fantasy, ce petit joyau s'intitule «Ladyhawke». Pour ce faire, le réalisateur confie les rôles principaux à Rutger Hauer parait avec son précédent long-métrage, «La chair et le sang» à l'exercice du film moyenâgeux. Face à lui, la magnifique Michelle Pfeiffer et le tout jeune Matthew Broderick. Richard Donner plante sa caméra en Italie dans plusieurs régions, en majorité les Abruzzes. Bien loin de son rôle sanglant de mercenaire dans «La chair et le sang», Rutger Hauer endosse le nom, la prestance et l'épée d' Étienne de Navarre ancien chef de la garde de la cité d'Aquila. Navarre est amoureux d'une femme en la personne d'Isabeau d'Anjou (Michelle Pfeiffer). Cette idylle aurait put être magnifique, au lieu de cela, elle est marqué du sceau de la malédiction de l’évêque d'Aquila. En effet, fou amoureux d'Isabeau, l’évêque chassa de la cité les deux amants et pactisa avec le diable. Si lui ne pouvait posséder Isabeau, alors personne ne la posséderait. Depuis ce jour, Isabeau et Étienne sont toujours ensembles mais toujours séparés. En effet, Navarre se change en loup à la nuit tombée mais quand il reprend forme humaine au petit matin, Isabeau se transforme en faucon. Avec l'aide de Philippe Gaston (Matthew Broderick), un jeune vagabond, Navarre et Isabeau vont essayer de mettre fin à cette malédiction. «Ladyhawke» est à la fois un magnifique conte et un film d'aventures pour toute la famille porté par le charisme chevaleresque de Rutger Hauer, la beauté de Michelle Pfeiffer et l'humour décalé du jeune (à l'époque) Matthew Broderick. Tourné dans des décors naturels d'une beauté à couper le souffle, le film possède une partition musicale des plus originales pour ce genre de production, en effet, le compositeur Andrew Powell fait appel à l'arrangeur Alan Parsons du groupe «Alan Parson Project» et tous deux mélangent de la musique rock'n roll saturée de synthétiseurs avec des chants Grégoriens. Un parti-pris critiqué à l'époque mais qui a donné à «Ladyhawke» ce côté anachronique si particulier.
Très bon film féerique de l'époque médiévale. La musique, par contre, aurait mérité d'être un peu plus discrète. "Ladyhawke" gagnerait beaucoup à être retranscrit en un comte de fées (mais pas de version Disney s'il vous plaît). Pour les amateurs de magie et de l'époque du roi Arthur, "Ladyhawke" est à avoir dans sa collection.
Ah mais quel joli film que j'aime retrouver et regarder une fois de plus depuis 1985 ! Bon OK, ça un peu mal vieilli, c'est un peu mou du genoux et la musique n'est pas ouf ouf non plus, mais comme j'aime Allan parson project , la partition d' Andrew Powel est chouette. Le réalisateur voulait faire un film que ses enfants pouvaient regarder...mission accomplie. Les acteurs sont tous bien... Petit bémol, les effets spéciaux piquent un peu, mais après tout, le plaisir est bien ailleurs.
Soyons franc, pour le cas où vous ne l'auriez pas constaté : j'ai adoré ce film ; ce message un peu niais qui dit que l'amour triomphe de tous les obstacles me plait bien. De plus, les acteurs sont vraiment à la hauteur de cette histoire qui défie le temps. J'ai appris à connaitre se film grace à la série "Charmed" qui avait consacré un épisode assez similaire à l'histoire de ce film. Et oui encore une fois merci à toi !!!!!
Petit, je trouvais ce film fantastique, grandiose même par son histoire, son ambiance et sa musique. Aujourd'hui je dois avouer que certains détails (je chipote) gênent un peu. D'un le manque de rythme, de deux la BO au curieux mélange de sons pouvant interloquer, de trois les acteurs ne semblent pas à fond dans leurs rôles, je pense surtout à l'évêque. Mention spéciale aux 2 protagonistes cependant, R. Hauer est charismatique quand à M. Pfeiffer elle est tout simplement sublime voire troublante, très troublante même. Les décors sont bien choisis, là où R. Donner pêche c'est au niveau des transitions, pas toujours bien réalisées. Pour finir j'ai apprécié les costumes, les différents armements et l'impressionnant donjon d'Aquila. Même le doublage français est très bon (ce n'est pas toujours le cas des films de l'époque). 2 étoiles c'est sûrement strict, j'ai peut-être mal vieilli (lol).
J'aimais quand j'étais jeune, j'aime toujours à 43 ans. Même la musique. La photographie et les paysages sont superbe, l'histoire plutôt originale, et les combats pas si mal que ça. Bref, un plaisir.
PS: critique proposée en 2011, sans aucun spoiler ni problème, et toujours pas approuvée...
Je ne me souviens pas qu'à l'époque il y ait eu beaucoup de "pub" à la sortie de ce film. Ce sont quelques lignes dans un journal qui m'ont encouragée à aller le voir. J'ai été complètement envoûtée par ce film, que je regarde encore régulièrement. J'en ai fait une pub d'enfer pour encourager un maximum de personnes à le voir, tant au cinéma à sa sortie, qu'ensuite pour les diffusions télé. Ce film renferme tout ce qu'on va chercher dans un bon livre, une bonne histoire : l'Amour inconditionnel, puissant et passionné, des héros au courage infaillible, des batailles, des chevauchées, de l'humour, des paysages splendides et des effets spéciaux réussis, une magnifique légende. Chaque ingrédient est justement dosé et la lumineuse beauté de Michelle Pfeiller vient couronner l'ensemble. Si vous en avez l'occasion, ne vous privez pas de découvrir ce film d'amour et d'aventures : vous ne serez pas déçu !
Un excellent film servi par d'excellents acteurs et agrémenté d'une musique aussi émouvante qu'inoubliable. Comment ne pas craquer pour la prestence de Rutger Hauer, la douceur de Michel Pfeiffer ou la malice de Matthew Broderick. On peut adorer ou rester indifférent mais il serait injuste de dire qu'il est mauvais. Si vous ne l'avez pas encore vu, n'attendez plus, il vaut vraiment le détour.
A conseiller à tous les fans de la saga The Witcher qui retrouveront tous un tas d'éléments graphiques (donjon, château en ruine, certaines épées) qui ont servis à CD Projekt Red pour mettre en image les livres d'Andrzej Sapkowski. Casting famélique mais correct, réalisation très moyenne et intrigue tenant sur un post-it en font un film en dessous de ce que Richard Donner nous servait habituellement mais on évite la catégorie nanar, qui à mon avis est malheureusement la plus représentative de l'heroic fantasy au cinéma (contrairement aux jeux vidéos). Andrew Powell, crédité comme compositeur sur ce film, signe une des pires bandes originales jamais entendue au cinéma. Alors oui c'est mauvais mais ça n'a surtout rien à voir avec le genre du film. J'espère pour le bien du 7° art qu'il s'est reconverti dans l'eau lyophilisée parce que là on est au mieux dans un épisode de Magnum.