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Un visiteur
2,5
Publiée le 18 juin 2009
Un film un peu mou sauvé par l'interprétation de Juliette Binoche et Jude Law. A travers ce film on voit une famille qui sé déchire petit à petit mais qui parvient finalement à recoller les morceaux.
un film sensible qui n'atteint pourtant jamais de réelle intensité en dépit des acteurs parfaits. Une grosse déception, étant restée sur le chef d'oeuvre du patient anglais du meme réalisateur. Un film trop long, sans travail de caméra à saluer particulièrement. Deux étoiles pour les acteurs qui sont dans la justesse absolue. Un film pour les amoureuses de Jude Law.
Quelle est la moralité de cette histoire ? Quel message essaie-t-on de faire passer ? Lent et soporifique. Heureusement que la beauté des actrices et leur prestation nous accroche un peu à ce film...
Des acteurs formidables au service d'un scénario si riche que l'on ne sait jamais où le film va nous emporter! En effet, le réalisateur brasse tellement de thèmes que l'on se trouve face à plusieurs films à la fois: thriller avec le cambriolage et l'enquête, comédie romantique avec la rencontre entre Jude Law et Juliette Binoche, drame familial, chronique sociale,...Bref, même si quelques longueurs et maladresses se font sentir, ce film est à découvrir car si original qu'il en devient captivant!
Assez bon film, plein de subtilités et de sentiments complexes mais la fin est vraiment ratée, c'est du grand n'importe quoi! Je n'e raconte pas plus mais le film vaut quand même le coup d'oeil pour Juliette Binoche et Judd Low
Certes, les greffes liant la sombre histoire de cambriolage aux déchirements d’un couple, aux expériences problématiques d’une mère immigrée et de son fils, et d’une aventure extra- conjugale, sont faites à un rythme lancinant. Mais les rebondissement arrivent néanmoins. Ils sont d’autant plus intéressants que les personnages sont complexes et crédibles. En Outre, la narration ne manque pas d’un certain symbolisme social et poétique. Que ce soit « Breaking And Entering », « Retour à Cold Mountain », « Le Talentueux M. Ripley », ou « Le Patient anglais », Anthony Minghella fait toujours preuve d’une grande élégance dans sa technique et dans son propos.
A vouloir raconter trop de choses à la foie, le film perd en intensité. Heureusement il y a Juliette Binoche. A chacune de ses appariotions, le film prend consistance et gagne en émotion.
finalement ça m'a plu malgré beaucoup de longueurs pendant une bonne partie du film mais de voir la détresse de ces pauvres gens qui malgré toutes leurs souffrances essayent de survivre en subsistant par des moyens illégaux parfois m'a beaucoup bouleversé,vraiment à découvrir.
Un film positivement chiant. Mortellement ennuyant. Un film réalisé de manière anonyme, le travail de Minghella est purement méconnaissable. On se croirait dans un téléfilm anglais des années 60, je m'attendais presque à une apparition de Michael Caine ou pourquoi pas un caméo de John Malkovich, ça n'aurait pas dépareillé. Enfin, voyons le bon côté des choses : cela sera un bon moment à passer pour vos amis grabataires, tant la lenteur du film, l'absence d'intrigue ou d'une semblant de scénario qui gênerait un esprit vieux et fatigué à "comprendre" le film. Même les dialogues sont insipides, tout droit sortis d'un épisode de soap opéra ou quelque chose comme ça. C'est bien que des réalisateurs fassent tant de programmes pour les personnes en fin de vie, même si personnellement je m'attendais à autre chose qu'à un soin palliatif, vous voyez, j'espérais bêtement qu'on aurait droit à du cinéma. Vaya con Dios, Sir Minghella.
Un superbe film d'Anthony Minghella,tout en subtilité et non-dits."Par effraction"bénéficie en plus d'une histoire originale,transposée dans le quartier de King's Cross à Londres.A première vue assez fouilli,sans thème fixe;le film se dévoile au fur et à mesure des errements sentimentaux et psychologiques de son héros Jude Law.Minghella fait le point sur les classes aisées et soi-disant bien pensantes.Car en voulant bien agir,cet architecte confond générosité et condescendance.Son attitude avec cette réfugiée bosniaque et son fils(qui lui vole du matériel)est assez ambigue.Amoureux un coup,distant le suivant,il cherche sa place.Un homme maladroit,qui veut faire le bien.Et sauver au passage son couple avec une femme mutique et une fille hyperactive.Pas facile.Tout comme l'interprétation de ce film puissant,à tiroirs.
Un film poignant, qui nous met face à un drame dont on pourrait être un jour l'acteur. Juliette Binoche est époustouflante, ainsi que les autres acteurs. Encore un film avec Jude Law que j'adore Je trouve cet acteur vraiment remarquable. Il touche, comme il peut faire rire ou pleurer...
Will partage sa vie avec Liv, une suédoise qui a abandonné son travail pour s'occuper à temps plein de sa fille Bea, qu'elle a eu d'une relation précédente, souffrant d'une forme d'autisme. Liv délaisse quelque peu Will, happée par une sorte de mélancolie terrible. Will et son ami Sandy viennent d'ouvrir une grande gallerie où ils travaillent d'arrache pied pour concevoir des architectures révolutionnaires, en plein coeur du mauvais quartier londonien, King's Cross. Dès la première nuit, ils sont victimes d'un vol.
Menant son enquête (principalement en attendant les voleurs la nuit), Will poursuit l'un d'eux jusque chez lui et revient le lendemain voir la mère du jeune déliquant, une réfugiée bosniaque, couturière de son état. Et sous prétexte de lui faire repriser ses vestes de costumes, il va peu à peu tomber sous son charme.
Par effraction Miro est entré dans la vie de Will. Par effraction, Will va s'immiscer dans celle de sa mère. Son couple bat un peu de l'aile et Will se réfugie alors dans le coeurs d'Amira, cette courageuse femme qui élève seule un fils embrigadé par un oncle malfaisant, et livré à lui-même. C'est parfois un peu trop larmoyant, un peu lent aussi, mais Minghella parvient néanmoins à faire de ce film un bon moment de cinéma.
L'interprétation est irréprochable. Jude Law semble acquérir une maturité, Juliette Binoche s'approprie un accent de l'est, Robin Wright Penn joue la mélancolie et la lassitude de façon épatante. Les seconds rôles (à l'instar de Vera Farniga, la touche d'humour du film, et du jeune Rafi Gavron) sont irréprochables.