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    Par effraction
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    156 critiques spectateurs

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    cinono1
    cinono1

    302 abonnés 2 055 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 août 2015
    Un autre bide "commercial" mais une jolie réussite artistique. L'histoire de gens ressemblant beaucoup à des bobos et les problèmes qui demeurent malgré les réussites professionnelles. Cela pêche par la vraisemblance des situations mais le regretté Anthony Minghella a cherché à réaliser un film bavard, interrogatif, presque philosophique sur des faits de sociétés mais avec l'aide d'une réalisation sensible (belle lumière quelques plans abstraits et de bons interprètes). Ce film soulève les problèmes, c'est son essence et ce qui en fait son prix. Par Effraction est encore plus d'actualité aujourd'hui puisqu'il parle d'immigration, de mondes qui se rencontrent. et en parle intelligemment en variant les points de vues. Le thème principal est la compassion mais le film parvient à éviter les bons sentiments. Des scènes ratées aussi mais une vrai énergie.
    Henrico
    Henrico

    164 abonnés 1 327 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 octobre 2021
    Certes, les greffes liant la sombre histoire de cambriolage aux déchirements d’un couple, aux expériences problématiques d’une mère immigrée et de son fils, et d’une aventure extra- conjugale, sont faites à un rythme lancinant. Mais les rebondissement arrivent néanmoins. Ils sont d’autant plus intéressants que les personnages sont complexes et crédibles. En Outre, la narration ne manque pas d’un certain symbolisme social et poétique. Que ce soit « Breaking And Entering », « Retour à Cold Mountain », « Le Talentueux M. Ripley », ou « Le Patient anglais », Anthony Minghella fait toujours preuve d’une grande élégance dans sa technique et dans son propos.
    HamsterPsycho
    HamsterPsycho

    114 abonnés 1 182 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 septembre 2017
    Ce film n'est pas une bombe cinématographique, loin de là, et ne cherchez pas de comparaison avec Le Patient Anglais, du même réalisateur. Mais bon, je ne sais pas pourquoi, on a envie de savoir la fin quand même, juste comme ça.
    Cluny
    Cluny

    74 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 octobre 2012
    Il est des films pour lesquels la critique s'impose, enthousiaste ou dévastatrice, et d'autres qui laissent sinon indifférent, tout du moins sans véritable opinion. "Par effraction" fait indéniablement partie de la deuxième catégorie. Il y a de nombreux ingrédients pour séduire : de bons acteurs, un scénario bien ficelé, un indéniable savoir-faire dans la mise en scène. Alors, qu'est-ce qui laisse cette impression de fadeur à l'ensemble ?

    Peut-être justement ces qualités formelles, qui ne se joignent jamais pour emporter le récit dans quelque chose d'imprévu, dans une fêlure ou une obscurité qui nous entraînerait. Tout est trop dans le scénario : le couple de Liv et de Will est trop expliqué, un peu comme quand Hitchcock avait découvert la psychanalyse dans "La maison du Docteur Edwards". Will n'est pas le père de Bea, Bea fait payer à sa mère l'absence de son vrai père, Liv veut expier en se consacrant à sa fille, Liv exclut Will du cercle qu'elle forme avec Bea, CQFD !


    Même simplisme démonstratif sur le versant social : la pute au grand coeur, le Serbe machiste et maffieux, la mère courage version Sarjevo et le flic revenu de tout habitent une ville qui ressemble aux maquettes d'urbanisme de Will. Finalement, à part le tonton mafioso, tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil ; et il aut tenir deux heures avec ça... Alors, Anthony Minghella meuble avec ses variations sur le mensonge : le mensonge à soi-même de Will, le mensonge dans le couple Will-Liv, le mensonge dans la relation Will-Amira. Mais malgré la qualité du jeu des trois acteurs principaux, tout cela reste bien factice, et l'ennui s'installe progressivement.


    Ne surnagent que quelques scènes où s'expriment le charme et le talent de Jude Law, comme celles de sa planque dans la voiture au côté d'une travailleuse de la nuit hostile à la dialectique, ou celles de ses premières rencontres avec Juliette Binoche, avec toute l'ambiguité et la gêne d'une rencontre fortuite qui ne l'est pas. C'est peu, et en tout cas insuffisant pour faire de "Par effraction" autre chose qu'une belle mécanique brassant du vide.
    letrefou
    letrefou

    410 abonnés 117 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mars 2007
    Après le très beau "Retour à Cold Mountain", Anthony Minghella revient avec une oeuvre plus intimiste, avec un drame social "Par Effraction". Il s'entoure encore une fois de ses acteurs fétiches, Jude Law et Juliette Binoche.
    Ainsi, en ce qui concerne la mise en scène, elle est vraiment très belle. Il n'y a vraiment aucune prétention dans son film. Le début de ce film est filmé comme un vrai drame familial et c'est là où Anthony Minghella réussit le mieux son film. Le début est vraiment son point fort. Cependant, le film s'essouffle vers la fin pour tourner en mélo bien américain et c'est là où le réalisateur pêche vraiment. La fin est vraiment décevante et trop facile pour un réalisateur de cet acabit. Il nous a vraiment habitué à mieux en ce qui concerne le scénario, on a l'impression qu'il se perd un peu en voulant aborder trop de sujet à la fois.
    En revanche, là où Minghella excelle une fois de plus, c'est dans la direction d'acteurs. Son trio d'acteurs est tout simplement excellent. Jude Law montre encore une fois qu'il est vraiment le meilleur acteur britannique de sa génération. Il est fantastique et vraiment parfait dans ce rôle;, il est tout simplement excellent. Juliette Binoche est aussi très émouvante dans ce film et montre à quel point elle s'est impliqué dans ce film. Enfin, Robin Wright Penn, trop rare à l'écran, est magnifiqueet vraiment très juste. Vera Farmiga, en prostituée russe, confirme tout le bien qu'on pouvait penser d'elle après "Les Infiltrés".
    Ainsi, avec "Par Effraction", Anthony Minghella signe une oeuvre très juste servi par des acteurs d'une justesse étonnante mais qui aurait mérité un meilleur traitement en ce qui concerne la fin. Cependant, cela n'en reste pas moins un beau film.
    elisa2102
    elisa2102

    139 abonnés 1 484 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 février 2011
    Le duo Jude Law/Juliette Binoche fonctionne bien et le scénario est intéressant.
    Maxime P.
    Maxime P.

    66 abonnés 226 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 mars 2007
    « Par effraction » d’Anthony Minghella s’apparente au premier abord à une chronique sociale contemporaine qui oppose deux mondes qui vont se rencontrer. Tout d’abord celui des riches qui vivent confortablement sans se soucier des lendemains mais qui n’ont plus aucune once d’humanité et s’enfonce dans une routine existentielle fade et de l’autre côté, les pauvres vivant au jour le jour, qui à défaut d’être riche matériellement sont pourvus d’une richesse intérieure, d’un altruisme et démontrent sans cesse leurs sentiments. Une vision d’ensemble assez manichéenne de la société qui n’évite pas la facilité et les clichés mélodramatiques larmoyants. Néanmoins, le scénario qui met du temps à décoller, prend une tournure beaucoup plus nuancé au milieu du film (lors de la rencontre entre les deux modes de vie des deux personnages principaux) et Minghella démontre que la situation décrite au départ n’est pas aussi carré qu’on le pense. Et à ce moment la, le film n’est plus anecdotique mais dans une vérité cachée et réaliste des relations entre les différentes classes sociales actuelles. Malheureusement, ce nouveau point de vue n’est pas exploité jusqu’au bout et Minghella verse du côté d’une intrigue à tiroirs légèrement grotesque et compliqué. « Par Effraction » est donc un film assez brouillon, trop superficiel, qui reste trop souvent en surface sur son sujet, et cela malgré de remarquables interprètes, de bons dialogues et un milieu de film assez pertinent sur le sujet principal.
    justineg
    justineg

    59 abonnés 906 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 mai 2007
    Un bon film mais malheureusement un poil trop long, c'est le seul défaut que je puisse dire. Il nous raconte une histoire triste : la Vie. Des acteurs magistraux,des émotions intenses, saupoudré d'un peu d'humour et vous avez par effraction qui nous montre une réalité existante.
    ffred
    ffred

    1 702 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mars 2007
    Un sentiment mitigé à la sortie de ce film. Le problème est que plusieurs thématiques sont abordées et qu'aucune n'est vraiment traitée à fond : drame sociale, drame familial, histoire d'amour, délinquance, immigation...Au final cela fait un peu fourre-tout. L'évocation de deux mondes bien distincts qui essaient de se mélanger volontairement ou involontairement mais qui n'y arrivent pas, même si ces quelques moments vont, malgré tout changer leur vie. Anthony Minghella nous avait habitué à nous délecter de beaux mélos lyriques et romanesques (Le patient anglais, Cold mountain), des films d'époque et en costumes. Le retour au présent ne lui a pas forcement réussi.
    Passés outre ces quelques défauts, on est surtout pris par l'interprétation. Jude Law a rarement été aussi bon. Emprisonné dans un physique avantageux qui le dessert plutôt sur le plan artistique, il se sort à merveille de ce rôle prenant, entre un père de famille qui s'éloigne de sa femme et de sa fille autiste, ses problèmes de travail, et son histoire d'amour naissante avec Amira. Comme le dit le réalisateur "puni quelque part à cause de son physique. Les choses devraient être plus faciles pour lui en vieillissant, quand cette beauté brillante s'atténuera et laissera voir ce qu'il est vraiment. Sydney Pollack (producteur du film), mon associé, a travaillé huit ou neuf fois avec Robert Redford, et j'aimerais bien que Jude soit mon Redford. C'est un excellent acteur, complexe et particulier." Robin Wright Penn dans le rôle de sa femme, est excellente, juste, discrète, dommage qu'on ne la voit pas plus souvent à l'écran. Le jeune Rafi Gavron est aussi très bien alors que c'est son premier film. Naturellement celle qui irradie et illumine le film de sa présence c'est Juliette Binoche. Comme d'habitude, n'en déplaise aux grincheux, elle est parfaite, mais cela commence à devenir un pléonasme. Très touchée par le scénario, elle s'est beaucoup impliquée pour préparer son rôle. Un vrai bonheur. Trop rare !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 18 mars 2007
    Après nous avoir habitué à adapter des grandes fresques romantiques comme Le patient anglais ou Retour à Cold Moutain, le réalisateur Anthony Minghella change de registre en écrivant lui-même le scénario d’un film qui se passe à notre époque dans un quartier de Londres en pleine restructuration.. Will, un architecte (Jude Law ) connaît une période difficile avec sa femme (Robin Wright Penn) à cause des graves problèmes psychologiques de leur fille qui divise leur couple. En même temps sa société qui vient juste de s’installer est victime de plusieurs cambriolages mais Will en surveillant ses locaux, arrive à suivre puis à découvrir où habite un des jeunes cambrioleurs. Pour en savoir plus, il se débrouille alors à faire connaissance avec la mère Amira (Juliette Binoche) qui est une réfugiée bosniaque …dont il va tomber amoureux. Par effraction évoque donc la difficulté de réussir sa vie malgré les imprévus du destin. Et en montrant un homme talentueux pris entre 2 femmes qui arrive à comprendre deux mondes opposés (celui des privilégiés et celui des exclus), l’histoire arrive à être sensible et juste car elle ne stigmatise pas la complexité des personnages. Même si la fin est assez convenue, ce film reste quand même une belle leçon de tolérance. Seul reproche, il manque parfois de rythme.
    jaja77
    jaja77

    61 abonnés 1 326 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 mars 2007
    Un film simple à regarder sans originalité mais bien rélalisé.Un bon moment à passer.
    thalidae77
    thalidae77

    42 abonnés 757 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 avril 2009
    une romance assez sympathique, charmante mais qui traine en longueur et qui manque de rythme.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 14 mars 2007
    Anthony Minghella, le réalisateur de Le Patient Anglais aux neuf oscar, nous revient avec un nouveau film avec Juliette Binoche. Le casting de première classe de Par Effraction tient ses promesses. Tous les acteurs principaux font une prestation d'un très grand niveau. Trois acteurs se remarquent principalement. Juliette Binoche est lumineuse et magnifique, naturellement j'aurais envie de dire. En mère Serbo-croate immigré en Angleterre, elle joue son rôle à merveille. Jude Law, architecte vivant dans une relation à l'amour éteint est à sa place, crédible dans son rôle. Malheureusement, l'intérêt du film s'arrête au jeu des acteurs (principaux et secondaires).
    En effet, si on commence à regarder du coté du scénario ou de la réalisation, force est de constater que Par Effraction est d'une banalité affligeante. Aucune originalité dans ce scénario bateau, déjà vu de nombreuse fois. Tout est propre, bien fait, mais beaucoup trop académique. Anthony Minghella n'arrive pas à nous scotcher à notre siège. On laisse passer le film, sans franchement être captivé, mais sans s'ennuyer non plus. Par Effraction est un film qui se laisse regarder grâce à la performance des acteurs, mais certainement pas intéressant.
    rayonvert
    rayonvert

    22 abonnés 253 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 août 2009
    Le film ne vaut que pour l'interprétation de Robin Wright Penn qui est la seule à faire passer de l'émotion dans cette oeuvre ou la mise en scène est inexistante, le scénario des plus rotors et l'interprétation de Juliette Binoche avec l'accent des pays de l'est complètement ridicule.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 220 abonnés 7 513 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 janvier 2011
    A King’s Cross, dans un quartier de Londres rongée par des immigrés clandestins et des prostituées russes (l’adorable Vera Farmiga), un architecte (Jude Law) décide d’y installer son entreprise.
    Manque de bol, quelques jours plus tard, il se fera cambrioler. Au bout de la seconde fois, il décide de surveiller lui-même son entrepôt jusqu’au jour où il surprendra le malfaiteur qui n’est autre qu’un jeune garçon.
    Il le suit jusqu'à son domicile et fait la rencontre d’une femme à la fois fragile et courageuse, mais au passé douloureux, il s’agit d’une réfugiée bosniaque (Juliette Binoche).
    Lui, il est marié avec une femme dont il se délaisse inconsciemment. En effet, il se sent exclu de la relation qu’entretien sa femme (Robin Wright Penn) avec sa jeune fille autiste.
    Une vie de couple qui au fil du temps commence à partir en fumée, au moment où celui-ci commence à avoir quelques attirances pour la mère du jeune cambrioleur.
    Une relation tendue et compliquée s’installe entre eux, jusqu’au moment où la vérité remontra à la surface, et dévoilera leur relation aux yeux des autres.
    Avec un scénario pour le moins trop mielleux, des intrigues à « tire-larigot », avec quelques plans en free-running, Anthony Minghella nous emporte au gré d’une histoire romantico/dramatique et sociale où se côtoient des acteurs d’une grande justesse qui nous font rêver ou nous attendrissent. Après Retour à Cold Mountain (2004) et son talentueux Le Patient Anglais (1997), où Juliette Binoche avait décroché son Oscar de la Meilleur Actrice dans un second rôle, il nous revient avec un nouveau long-métrage à la fois touchant et intimiste ou se côtoient crises existentielles et autres coups de foudres.
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