Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
L'amour, la solitude, la transgression, l'intégrité, l'intégration, autant de thèmes irriguant une oeuvre pleine de souffle et de coeur, d'une profonde générosité.
Brazil
par Eric Coubard
Par effraction nous plonge dans les drames simples de la vie et cherche à éviter les jugements hâtifs.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Elle
par Florence Ben Sadoun
(...) un vol d'ordinateurs (...) va bouleverser la vie des trois personnages principaux du film de Minghella, qui évoluent dans des mondes aux frontières brouillées qui se frôlent sans jamais vraiment se toucher.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Télérama
par Juliette Bénabent
Anthony Minghella (...) filme le déniaisage à la fois amoureux et social de son personnage avec subtilité et émotion.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Emmanuel Burdeau
(...) beaucoup de bavardage, mais aussi beaucoup de prêche dans les silences, et de scénario dans les regards.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Cela finit par être un peu fourre-tout, limite mélo (...) La qualité des acteurs et des dialogues est pourtant indéniable, émouvante (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Le film prend de l'ampleur dans le drame intimiste, avec l'arrivée de Juliette Binoche impressionnante en exilée de Sarajevo.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Bayon
L'intrigue, amoureuse (...) et bosniaque (...), à résonances sociales imbriquées (...), se noue brillamment (...) Avant que l'édifice ne se fissure, en Pola X de la City...
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Guillaume Tion
Jude Law porte le film avec facilité, tout aussi crédible en riche quadra vivant un enfer domestique qu'en amoureux transi et irrationnel.
Metro
par Jérôme Vermelin
(...) joli triangle amoureux d'Anthony Minghella sur fond d'exil, physique et sentimental.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Paris Match
par Christine Haas
Bourré de symboles et de métaphores lourdingues, le film règle les problèmes avec un optimisme déconcertant, mais séduit grâce à ses comédiens (...)
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Gaël Golhen
(...) Minghella signe un mélo qui s'essoufle rapidement et vire à la léthargie.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
par Caroline Vié
Peu à l'aise avec la veine sociale, le mélodrame finit par se révéler trop touffu. Comme si le réalisateur était plus doué pour décrire les problèmes psychologiques d'une famille des beaux quartiers que les difficultés d'immigrés clandestins.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Après un Retour à Cold Moutain obèse et vacillant, le cinéaste voulait sans doute se refaire une santé en tâtant du social-contemporain. Mais ce retour à Londres, dans la grisaille déglingos où co-existent racailles acrobates et petits bobos découvrant la misère, sonne encore plus faux
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Parisien
par Alain Grasset
(...) un film banal et superficiel (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Alain Masson
Sur un scénario construit dans le souci de mettre en parallèle des situations, (...) la réalisation (...) ne parvient guère à organiser la moindre scène. Elle semble toujours pressée d'en venir à la suite.
La critique complète est disponible sur le site Positif
aVoir-aLire.com
par Marie Bernard
Lourdeur et morale douteuse au programme du nouveau Minghella.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
par Julien Gester
(...) L'on se surprend à scruter encore en vain, presque naïvement, la trace infime de quelque chose de finalement assez rare, que l'on pourrait appeler la mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
Entre la naïveté de telle attitude, la condescendance de tel propos et l'invraisemblance de tel comportement, il y a la surcharge d'un traitement qui navigue dans de multiples directions au point d'y égarer son unité et son identité.
Score
par Alex Masson
Une démonstration illustrée, sous couvert d'atermoiements pleurnichards et de sentimentalisme plein de condescendance, par un bien-pensant gluant qui anéantit jusqu'au potentiel glamour du couple Law/Binoche.
La critique complète est disponible sur le site Score
Le Figaroscope
L'amour, la solitude, la transgression, l'intégrité, l'intégration, autant de thèmes irriguant une oeuvre pleine de souffle et de coeur, d'une profonde générosité.
Brazil
Par effraction nous plonge dans les drames simples de la vie et cherche à éviter les jugements hâtifs.
Elle
(...) un vol d'ordinateurs (...) va bouleverser la vie des trois personnages principaux du film de Minghella, qui évoluent dans des mondes aux frontières brouillées qui se frôlent sans jamais vraiment se toucher.
Télérama
Anthony Minghella (...) filme le déniaisage à la fois amoureux et social de son personnage avec subtilité et émotion.
Cahiers du Cinéma
(...) beaucoup de bavardage, mais aussi beaucoup de prêche dans les silences, et de scénario dans les regards.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Journal du Dimanche
Cela finit par être un peu fourre-tout, limite mélo (...) La qualité des acteurs et des dialogues est pourtant indéniable, émouvante (...)
Le Monde
Le film prend de l'ampleur dans le drame intimiste, avec l'arrivée de Juliette Binoche impressionnante en exilée de Sarajevo.
Libération
L'intrigue, amoureuse (...) et bosniaque (...), à résonances sociales imbriquées (...), se noue brillamment (...) Avant que l'édifice ne se fissure, en Pola X de la City...
MCinéma.com
Jude Law porte le film avec facilité, tout aussi crédible en riche quadra vivant un enfer domestique qu'en amoureux transi et irrationnel.
Metro
(...) joli triangle amoureux d'Anthony Minghella sur fond d'exil, physique et sentimental.
Paris Match
Bourré de symboles et de métaphores lourdingues, le film règle les problèmes avec un optimisme déconcertant, mais séduit grâce à ses comédiens (...)
Première
(...) Minghella signe un mélo qui s'essoufle rapidement et vire à la léthargie.
20 Minutes
Peu à l'aise avec la veine sociale, le mélodrame finit par se révéler trop touffu. Comme si le réalisateur était plus doué pour décrire les problèmes psychologiques d'une famille des beaux quartiers que les difficultés d'immigrés clandestins.
Chronic'art.com
Après un Retour à Cold Moutain obèse et vacillant, le cinéaste voulait sans doute se refaire une santé en tâtant du social-contemporain. Mais ce retour à Londres, dans la grisaille déglingos où co-existent racailles acrobates et petits bobos découvrant la misère, sonne encore plus faux
Le Parisien
(...) un film banal et superficiel (...)
Positif
Sur un scénario construit dans le souci de mettre en parallèle des situations, (...) la réalisation (...) ne parvient guère à organiser la moindre scène. Elle semble toujours pressée d'en venir à la suite.
aVoir-aLire.com
Lourdeur et morale douteuse au programme du nouveau Minghella.
Les Inrockuptibles
(...) L'on se surprend à scruter encore en vain, presque naïvement, la trace infime de quelque chose de finalement assez rare, que l'on pourrait appeler la mise en scène.
Ouest France
Entre la naïveté de telle attitude, la condescendance de tel propos et l'invraisemblance de tel comportement, il y a la surcharge d'un traitement qui navigue dans de multiples directions au point d'y égarer son unité et son identité.
Score
Une démonstration illustrée, sous couvert d'atermoiements pleurnichards et de sentimentalisme plein de condescendance, par un bien-pensant gluant qui anéantit jusqu'au potentiel glamour du couple Law/Binoche.