Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
bibialien
37 abonnés
794 critiques
Suivre son activité
1,5
Publiée le 24 février 2014
Tout ça pour ça pfffffffffffffffffffffffffffff C'est pas une petite fille mais un petit garçon qui a disparu La fin est bien trop plat pour un scénario bien trop long
13 726 abonnés
12 426 critiques
Suivre son activité
1,0
Publiée le 4 octobre 2024
Sorti directement en DVD, ce thriller des annèes 2000 avec Samuel L. Jackson alias « le roi de la jungle » et Julianne Moore reçoit des critiques globalement nègatives! Pouvait-il en être autrement ? Ecrire cette histoire de tensions raciales et de bombe à retardement menèe par deux stars bancables du cinèma US a sans doute ètè pour Richard Price (le gènial scènariste de "The Color of Money" et "Sea of Love") un moyen de faire connaître son propre roman! Un sujet fort, mais desservi par une interprètation dèplaisante de Julianne Moore qui ne fait que chialer! Pas certain qu'elle ait jamais ètè franchement impliquèe pour jouer cette mère de famille dont le fils de quatre ans a ètè kidnappè! Le moins que l'on puisse dire c'est que ce personnage n'a pas ètè écrit pour être aimè! Une poussière d'ètoile malgrè tout pour Samuel L. Jackson en flicard dèchirè, seul point fort de ce très confus et ennuyeux DTV..
AU PAYS DES HABITUDES. A qui sert le crime? Le châtiment du je suis noir, je suis blanc. D'une banalité routinière, le crime ne paie pas et la couleur est terne. Une pauvreté scénaristique. Vite, à l'échafaud.
uen jeune femme est agressée, et sa voiture volée avec son fils de 4 ans à l'intérieur. Voilà la trame de départ de "la couleur du crime". Le coupable identifié dans une cité chaude et forcément noire (on est aux Etats Unis) va declencher un debut d'emeute. Samuel L Jackson en flic malade et bienveillant ne force pas son talent et Julian Moore en histérique totale est rapidement enervante. Le tout est insipide 1 / 5
Un navet direct to DVD entre drame et policier,où une jeune mère blanche accuse un noir d'être la cause de la disparition de sa fille.Malgré un pitch prétendument sulfureux,"La couleur du crime"(2005)empile les situations impossibles et la psychologie de bazar.Julianne Moore n'y croit pas une seconde,alors que Samuel L.Jackson utilise tous les tics de flic dont il est capable.A la benne.
Un scénario un peu simpliste, pour un film qui doit beaucoup à la solide interprétation de Jackson et Julia Moore.; L'opposition de la communauté noire à cette enquête en son sein, rend un climat assez oppressant. Un suspens efficace.
« La couleur du crime » propose une enquête policière tendue sur fond de tensions raciales, au cœur d'une petite ville Américaine. Un soir, une jeune femme blanche se fait voler sa voiture par un homme noir... mais son fils de 4 ans est resté endormi sur le siège arrière. Immédiatement, le plan de recherche est déclenché et le quartier noir de la ville est bouclé par la police. Plus le temps passe, plus les heurts entre les communautés se font violents, d'autant que les enquêteurs piétinent et se déchirent sans parvenir à retrouver le jeune garçon. Il faut bien reconnaître que l'intrigue sent le déjà vu et on devine très vite, presque dès le début en fait, où les scénaristes veulent nous emmener. Ceci dit, la présence de Julianne Moore et (surtout) de Samuel Jackson au casting aide nettement à faire passer la pilule. Leurs interprétations mêlées sont tellement justes qu'on garde le cap en attendant un final qui ne surprend malheureusement personne. On est donc très loin des meilleures productions du genre, mais ce petit thriller se révèle suffisamment divertissant pour passer un agréable dimanche après-midi. Ni plus, ni moins.
Le film a ses qualités, ses acteurs par exemple, mais il a le cul entre deux chaises. Il lorgne du côté de l'injustice entre les communautés noirs, et les blancs, principalement incarnés par la police; le côté ghetto, avec les petits trafiques, et de l'autre côté la répression. D'un autre côté, une disparition d'enfant, qui laisse à croire que c'est une personne de la communauté noir qui aurait fait le coup. Les esprits s'échauffent et on est pas loin de la guerre civil dans un quartier de la ville. Alors voilà, deux lignes parallèles qui sont exploitées dans ce film, le réalisateur n'a pas choisi de traiter l'une plus que l'autre, du coup il survole les deux et cela ne donne rien de bien profond. Quel dommage! Au lieu de cela, on suit S L.Jackson, tirailler entre sa communauté qui se fait maltraiter et l'empathie qu'il a pour la mère de l'enfant disparue. Et puis J.Moore, qui cri, qui pleure, qui hurle, qui est hystérique, mais qui jamais n'est vraiment crédible. Avec un partit pris plus fort, le film aurait été meilleur, là, on assiste à une série B qui ne sort pas du lot.
Durant sa carrière bien remplie en tant que producteur, Joe Roth s'est essayé de temps à autre à la réalisation et après quelques comédies mineures, il s'essaye en 2005 au film policier pour ce qui sera à l'heure d'aujourd'hui sa dernière tentative. Pour faire simple, il suffit de prendre "Gone Baby Gone" et de lui enlever toute substance pour obtenir ce triste "La couleur du crime". Le point de départ est pourtant bien accrocheur avec une intrigue qui s'installe progressivement et un climat de tension dans une cité majoritairement noire. Mais déjà, on sent qu'il y a un soucis avec Samuel L. Jackson qui surjoue totalement et part un peu dans tous les sens, puis les enjeux, ou plutôt les non-enjeux, se dévoilent et là c'est à ni rien comprendre ! L'intrigue ne ressemble plus à rien, tout le monde surjoue et les dialogues deviennent interminables et soporifiques. On ne comprend pas bien où le réalisateur a voulu nous emmener mais ce qui commence en critique acerbe finit en noeud de boudin avec à peu près autant d'interrogations qu'au début. En plus de devenir ennuyant, le métrage n'a plus rien à dire et perd tout quelconque intérêt. Un coup pour rien.
Parfois, je reproche aux films leur manque de rythme mais ici c'est pire, il n'y a aucun rythme, c'est l'encéphalogramme plat, c'est le néant absolu ! Le film est long, l'intrigue, plus que succincte et cousue de fil blanc, est étirée au maximum. On y voit bien sûr le communautarisme américain dans ce qu'il a de pire avec les blancs d'un côté et les noirs de l'autre. Chacun habitant dans son quartier et ne pouvant pas supporter l'autre. Dans le même style, en plus subtile , je vous invite à voir « Collision » (Crash) sorti en 2005 au Cinéma. A cela, s'ajoutent d'insupportables couplets sur Dieu spoiler: (« si votre fils qui a été enlevé meurt, ce n'est pas grave, ce sera seulement la volonté de Dieu de le rappeler auprès de lui ») . J'ai hâte de voir le documentaire « Jesus Camp », sorti cette année au Cinéma, pour comprendre comment ces américains-là sont endoctrinés. L'interprétation est, elle aussi, loin d'être à la hauteur avec un jeu sans finesse, tout en exagération. Ce n'est certainement pas le meilleur film de Julianne Moore ou de Samuel L. Jackson. Je comprends mieux maintenant, après visionnage, pourquoi « La Couleur du Crime » n'est pas sorti chez nous au Cinéma mais directement en DVD.
L’intrigue est intéressante mais dommage qu’elle ne soit pas exploiter jusqu’au bout. J’ai détesté le personnage de Julianne Moore et les explications de son geste à la salle d’interrogatoire paressaient interminables et détestables.
Quel est le but du film ? très vite on le comprend mais du coup c est vain . On tue l intérêt au bout d un quart d heure de projection et du coup on s en fiche complètement de l issue . Les personnages ne sont pas assez développés et je pense que Julianne Moore pourtant superbe actrice n est pas le bon choix pour ce rôle...on a du mal à croire à son personnage et le film est centré sur elle .
Chronique d'une violence ordinaire, d'un clivage racial, de personnes qui ne baissent pas les bras, tentant d'apporter un peu d'humanité dans un monde qui l'a oublié. La mort accidentelle d'un enfant déclenche chez sa mère un comportement entraînant une série d’évènements dramatiques qui s'enchaînent en cascade. Julianne Moore, émouvante de vérité dans un rôle douloureux, Samuel L. Jackson, un policier animé par une humanité acquise au travers d'un vécu de père culpabilisant. Deux personnages qui n’auraient jamais du se rencontrer. Le film débute avec le sentiment qu'il n'y a aucune issue, heureusement la fin laisse espérer que tout espoir est permis.