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I'm A Rocket Man
284 abonnés
3 113 critiques
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1,5
Publiée le 6 octobre 2018
Film qui commence très mal et qui finit très mal aussi !! Le milieu n'est pas terrible non plus avouons-le et au final on passe une bien mauvaise soirée !! C'est creux, agaçant, loufoque, pas réaliste et pas très drôle !! Les personnages de Vivienne et de sa mère sont irritants, Alex n'est pas en reste et moi je n'ai pas aimé du tout !! Pas un coup de coeur quoi !
Voilà un très joli petit film intimiste qui nous plonge dans une univers qui commence sombrement, mais qui s'enrichit durant tout le film par une certaine note de poésie, par beaucoup d'émotion et surtout par un scénario original, subtil et qui parle avec énormément de finesse de l'autisme. Un film sublime qui nous émerveille, nous émeut, et nous arrache le coeur. De plus, grâce à une mise en scène très simple, de magnifiques décors (les paysages enneigés s'avèrent un régal pour la rétine), un casting 4 éoiles et des prestations toute en pudeur, le spectateur passe un agréable moment devant ce film aypique. Félicitation aux trois acteurs préincipaux qui sont stuépfiants de sincérité et d'émotion, et mention spéciale à Sigourney Wether qui interprète avec brio le rôle d'une autirste, tandis que Alan Rickman joue avec beaucoup de retenue son rôle d'homme abattu qui retrouve la joie de vivre au contact de cette autiste et de la voisine (Carrie-Anne Moss). Un film qui mérite largement le coup d'oeil.
Le ton, l'atmosphère, se situent entre "Rainman" et "The horse whisperer", le héros meurtri qui se reconstitue en revivant, sous un angle inattendu, une épreuve. Comment peut grandir l'enfant d'un malade mental ? Quelles valeurs va-t-il privilégier ? Quels traits d'hérédité peuvent aider à aimer ces êtres différents ? Autant de questions... C'est assez "soft", grâce à la musique d'accompagnement, filmé de manière classique mais retenue juste ce qu'il faut, les acteurs ont beaucoup de charme, on évite le larmoiement au point que je me suis surprise à penser "heureux les fêlés" dans la cruauté des destinées, ils ont ce privilège de pouvoir se réfugier dans leur bulle !
13 706 abonnés
12 423 critiques
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1,5
Publiée le 25 juillet 2010
Drame sentimental ou Sigourney Weaver incarne une autiste face à Alan Rickman et Carrie-Anne Moss qui se contente ici de faire de la figuration! Malheureusement Sigourney Weaver n'est pas Dustin Hoffman! Elle incarne une autiste, mange de la neige et surtout cabotine à fond les ballons! En revanche Alan Rickman est remarquable dans ce film moyen qui s'appuie sur l'expèrience personnelle de la scènariste Angela Pell, dont le fils est autiste! Dommage que tout ceci manque cruellement d'èmotions, de rythme, d'ènergie dans la mise en scène de Mark Evans! Et ne parlons pas de quelques chansons mal employèes dans certaines scènes importantes, renforçant du coup les clichès! A noter que l'oeuvre regorge de petits dètails que reconnaitront instantanèment toutes les personnes confrontèes à l'autisme! Ni bon ni mauvais...
Voilà un petit film indépendant qui met en scène de grands acteurs. L'histoire d'une rencontre entre un homme, Alex, au regard triste, et une femme, Linda, autiste, qui vient de perdre sa fille, autostoppeuse, morte dans la voiture du monsieur. Le sujet du deuil et de la maladie aurait pu donner un film lourd et larmoyant... or le film qui nous est montré est léger et très tendre. Alex va se transformer au contact de Linda et des habitants de la petite ville enneigée, son visage va s'éclairer. C'est aussi l'occasion de retrouver des acteurs irréprochables: Alan Rickman tout en douleur contenue, Sigourney Weaver, sobre dans son interprétation et la très rare Carrie-Ann Moss aux antipodes de son rôle dans Matrix.
Un drame merveilleux, avec une histoire qui tient bien la route, quelques moments tristes, des interprétations magnifiques (Alan Rickman, dans un rôle si différent de ce qu'il fait d'habitude, a droit à mon coup de coeur). Un beau moment de tendresse, où on s'éloigne des préjugés et où on essaie de s'entraider et d'avancer.
Bof bof, franchement, c'est assez glauque et ennuyeux. Un homme qui sort de prison pour avoir tué le chauffard responsable de la mort de son fils, prend une autostoppeuse, qui meurt dans sa voiture à cause d'un autre chauffard qui passait par là. L'homme est secoué et va passer quelques jours chez la maman de l'autostoppeuse, qui se trouve être une femme autiste (mais pas trop quand même). Son truc à elle, c'est pas de compter les cure-dents qui tombent par terre, non, elle, elle aime manger la neige dans son jardin et faire du trampoline. En attendant l'enterrement, l'homme va faire quelques visites chez la jolie voisine pas farouche. Et donc notre homme reprend goût à la vie, forcément. Et repart dans le soleil couchant... Alan Rickman est vraiment déprimant, petits yeux chassieux et gueule à la Berléand quand il fait la gueule (c'est dire), pendant que Sigourney Weaver s'amuse avec ses dingoboules. Gentil mais cafardeux et long.
La grâce du film tient sur le fil ténu de son scénario, qui révèle peu à peu et aux moments opportuns, les failles et les zones dombre des personnages. Toute en délicatesse, la mise en scène frôle le mélo sans y tomber. Pas deffets ni demphase, juste le déroulement de lhistoire, simple et direct. Face à Sigourney Weaver qui en fait un peu beaucoup dans le rôle de lautiste (mais était-ce un bon choix de prendre linterprète archi-connue de la série Alien ? On sattend parfois à voir quelques tentacules, une mâchoire à grosses dents ), il fallait un miracle : cest Alan Rickman , confondant de fausse douceur, de tristesse et de charme mêlés. La douleur, le rejet, la différence sont les thèmes du film, et pourtant celui-ci nest pas larmoyant, bien au contraire : il y a plusieurs scènes où les faiblesses supposées des personnages sont source dhumour, sans quils soient tournés en ridicule. A posteriori, lensemble se révèle assez osé, car on imagine les tonnes de guimauve quun tel sujet aurait pu engendrer, et le doux bien-être qui sen dégage finalement est une jolie surprise. Les amateurs de poursuites en voiture et de fusillades peuvent léviter, ceux qui apprécient de voir comment les autres vivent et sen sortent avec la difficulté de lexistence, ceux-là seront comblés.
Un nouveau film indépendant passionnant sur nos écrans. Un de plus qui passe inaperçu alors qu'il recèle des trésors d'émotions simples et pures. Sans jamais s'apitoyer ou se laisser aller au pathos, Marc Evans filme des personnages décalés, tous marqués à des degrés divers par la vie. De ce concentré de souffrances humaines, il tire un film étonnament drôle et enlevé. Certes, l'ambiance est assez lourde, mais tous les événements tragiques sont vus par les yeux de personnages hors norme, leurs réactions sont généralement inattendues, d'où le rire. Au passage, le cinéaste se place du côté des marginaux et de ceux que la bonne société rejette d'ordinaire. Le tout est magnifiquement joué par une Sigourney Weaver sans maquillage et un Alan Rickman toujours parfait pour interpréter les anglais coincés. Un grand bravo, donc pour ce film frais et intellignet. Coup de chapeau pour le "snow cake" du titre - mais motus et bouche cousue.
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18 103 critiques
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1,5
Publiée le 23 juin 2021
Le problème c'est que ce n'est pas juste un film. C'est un film avec un message et le message est Everyman peut apprendre à accepter les autistes tant qu'il ne sont pas à côté de lui ou quelque chose comme ça. Objections spécifiques la petite fille qui j'en suis sûr était écrite pour être loufoque et adorable était en réalité juste irritante. L'homme qui cherche la rédemption et se trouve lui-même est vieux. L'homme qui couche avec quelqu'un cela peut être interprété mais au moment où cela se produit nous avons tellement dépassé cette histoire que vous sommes heureux. Ce n'est pas le cas de la femme en question qui ne se sent pas très offensée et qui le jette dehors. Enfin il y a une terrible terrible scène de rédemption comment puis-je la décrire sans rien dévoiler. Disons que vous avez un chien de compagnie qu'un parfait inconnu promène votre chien et qu'à un moment donné du voyage il le fait passer sous un bus. Le chauffeur de bus se présente chez vous et le type qui promenait le chien lui pardonne. Une étoile et demi seulement parce que j'aime la scène d'ouverture dans l'avion...