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Un visiteur
0,5
Publiée le 29 septembre 2006
Bruce willis nous ressert pour la enième fois son personnage de flic depressif à la gueule de bois au bord de l'alcoolisme(IL est vrai qu'il sait pas faire grand chose d'autre).Mos Def est soulant à mort, il parle pour rien dire tout le long du film, et m'a donné l'impression de jouer un role d'autiste(enfin,pour remplacer Dustin Hoffman dans Rain Man c'est pas gagné tout de même).Le seul veritable acteur est David Morse mais vu les forces en presence, il se contente de faire le minimum syndical.Le tout,est orchestré par Richard Donner qui nous habitué à beaucoup mieux et qui semble très fatigué dans ce film.En quelques mots, un film à eviter absolument.
Trop, trop classique. Ce genre de film appartient au passé. Bruce Willis dans son éternel rôle de flic alcolo, c'est périmé. Même si cette fois, il troque son marcel contre des bourrelets et des cheveux gras, ce qui est innovant, ça ne prend plus. Quant à Mos Def dans un rôle de gentil méchant, et David Morse dans un rôle de méchant gentil, pas mieux. Il n'y a pas d'erreur dans ce film, dont le genre a eu son heure de gloire il y a 20 ans. Deux étoiles donc, l'équivalent d'un dix sur vingt. Pas plus. Juste bon pour un dimanche soir à la télé.
16 Blocs, c'est un policier basique dans la lignée de Die Hard (Une journée en enfer) mais la classe en moins. Non pas que le film est ennuyant ou mauvais, mais il fait le strict minimum, c'est à dire divertir le public mais sans cette petite étincelle qui fait la marque des grands films. Bruce Willis est toujours au top en flics en fin de carrière et Mos Def est pas mauvais, mais sa voix Francaise est catastrophique, elle est criarde et on a qu'une seule envie, qui la ferme.
Beaucoup de bobines pour pas grand chose. L'idée de départ était pas mauvaise pourtant mais ça tourne un peu dans le vent... Surtout que pour une fois, l'action principale arrive assez vite mais après... On s'ennuie un peu. Et puis arrive la fin, pas mal du tout par contre. Donc 2 étoiles pour le début, la fin et puis le plaisir de retrouver Bruce Willis que j'adore et je commence à adorer aussi ce petit nouveau Mos Def que j'avais découvert dans "Braquage à l'italienne" et que j'avais revu avec plaisir dans "The Woodsman". Mais bon, le film en lui même est assez creux.
J'adore Bruce Willis en beau flic cynique, mais en vieux flic alcoolo fatigué il me plaît moins : durant la première partie crispante du film on se demande si c'est bien lui le héros et s'il ne va pas calancher au bout de 20 minutes. Heureusement, il sait faire passer les émotions malgré ses yeux rougis et le brave gars qu'il tente de protèger aussi, ce qui donne une certaine chaleur au coeur de ce thriller du type "les gentils vont-ils échapper à la coalition de méchants?".La voix du "témoin" est assez pénible en VO.N'y allez que si vous n'êtes pas blasé, ça se laisse bien voir.
On se souvient avoir abordé à l'époque cet improbable "16 Blocs" comme une relique peu ragoûtante : Richard Donner (réalisateur "mou" qui ne nous avait jamais vraiment convaincus) filmait Bruce Willis (qui paraissait à bout de souffle et comptait à tort sur ce film pour relancer une nouvelle fois sa carrière ) sur un scénario aux fortes réminiscences des films les plus "bourrins" des années 80-90 ! Et puis on doit bien avouer qu'on s'était pris au jeu, sans doute parce que, tout en avançant sur les rails bien huilés d'une histoire de flics ripoux vraiment trop conventionnelle, les acteurs se donnaient à fond, et surtout dans un premier degré tellement reposant pour les spectateurs essorés par tant de films de "petits malins" : Willis, épuisé, était toujours très bien, ce qui ne devrait pas nous surprendre, et Mos Def réussisait même à émouvoir en loser bavard en voie (risquée) de reconversion (même si l'on pouvait trouver rapidement son ton de voix des plus énervants !). Une seconde vision, en 2013, ramène les choses à leur juste place : le véritable drame de "16 Blocs", c'est la mise en scène de Donner, qui échoue complètement à reproduire la passionnante topographie du centre de Manhattan qui sert de terrain de jeu à nos protagonistes, et donc à matérialiser le stress lié à une progression difficile et à une lutte contre le temps : les ennemis apparaissent et disparaissent sans logique physique, et le suspense est rapidement désamorcé puisque le spectateur se sent manipulé en permanence. Le petit coup de théâtre scénaristique final n'est pas bête, mais il est terriblement mal amené et mal filmé, et finit par tomber à plat, à un moment où réalisateur et scénariste ont déjà décidé de jouer à fond la corde des bons sentiments larmoyants. Dommage !
S'il on met de coté l'aspect plutot convenu et, parait-il, déjà vu de l'intrigue (je ne sais pas, je ne vais pas souvent au ciné!) que retient-on du film? Une histoire qui tient la route, des acteurs qui s'impliquent visiblement dans leur rôle, avec réussite, et enfin une mise en scène au poil. Voilà pour moi les principaux ingrédients d'un bon film, et je classerai 16 blocs parmi ceux-là. Mentions spéciales à David Morse, qui a du dépensé la moitié du budget en chewing-gum, à bruce willis qui a supporté une pierre dans sa chaussure pendant tout le tournage (véridique!) et à mos def et ses gâteaux d'anniversaire!
Bruce Willis est de retour ! Après lexcellent Otage, lacteur revient alcoolique, bedonnant, désabusé, déprimé, fatigué et toujours pince sans rire pour notre plus grand plaisir. Quand on va voir un film de Bruce Willis on ne peut sempêcher de penser à lépoque Die Hard, où lacteur enchaînait les succès. Jai grandi avec les films de Bruce Willis et le revoir sur le grand écran est toujours synonyme pour moi de spectacle assuré. Dans 16 blocs », Willis met la raclée aux flics ripoux. Le metteur en scène nest autre que le génial Richard Donner, spécialiste de laction, du suspense et du divertissement. Donner connaît son affaire. Certes lintrigue est classique mais la mise en scène, linterprétation, la musique (on a parfois limpression dentendre les accords de guitare de Lethal Weapon) contribuent à faire de ce film un très bon divertissement. Javais quelques réticences sur le choix de Mos Def qui ménervait beaucoup au début et puis on se prend daffection pour son personnage. David Morse, toujours second rôle mais aussi toujours impeccable apporte beaucoup de présence. On ne peut sempêcher de penser à The Gauntlet de Clint Eastwood : un flic aimant lalcool se voit charger descorter un prisonnier au tribunal où il doit livrer un témoignage crucial, le parcours semé dembûches, les flics ripoux qui leur cavalent après, le bus « kamikaze » Une sorte de remake non avoué qui pouvait faire peur au début mais cétait sans compter le professionnalisme de Richard Donner, qui nous livre un film daction qui sait laisser la place aux sentiments humains et à lambiguïté des rapports entre les personnages. Bruce Willis incarne lantithèse de John McClane, le visage blafard, le ventre en avant avec toujours autant, si ce nest plus, de charisme. Le fait de jouer à lantihéros semble lamuser et nous aussi. Du cinéma classique qui existe encore et heureusement face aux blockbusters à effets spéciaux. Un film musclé concocté par le grand spécialiste Richard Donner.
L'un des meilleurs Bruce Willis. Ce Buddy Movie est fantatique. Pourquoi ? Parce qu'on ne s'ennuie pas une seconde avec ce flic rongé interprêté par Bruce Willis accompagné par un Mos Def en piailleur de service. Le film est prenant et surprenant grace à un scenario habile, une réalisation efficace et un casting parfait ! Vous aimez rester scotcher à votre écran ? Foncez !
16 blocs reste une surprise quant à la qualité de l'interprétation des acteurs et a la réalisation, en passant par les dialogues. Bruce Willis est transcendant dans ce role de flic alcoolique qui n'attend plus rien de la vie. Il démontre une fois de plus qu'il peut etre excellent dans des films moins "spectaculaires". Dommage que le réseau de distibution du film ne soit pas à la hauteur de celui-ci. A voir sans hésiter.
A l'image d'Otage, film sabordé par la critique presse, 16 Blocs ne reçut aucun éloge ! Au plaisir du spectateur, qui, s'il est malin, à quand meme été voir ce film, et n'a pû être que positivement surpris ! dans 16 Blocs, Bruce Willis est encore un flic, et est encore dans une pente savonneuse. Mos Def (Eddie) est un temoin dans une affaire de flics pourris. Tous les deux vont devenir amis dans une situation perilleuse les opposant aux collègues de Jack Mosley (Willis). Au début, on s'ennuit légèrement, mais c'est pour mieux surprendre le spectateur au niveau du premier quart d'heure, chapeau bas au réalisateur Richard Donner, qui signe un ecellent retour depuis Les Armes Fatales.
Un tres bon film. Bruce willis joue toujours aussi bien ce genre de role, Mos def met un pointe d'humour, et l'histoire est excellente. Le tout est assez émouvant: j'ai beaucoup aimé. a voir !