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    Fauteuils d'orchestre
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    360 critiques spectateurs

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    Marc G
    Marc G

    4 abonnés 114 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 avril 2015
    Encore un film franchouillard bien plaisant... je parle comme ça peut-être parce que je suis
    suisse romand, les français sont comme des cousins pour nous et pour toute la francophonie...

    Un film qui a 10 ans et déjà la on sent un brin de nostalgie dans ce film là , cette France des Cafés à l'ancienne (à la bonne franquette) qui ne sacrifiait pas la qualité pour faire du surgelé - dégelé.
    Bon c'est vrai que dans le film on est plutôt dans les très beaux quartiers parisiens.
    Cécile de France y joue une provinciale désargentée et y est comme un poisson dans l'eau , un peu comme une Amélie Poulain light version moderne servant du Perrier...
    Lemercier cours après la respectabilité critique et en a la nausée de la masse populaire.
    Claude Brasseur fait les comptes d'une vie de collectionneur (je suis content de le voir dans un contexte assez moderne).
    Dupontel tombe la chemise corsetée et cours habillé comme Stallone dans Rocky 1.
    Le rôle de Dani est fait comme du sur mesure, il n'y a pourtant pas de tailleurs de Paname à l'horizon...
    Enfin le grand Sydney Pollack fait bien qu'un caméo ici, ça se sent qu'il a du prendre beaucoup de plaisir sur ce tournage au charme "si français"...
    Et puis la musique...les américains amoureux de la France adoreront (et les z'autres risquent aussi :)
    Eselce
    Eselce

    1 420 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 janvier 2015
    Je n'ai trouvé aucun intérêt aux personnages, ni au scénario. Tous semblent s'ennuyer et nous le communiquent. Le seul passage que je retiens : Lorsqu'Albert Dupontel s'arrête en plein concert pour dire qu'il a chaud. J'ai bien aimé ce passage. Le reste est à jeter. Valérie Lemercier est odieuse, Cécile de France extrêmement gamine. Bref, l'ennui en images.
    ferdinand75
    ferdinand75

    564 abonnés 3 898 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 octobre 2014
    Un film plutôt réussi de Danièle Thompson , qui se perd parfois dans ses films chorales. C'est en effet un exercice difficle , que de garder un fil conducteur tout en voulant décrire beaucoup de personnages. Mais ici c'est Cecile de France, qui sert de fil conducteur , au travers de son destin de jeune provinciale montée à Paris. Elle joue avec beaucoup de légéreté et de fraîcheur, tout en étant très juste. Le scénario est cette fois-ci assez solide , et assez vraisemblable , donc tout cela fait un bon spectacle.
    willycopresto
    willycopresto

    134 abonnés 1 354 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 octobre 2014
    Ce film a été à juste titre dédicacé à Suzanne Flon, une très grande dame du cinéma à la voix chaude et inimitable, et qui a joué avec tellement de tendresse dans "fauteuils d'orchestre" le dernier des 63 rôles de sa vie, sans compter ceux du théâtre.
    C'était en 2005. Mais sa présence dans ce casting n'est qu'un des exemples d'une distribution qui ne pouvait conduire qu'au succès. Cécile de France est adorable dans son rôle de provinciale débarquée à Paris et découvrant grâce à son métier de serveuse de brasserie les personnages les plus divers. Et Dupontel est lui aussi très crédible et superbe dans son rôle de grand pianiste dont le costume finit par lui peser trop lourd sur les épaules. Lorsqu'on est vraiment musicien, on s'aperçoit que c'est vraiment le comédien qui joue réellement dans certains passages : avec beaucoup de conscience professionnelle, il a pris des cours à cet effet ! Les artistes ont à leur disposition un scénario bien construit, une réalisation parfois inutilement compliquée (scènes croisées rapidement) mais le film est divertissant : Valérie Lemercier y ajoute sa touche d'un humour qui lui va si bien ! Une réussite au niveau de la fréquentation en salles malgré des critiques pas toujours tendres...J'ai bien aimé !
    willycopresto
    angela B
    angela B

    26 abonnés 158 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 mai 2014
    Bon petit film qui m'a enjouée, Cécile de France pétille d'énergie, elle est très à l'aise et c'est une belle histoire qui transporte, parle de transmission, d'affects, du choix d'un métier, de la façon d'être pour parvenir à ses conquêtes professionnelles, excellent!
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 200 abonnés 4 185 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 mai 2014
    Encore une bluette française. Ici on nous ressert Amélie Poulain non plus à Montmartre mais avenue Montaigne dans le triangle magique des trois théâtres. Danièle Thompson prouve qu’elle a du métier et qu’elle n’a pas travaillé longtemps à côté de son père pour rien. La petite Cécile de France qui est l’actrice qui monte nous apporte toute sa fraîcheur . Dans ce film chorale (encore une mode !) on suit avec intérêt le sort de trois personnages dont le fil commun sera la petite provinciale montée à Paris sur les conseils de sa grand-mère (la toujours sublime Suzanne Flon dans son dernier rôle) . Avec son culot elle se fera engager dans le café des théâtres et sera ainsi au centre de la vie du quartier animé par les fameux théâtres en question. Tout le monde joue parfaitement sa partition de Dupontel à Brasseur en passant par Lemercier et Dani. Non vraiment rien à jeter ici même si cette débauche de bons sentiments finit par être agaçante à force de nous faire croire que tous ces gens « arrivés » sont capables des gestes les plus nobles ou désintéressés n’hésitant pas à venir en aide à la belle Cécile. Dans ces temps où l’ascenseur social est en panne comme on dit, chacun sait que c’est faux. Mais après tout il est bon aussi de rêver à un monde meilleur.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 août 2014
    Bon exemple des points forts du cinéma français, ce film nous emmène faire une balade dans Paris modeste mais élégante, simple mais efficace, intimiste mais ouverte à tous ceux qui sont sensibles au charme d'acteurs qui jouent sans prétention, naturellement et pleinement. Même si il n'est pas très intellectuel, ni très palpitant, il nous invite à prendre le temps, à nous laisser enchanter par des personnages vrais, à nous installer dans un décor banal, à écouter des dialogues sans inventivités dans le but d'y redécouvrir les grandes peurs et les petites douceurs de la vie quotidienne.
    Hotinhere
    Hotinhere

    570 abonnés 4 995 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 janvier 2014
    Film choral sympathique mais assez inégal dans l’ensemble, rehaussé par quelques scènes excellentes, comme l’irrésistible tête à tête entre la magique et césarisée Valérie Lemercier et Sydney Pollack.
    David M
    David M

    9 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 septembre 2013
    je me suis bien ennuyer avec ce film. D'ailleur ma femme n'a pas tenu jusqu'à la fin...
    un film avec un scénario bidon, voir inexistant.
    Le jeu d'acteur est plutot bon, surtout pour Valérie Lemercie. Mais Dupontel en pianiste ca fait bizarre !
    weezlesanguinaire
    weezlesanguinaire

    74 abonnés 457 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 juin 2013
    Un film très très très très chiant voire ennuyeux a en mourir enfin bref un film français quoi ...
    Cluny
    Cluny

    78 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 octobre 2012
    Jessica est une «brave» fille de Mâcon, petite-fille aimante de sa mamie un peu gâteuse (Suzanne Flon dans son dernier rôle) qui rabâche dans sa maison de retraite les souvenirs de sa vie de petite main du monde du luxe parisien. Au culot, Jessica se fait embaucher dans le VIII° arrondissement comme extra au Bar des Théâtres, en face d’une salle de concert où Jean-François Lefort doit donner un concert, d’un théâtre où Catherine Versen prépare la première de «Ne t’promène donc pas toute nue» et d’une salle des ventes ou Jacques Grumberg s’apprête à vendre la collection d’art de toute sa vie, et tout ça le même soir à la même heure.

    Candide au milieu de ce que Frédéric Grumberg dit ne pas être un quartier, Jessica va servir de révélateur et de lien entre tous ces personnages en crise. Lefort n’en peut plus de donner des récitals devant un public privilégié, rêve de jouer dans les hôpitaux et les prisons, et met en danger son couple avec Valentine qui lui sert d’agent. Lemercier triomphe à la télévision dans un soap, s’embrouille avec le metteur en scène de la pièce qui n’est autre que son ex ayant en plus choisi leur fille comme assistante, et rêve de tourner avec Sobinski le rôle de Simone de Beauvoir.

    Grumnerg quant à lui, refait sa vie avec un mannequin de quarante ans sa cadette, se dispute avec son fils universitaire mais cache aux deux son cancer. A cela s’ajoute d’autres personnages : le tenancier du café, perpétuellement sur les nerfs, et la concierge de la salle de concert, ancienne de l’Olympia qui s’apprête à partir à la retraite.

    La mode est aux films chorals. Depuis «Short Cut», le cinéma, et particulièrement le cinéma français, aime à filmer ces histoires qui s’entrechoquent au rythme de ces personnages qui s’entrecroisent. Dans le genre, «Fauteuils d’orchestre» est plutôt réussi, grâce au choix de cette unité de lieu entre ces trois salles publiques et le café qui leur sert de base arrière.

    Les personnages sont assez convenus et prévisibles (le virtuose forcément en plein doute, la comédienne de boulevard qui aspire au cinéma scorsesien, le veuf inconsolable qui se console comme il peut) ; mais la place accordée à Jessica, Bécassine futée qui aide ces personnages à tomber les masques est une idée qui fonctionne bien, et chacun des acteurs donne de la consistance à son personnage (avec peut-être une mention spéciale à Dupontel et à Dani).

    La réalisation est portée par la structure de l’histoire, avec un montage parallèle entre les trois actions simultanées. Certes, il n’y a pas de plans à faire pâmer un étudiant de la FEMIS, mais de bons vieux plans avec une bonne caméra posée sur pied ou sur dolly et non portée à l’épaule par un cadreur parkinsonien, ça fait du bien de temps en temps. Quant aux happy ends multiples, d’autant plus artificiels qu’ils s’enchaînent miraculeusement, ils font partie de la loi du genre, et doivent être indispensables au large public visé par ce film. Mais ne boudons pas notre plaisir : on n’est pas non plus condamné à aborder le sida et la torture tous les samedis soir !

    http://www.critiquesclunysiennes.com/
    Leonblum I
    Leonblum I

    9 abonnés 99 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 octobre 2012
    Des acteurs talentueux. Pas d'intrigue. Des états d'âmes des portraits balzaciens qui s'entrecroisent :
    la jeune Nancéienne qui veut réussir à Paris, le pianiste qui veut sortir de la société conformiste, le vieux viveur qui se débarrasse de la collection de toute une vie (et refait sa vie avec une femme plus jeune - sait-il qu'elle fut la maîtresse de son fils ?), l'actrice qui veut quitter le téléfilm et les planches pour Le vrai film (la bio de Sartre et Beauvoir), la gardienne qui a gardé tous les disques et objets concernant les artistes de variété des années 1970 et 1980.
    Quelques passages clé :
    39e minute.
    65e minute : le pianiste joue gracieusement pour les malades de l'hôpital
    72e minute : les hommes se rassemblent et se confient leurs soucis ; les femmes se rassemblent et se confient leurs soucis
    98e minute : le pianiste, en plein concert, s'arrête pour jeter à bas son costume réducteur. Et finit le concerto en maillot de corps sous les applaudissements du public.
    Il avait annoncé son anticonformisme au début du film : "je crois en Dieu, mais aussi que les religions sont une barrière entre Dieu et les hommes."
    De bons acteurs et un chassé-croisé balzacien, mais on aurait voulu plus d'intrigue ou similaire...

    *** ah ! J'oubliais. La bande-son du pianiste est G E N I A L E.
    Abarai
    Abarai

    139 abonnés 1 507 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 septembre 2012
    Un film sans gros enjeu dramatique, mais terriblement bien interprété et amusant.
    Fauteuils d'orchestre s'apparente à un film chorale, avec ses personnages qui vont se croiser et se lier.
    Un bon petit plongeon dans le milieu de la bourgeoisie parisienne, avec son café, son théâtre, sa salle de concert.
    Un joli film, qui sort de la fioriture de comédies françaises habituelles.
    Flotibo
    Flotibo

    57 abonnés 1 441 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 août 2012
    Danièle Thompson nous livre un petit film chorale bien sympathique. Une belle brochette d’acteurs nous fait découvrir leur quotidien dans le milieu artistique parisien avec beaucoup de justesse. Même si la réalisation reste très classique, mais sans fausses notes, on passe vraiment un moment agréable de cinéma.
    Flibustier
    Flibustier

    3 abonnés 122 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 septembre 2012
    Une très belle plongée au milieu de la bourgeoisie d'artistes parisiens. Où chacun est enfermé dans la case qu'on leur a octroyé et d'où chacun d'eux veulent s'en libérer. Un réalisation très bonne mené par une ribambelle d'acteurs tous aussi doué les uns que les autres. On passe un bon moment.
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