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Un visiteur
2,5
Publiée le 29 septembre 2006
Je m'attendais à un film un peu grinçant, et j'ai découvert un film... très gentil (ce n'est pas une critique) avec une brochette d'acteurs tous très convaincants chacun dans leur style. A part peut-être Cécile de France qui donne lm'impression de surjouer un peu trop cete provinciale un peu naive, et très positive.
Ce film est tout simpleent génial. les acteurs sont très bon, jouent très juste. les dialogues sont très bons. On ne s'ennuie pas une minute et j'ai pas vu arriver la fin. Courez vite le voir. Si il n'a pas de césar l'année prochaine c'est à désesperer des césars. Mentions spéciales à Cécile de France, Albert Dupontel et Claude Brasseur.
Le film lorgne vaguement sur le succès d'Amélie Poulain, avec les aventures d'une jeune fille au sourire charmant dans un Paris caricatural, cette foi du spectacle et du luxe. Cette fille, qui a une gentille grand mère pour bien faire, est confrontée à trois groupe de personnages issus de ces milieux, une actrice de théâtre et un metteur en scène renommé, un pianiste et sa femme, un marchand d'art et son fils, avec lequel elle a une liaison. Le film s'arrète sur chacun des groupes, mais il faut reconnaître que si le personnage de Valérie Lemercier est intéressant, déchainé, ceux interprétés par Albert Dupontel (peu convainquant) et Claude Brasseur sont plus conventionels. Finalement, on retiendra principalement la fraîcheur de Cécile de France, qui joue cependant un peu trop de son sourire, et le numéro de Valérie Lemercier. C'est trop peu.
Comédie chorale sur le thème archi-rabaché du carpe diem, avec un petit supplément d'âme tout de même, et une belle fantaisie. Si seulement le film ne se laissait aller à tant de mièvreries, notamment à travers le personnage campé par Cécile de France. A l'inverse on saluera, encore une fois, l'interprétation magistrale et drolatique de Valérie Lemercier, en actrice de télé névrosée. Ainsi que celle d'Albert Dupontel en concertiste corseté au velléités d'affranchissement. Par moments, ce film vous donne envie d'aller voir ce qu'il se passe ailleurs. C'est déjà pas mal!
Un film comme on devrait plus en voir. Ce long-métrage de Daniéle Thompson est un bijou français. Eclairant Paris sous un jour lumineux, "Fauteuils d'orchestres" montre des rencontres de personnages différents. On aime ce film parce qu'il nous montre la vie de personnes simples qui sont encerlés par la complexité et qui préférent se noyer dans la simplicité. Et c'est efficace. Débordant d'amour ( avec l'aide de la merveilleuse Cécile De France et la tendre Suzanne Flon ), le film nous enivre de bonheur et l'on ressort béhat de la beauté du film. Tout le casting, sans exception, nous scotche au visage un sourire rempli d'humanité. On vit avec les personnages leurs émotions et l'on se perd dans l'onirisme émanant du film. Ce film est une pomade au coeur et se conseille pour tout les anxieux et les malheureux. Meilleur qu'un médoc pour la forme, "Fauteuils d'orchestre" est le modéle du film chorale qui mérite d'être vu et revu. A voir ! Tout le monde, sans exception !
Cette comédie prétentieuse est faite par des parisiens pour des parisiens. Si les discussions pseudo-philosophiques de comptoir et les états d'âmes de bourgeois dépressifs vous amusent, ce film est parfait pour vous, sinon passez votre chemin. On notera au passage la promiscuité étrange de ce petit quartier ou les 4 ou 5 personnages principaux ne peuvent sortir de chez eux sans se croiser, comme par hasard... Je mets quand même deux étoiles, une pour la radieuse Valérie Lemercier, qui interprète le personnage comique du film et permet au spéctateur de ne pas s'endormir complètement. Ma deuxième étoile va à la regrettée Suzanne Flon, que je trouve, comme d'habitude, très touchante. Paix à son âme...
Quand une jeune provinciale un peu candide débarque à Paris, se fait embaucher comme serveuse dans une brasserie où se cotoient une actrice de télé populaire, un collectionneur vieillisant et un virtuose du piano..... Voilà en gros le thème du nouveau film de Danièle Thompson.
Certes c'est un peu téléphoné, facile et improbable, mais néanmoins, on prend plaisir à suivre les quelques heures de la vie de ces différentes personnes. Le film évolue dans différents registres: il est émouvant, drôle, mièvre mais aussi nostalgique. On retient l'interprétation géniale de Valérie Lemercier, le charisme de Claude Brasseur et les sourires de Suzanne Flon.
On sort heureux de ce film, que demander plus ? 4 étoiles pour la fraîcheur et le sourire de Cécile de France, le jeu tout en finesse des comédiens, avec une mention particulière pour Valérie Lemercier, excellente comme dhabitude, et un hommage mérité à Suzanne Flon, dont ce fut la dernière apparition à lécran et à qui « Fauteuils dOrchestre » est dédié. Bien plus profond quil ny paraît, ce film est une belle leçon damour et despoir servie par des dialogues forts et percutants. A ne pas manquer.
Divertissant, touchant, drôle, émouvant, sans prétention, "Fauteuils d'orchestre" réussit son pari. Les comédiens sont sincères, Cécile de France colle au portrait que fait sa grand-mère, c'est un vrai rayon de soleil. Et c'est l'occasion de revoir une dernière fois la divine Suzanne Flon. A voir, vraiment.
Impressions contrastées pour ce film que je vous conseille de voir. Les bémols, dabord : Cécile de France, que javais beaucoup admirée dans « La confiance règne » et « Les poupées russes » ma un peu agacée en forçant le trait dans laccent populo et la nunucherie. Dani avec son walkman vissé sur les oreilles ma énervée. Le partipris du montage du film comme un perpétuel zapping volontairement frustrant ma paru artificiel. Jai souvent trouvé les situations convenues et dun parisianisme désolant. Entre autres la trouvaille ô combien originale dattribuer au vieux collectionneur une maîtresse qui fut celle de son fils et qui pourrait être sa fille, puis de la faire qualifier de pute à plusieurs reprises. Elégant de la part dune réalisatrice Les points forts maintenant : Suzanne Flon nous arrache des larmes dans son dernier rôle. Valérie Lemercier, des rires, dans une extraordinaire scène en franglais face à Sydney Pollack, puis détournant à son profit la pièce de Feydeau en dévoilant sa vérité sous le chapeau. Chapeau que je lève bien haut dans une ovation personnelle à Albert Dupontel qui se dépouille symboliquement du superflu et retrouve lêtre, dans une scène choc qui estomaque le public plutôt blasé du Théâtre des Champs Elysées . Le personnage du pianiste, inspiré par François-René Duchâble, nous transporte. Le concerto n° 5, « lEmpereur », de Beethoven, semble venir de lau-delà. Le regard du pianiste, qui préfère jouer pour les enfants malades que dans une salle de concert, brûle de passion. Les superlatifs seraient trop faibles pour saluer la performance de Dupontel, qui, en vieillissant, devient de plus en plus beau. Il crève lécran, est remarquablement dirigé par la réalisatrice qui lui fait transcender son goût habituel pour labsurde. Lemercier et Dupontel : deux atouts majeurs qui valent à eux seuls le déplacement, vous allez les adorer!
Rafraîchissante comme une bouteille d'eau en pleine canicule (!), Cécile De France nous emmene dans l'univers "du luxe" où tout n'est pas forcément rose comme quoi celébrité et argent ne rime pas forcement avec bonheur! On sourit, on rit, on s'emeut pour tous ces personnages. Les dialogues font mouche, les acteurs ont pris un certain plaisir à jouer dans ce film et ça se voit. La musique du film accompagne tous ces bons moment. On ne voit pas le temps passé. Très joli film français.
J'aime bien les films chorals. Plein de personnages plus ou moins interressant qui se cotoient et dont on suit les aventure, les doutes et les joies. Et voilà l'exemple parfait d'un film choral reussi. Premier ingredient prenez des acteurs différents et tous talentueux. Une Cécile de France petillante, une Valérie Lemercier exellente et un Dupontel habité. Soupoudrez le tout de secondes rôles bien trouvé. Une Dani emouvante, un Claude Brasseur touchant et une Suzanne Flon regrettée. Mais comme dans tout film choral des personnages sont moins interressant comme celui de Christopher Thompson ou Laura Morante. Maintenant qu'on a les ingrédients il faut trouver un lieu. Tiens si on prenant le show-bizz et le luxe de l'avenue Montaigne à Paris... Maintenant on prend une scénariste d'experience et un realisteur de talent... Y'à plus de realisteur donc on va prendre la scénriste qui fera ce qu'elle pourra et s'en sort sans rougir. On tourne, on monte et on obtient Fauteuils d'rochestre une comédie chorale efficace et bien menée. L'histoire est certes inégal il reste de merveilleuses scnées comme le repas entre Valérie Lemercier et Sidney Pollack qui devrait rester dans les annales. On rit peu on sourit beaucoup et on est souvent touché. Le monde du spectacle est mis à nu sans synisme ni critique mais c'est surtout les portraits d'hommes et de femmes qui est montré avec brio. Le ras-le bol, la nostalgie, l'amour, les rencontres.... C'est une belle introspection de la nature humaine que nous livre Danièle Thompson. Si vous voulez passer un exellent moment en compagnie d'acteurs grandioses et d'un scénario prenant, si vous voulez rire et être ému asseyez vous tranquillement dans ce fauteuils d'archestre...
Cest étrange comme les films sans réelle histoire et nous montrant quelques chassés-croisés fleurissent dans le paysage cinématographique français. Certains sont très réussis ( « On connaît la Chanson », « Le goût des autres », « ça ira mieux demain » ) dautres beaucoup moins comme « Fauteuils dorchestre ». Dinnombrables longueurs rendent cette uvre très mièvre. Non, décidément le fait de réunir une excellente pléiade dacteurs ne suffit aucunement à rendre leurs personnages passionnants. La très regrettée Suzanne Flon répète 10 fois la même chose, Cécile de France ère dans les rues comme Isabelle Adjani dans « la Repentie » avec la grâce en moins, lhistoire damour dAlbert Dupontel nous lasse franchement, le talent de Christopher Thomson est aussi grand que la couche de neige recouvrant les Bahamas Une étoile pour la géniale Valérie Lemercier bien sûr la seule à sauver ce film de lennui total.
Un très joli film sans aucune prétention, dominé par Cécile de France, et son personnage sur mesure de naïve mignonette bourrée de bon sens. Les autres comédiens sont terribles, de Lemercier (déchaînée) à Dupontel. On en ressort heureux-envieux. Et Laura Morante...
De très bons comédiens dont une Valéie Lemercier au sommet et une fraîcheur de ton font de ce film un plaisir à ne pas bouder surtout si on aime le bas de l'Avenue Montaigne et ses habitudes. Les bons sentiments sont certes faciles mais il y a quelques vérités sur les arts qui sont bien ficelées.