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    Fauteuils d'orchestre
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    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    40 abonnés 2 474 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 juin 2024
    Circonscrite à un quartier chic de Paris aux alentours l'avenue Montaigne, la comédie douce-amère de Danièle Thompson s'attache aux portraits de quelques personnages "en crise". Pour leur prépondérance, je citerai un concertiste célèbre mais usé, une comédienne connue de sitcom répétant un Feydeau, un amateur d'art fortuné liquidant ses collections. Parmi eux, comme un fil rouge, ingénue et naturelle, navigue la jeune serveuse (Cécile de France) du café du coin.
    Parce que le film passe de l'un à l'autre des personnages sans harmonie, il ne produit que de courts et anecdotiques sujets individuels. Et parce que ces petites histoires manquent d'une interaction, la mise en scène semble assez pauvre et le scénario peu astucieux. C'est une faiblesse du film, une autre étant l'intérêt relatif que suscitent des personnages que j'ai trouvés plutôt conventionnels, voire étriqués, et dont les caractères un rien artificiels manquent sa saveur, de profondeur autant que causticité.
    Estonius
    Estonius

    3 470 abonnés 5 453 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 juillet 2023
    C'est du choral et c'est donc forcément inégal, mais la prestation de Cécile de France procède d'un naturel époustouflant, quant à Valérie Lemercier elle est l'humour du film, j'ai beaucoup apprécié son échange avec Sydney Pollack. En revanche j'ai trouvé Dupontel trop caricatural (on comprend l'intention mais le résultat est maladroit, et Brasseur m'a paru bien transparent dans un segment assez faible. Coté critiques, je ne comprends pas ceux qui reproche à la réalisatrice de filmer des milieux bourgeois, elle a quand même le droit de filmer ce qu'elle veut ! Et puis j'ai bien aimé la bande son, j'aime bien Beethoven et j'aime bien Feydeau (et j'aime bien ce que Pollack dit de lui dans le film)
    Bernard D.
    Bernard D.

    114 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 juillet 2022
    « Fauteuils d’orchestre » de Danièle Thompson (2006) est un film décevant. Jessica (Cécile de France) monte à Paris comme sa grand-mère (Suzanne Flon) qui a fini dame-pipi « au Ritz pour vivre dans le luxe », et miraculeusement elle devient très vite serveuse dans le « Bar des Théâtres ». On va y suivre 3 moments de vie : un riche homme d'affaires (Claude Brasseur) qui en raison d’un cancer liquide chez Drouot toute sa collection d'art sauf le baiser de Brancusi pour son fils qui n’est autre que Christopher Thompson ; une actrice de soap-télé très populaire (Valérie Lemercier) qui rêve d'interpréter Simone de Beauvoir pour un grand cinéaste américain et un pianiste virtuose (Albert Dupontel) qui a devant lui 6 ans de contrat mais qui étouffe dans les conventions de son milieu et veut jouer pour les enfants, les malades… Tous ces personnages, vont donc se croiser dans le bar mais on n’a hélas pas le temps pour pouvoir mieux cerner leur entourage et surtout le pourquoi de ces 3 instants de vie, de changement de vie : tous in fine se plaignent de leur vie alors que jusque-là ils semblaient bien assis dans ce milieu très parisien-bobo. A noter la présence de Dani très récemment décédée, qui est la concierge du théâtre et que ce film est dédié à Suzanne Flon, décédée à l’âge 87 ans, peu de temps après la fin du tournage.
    Alasky
    Alasky

    359 abonnés 3 459 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 octobre 2021
    Les tranches de vie des différents protagonistes sont peintes avec tendresse et même si ce n'est pas un grand film, on passe un bon moment. Il n'y a pas de réelle trame, c'est un film choral, et même si d'ordinaire j'aime ce genre de films, ici l'ensemble est un peu fade et sans relief. Dernière apparition de la touchante Suzanne Flon.
    CharlieFirpo83
    CharlieFirpo83

    4 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 mai 2021
    un film long..terriblement ennuyeux sur les tout petits petits problèmes existentiels de bourgeois ....riche qui se plaignent sans cesse....et au milieu de tout cela cecile de France en.nunuche provinciale..le.sourire Béa..qui devraient au mieux les exasperer ....mais qui lui trouvent tous qq chose ....
    bref ce film est une daube ..ni drôle..ni triste ..ni rien en fait ....
    cinéman
    cinéman

    44 abonnés 812 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 avril 2021
    Cet univers de bourgeois ultra riches qui se plaignent de leur condition ou qui vénèrent le luxe aurait vraiment de quoi agacer. Mais passé ce cap on a une comédie chorale correcte dans les jolis quartiers de Paris autour de trois personnages qui renoncent à leur position confortable pour un mode de vide qui leur sied mieux.
    Benjamin D.
    Benjamin D.

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 avril 2022
    Les années passent, les films aussi hélas, et pourtant Danièle Thomspon, papesse du cinéma parigot-bobo, se sent toujours obligée d'ajouter régulièrement un nouvel méfait dans sa longue liste de laxatifs cinématographique qui là encore ne plaira qu'aux reclus pseudo-intellos des avenues chic de Paris. Passé le titre du film qui joue comme à chaque fois le rôle de métaphore foireuse du fond, on se retrouve devant un pseudo Amélie Poulain dans les beaux quartiers où Cécile de France campe la campagnarde midinette, naïve, un rien bonne fée magique qui s'en va illuminer le quotidien d'une bande d'artistes en pleine crise identitaire : Brasseur qui revend toute sa collection sur un coup de tête au grand dam de son fils, Valérie Lemercier qui tourne dans une sitcom d'un grotesque tellement navrant qu'il n'en est même pas drôle ou encore Dupontel, pianiste en plein questionnement, le seul qui semble tirer son épingle du jeu. Un casting choral, comme la réalisatrice a coutume de convoquer (et dans les poches duquel file généralement l'essentiel du budget du film) afin d'être sûre que son film attirera un minimum de monde. Enlevez le tout (ce qui n'est déjà pas grand chose), il reste un grand vide.

    On passera naturellement, et c'est là la marque de fabrique de Danièle Thompson qui vit depuis maintenant bien trop longtemps dans sa Tour d'Ivoire estampillée Carré Hermès, sur cette insupportable et véritablement ridicule vision de carte postale de Paris, toujours décrite comme l'eldorado du luxe et du raffinement, la ville Lumière d'une propreté impeccable à laquelle se résume la France, en dehors de laquelle n'existe visiblement aucune forme de civilisation cultivée et artistique, et qui, présageant la maxime de Macron à venir, permet même à une provinciale anonyme et banale de trouver un boulot en traversant la rue Montaigne.

    Reste le film en lui-même, déballage d'états d'âmes et de bons mots, successions d'aphorismes et de métaphores de comptoir le tout naturellement respirant les poncifs les plus éculés qui soient. On n'y croit pas une seconde, on se fout des personnages, on se fait chier de long en large et pire que tout, et c'est hélas le souci de toute la filmographie de la réalisatrice, on se sent en total décalage pour ne pas dire totalement déconnecté de son univers de pacotille qui, quand il ne nous paraît pas irréaliste, en devient grotesque. Le pire étant qu'elle y croit dur comme fer, qu'elle tente de jouer la carte de cette "fantaisie parisienne" propre à Jeunet, le talent en moins, le bling bling en plus. Bien sûr, le résultat nous paraît extraordinairement crédule pour ne pas dire complètement con. Là où Jeunet a su tisser un univers unique, fantaisiste et inspiré sans artifices ridicules ou ficelles grotesques, Thompson se contente d'avoir la créativité et l'humour d'une parigot névrosée.

    Malheureusement une erreur culturelle lui a permis de se faire un nom et de continuer à nous abreuver de ses horreurs sur grand écran pendant que des réalisateurs proposant de sortir un peu des sentiers battus et d'aborder d'autres univers (en dehors de Paris notamment...) et d'autres thèmes (différents des sempiternels états d'âmes d'une bande de bourges dépressifs dont elle nous nourrit depuis trop longtemps) restent dans un injuste anonymat car pas conformes aux critères d'exigence d'une intelligentia qui a porté la fadeur et la médiocrité au rang de vertu cardinale. Et le cinéma français de geindre que son public se reporte sur les productions étrangères. On dit que le fruit ne tombe jamais loin de l'arbre et pourtant le père de Daniel Thompson savait nous faire rire, LUI. On souhaite donc à la fille que sa retraite cinématographique survienne très vite afin que l'on puisse enfin s'épargner un autre film où l'héroïne regardera en soupirant de bonheur la tour Eiffel depuis les toits garanti 100% sans chiures de pigeons et sans tags d'un Paris de conte de fées.

    Non sérieusement, à un moment donné Danièle fout le nez hors des beaux quartiers, des grands magasins et des lieux de culture, t'as vraiment besoin de sortir de ton univers de bourge et de te rendre compte que le monde est bien plus complexe que les atermoiements de ta cohorte de mondains.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 707 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 octobre 2020
    À la fin de ce film délicieux, charmant et chic il y a un moment juste avant les crédits de fin où nous passons au noir et deux mots apparaissent dans le coin inférieur droit pour une Suzanne. Je suppose que si vous allez mourir à l'âge de 87 ans et que vous voyez le dernier film sur lequel vous avez travaillé vous pourriez faire bien pire que de choisir ceci pour votre chanson du cygne. Suzanne Flon n'a pas grand-chose à faire mais son sourire et sa chaleur illuminent l'écran. Trois histoires sont liées par Cécile de France la petite-fille du personnage de Suzanne Flon qui voyage des Provinces à Paris et obtient un emploi de serveuse dans un restaurant attenant à la fois à un théâtre une salle de concert et une salle des ventes où dans la plénitude elle rencontre une actrice, un pianiste de concert et un millionnaire tellement blasé qu'il vend les objets qu'il a passé sa vie à collectionner. Valérie Lemercier est excellente en tant que reine du savon adorée par des millions de personnes mais désireuse de devenir légitime et de jouer Feydeau sur les planches. Tandis que le pianiste classique Albert Dupontel étouffe sous le poids de sa vie formelle et de son style de vie tout aussi formel mais il est déchiré entre la rébellion et la perte de sa femme. Si le divertissement pur et simple pour ne pas dire élégant et chic ​​a un nom il s'appelle Fauteuils d'orchestre...
    Incertitudes
    Incertitudes

    210 abonnés 2 321 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 janvier 2020
    Pour résumer, un pianiste passe son temps à se plaindre. Sa femme se plaint. Une actrice de série télé se plaint et harcèle le pauvre Sidney Pollack pour qu'elle tourne dans son film. J'ai eu mal pour Sydney qui, ne parlant et ne comprenant pas le français, a l'air de se demander où il a pu mettre les pieds. Un collectionneur d’œuvres d'arts se plaint. Son fils se plaint (il a tout le temps mal au dos). Ça n'aide pas à les rendre sympathique d'autant qu'ils ont des vies de rêve. Bien sûr, chacun a ses problèmes. Il n'y a pas de hiérarchie entre. Tous sont importants. Mais à une époque où un président de la République conseille de traverser la rue pour trouver du travail, ce serait bon que ces bourgeois la traversent eux aussi. Ça leur ferait prendre l'air et conscience qu'il y a une plus grande souffrance que la leur dans ce pays. Il y a quelques bons mots mais ça ne suffit pas. Et que dire du personnage de Cécile de France, petite souris perdue au sein de ce microcosme d'artistes ? Pas de travail, pas de logement, pas de petit ami, pas de rêve (sauf si devenir serveuse en est un). Elle, elle aurait de bonnes raisons d'en vouloir à la terre entière. Elle ne le fait pas. Elle a toujours le sourire aux lèvres. On la croirait sortie d'un conte de fée tellement elle est lisse. Ça manque d'acidité, d'humour et d'un point de vue critique sur ce joli petit monde.
    Michael78420
    Michael78420

    46 abonnés 1 461 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mai 2019
    Un film qui repose entièrement sur le talent des nombreux acteurs qui y figurent. Des personnages rares dans la vie réelle (un richissime collectionneur, un pianiste international, une actrice populaire, un historien, un metteur en scène de cinéma, etc.) tous reliés le temps d'un film par une modeste serveuse de restaurant carricature de la provinciale gentille montée à Paris. Donc peu ou pas d'intrigues dans ces histoires entremêlées, et le plaisir de voir une ribambelle d'acteurs de talent.
    Gcsa M.
    Gcsa M.

    3 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 décembre 2018
    un film rafraîchissant qui rend heureux. De bons acteurs (en particulier Cécile de France) et une bonne musique.
    Alain D.
    Alain D.

    600 abonnés 3 296 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 janvier 2018
    Un bel hommage dédié à Suzanne Flon dans cette comédie emplie de réalisme, d'humour et d'émotion comme sait les faire Danièle Thompson. La mise en scène, le montage astucieux séduisent, comme le scénario coécrit avec son fils Christopher Thompson. Il nous fait entrer dans l'intimité d'artistes avec des dialogues sincères et un jeu très naturel. Tour à tour, une actrice à succès, un pianiste renommé et un peintre collectionneur d'art nous content sans détour leur déboires, leur amours, leurs mensonges, leur désir de renouveau …
    En plus d'une BO très pertinente, ce film nous offre un casting extraordinairement riche : Cécile de France est rayonnante dans le rôle principal de la seule non artiste dans cette histoire avec l'excellente Dani. Elle apporte l'indispensable touche de fraicheur et de candeur.
    Outre les guest prestigieux comme Guillaume Gallienne ou Sydney Pollack, on peut savourer les magnifiques prestations de Valérie Lemercier (l'actrice cyclothymique), d'Albert Dupontel très sérieux dans son personnage de pianiste antisystème et de Claude Brasseur toujours aussi classe.
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile

    355 abonnés 1 372 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 septembre 2017
    Une œuvre issue d'une certaine noblesse, où la musique et les arts en général, s'élèvent à des hauteurs insoupçonnées. Casting à l'appuie, Danièle Thompson nous offre l'envers d'un décors fait de rigueur et de rêverie bourgeoise, là où l'acoustique d'un piano à lui seul, captive une assemblée. Fauteuils d'orchestre reflète à la fois certains travers sociaux et le goût authentique de la musique classique. L'Avenue Montaigne et son côté hautain, est représentée comme un monde à part du tout Paris. Des personnages diamétralement opposés, entremêlent leurs existences entre passions et frustrations. Étude frivole du microcosme des artistes et leur désir de changement. Preuve que le succès n'est pas uniquement annonciateur d'épanouissement. Un trio épatant se révèle entre Valérie Lemercier, Albert Dupontel et Cécile De France, chacun évoluant dans un milieu différent mais finalement étroitement lié. Entre théâtre et grandes scènes, tous ces milieux élitistes, il y a toujours des esprits féconds qui aspirent à davantage de spontanéité, loin du stress et de la critique. Les paroles d'un Claude Brasseur en fin de carrière, en disent long. Un sujet vaguement tourné en dérision, mais qui tout de même prête à réfléchir. Humainement intéressant et touchant. 3,5/5
    andika
    andika

    107 abonnés 320 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 juin 2017
    Il ne s'agit pas ici d'un banal film choral comme on en a vu tant d'autres. Ce n'est pas un prétexte pour faire intervenir plein d'acteurs connus. Au contraire, tous ces comédiens servent l'histoire d'une excellente manière, car oui il y a un vrai scénario et même un vrai message. L'art doit relier, les gens se mélangent, il ne faut pas se laisser enfermer dans une case.
    Ainsi, on comprend mieux le désir d'émancipation du pianiste virtuose incarné par Albert Dupontel. Il en a assez du monde corseté du classique. Il souhaite un public plus novice afin de pouvoir les toucher plus profondément avec son art. Cet art qui relie aussi un fils à sa mère morte. Une concierge à une actrice. Une jeune flemme montant à Paris avec une brochette de personnes d'une classe sociale élevée. Mais on remarque qu'ils sont tous égaux devant l'émotion. Et on ne peut être que touché par ce film qui dépoussière un certain nombre de clichés sur ce monde de l'art. Et puis, c'est tellement agréable d'entendre le concerto empereur de Beethoven tout au long de ce film !
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    187 abonnés 2 274 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 juin 2017
    J'ai vu tous les films réalisés à ce jour par Danièle Thompson : « La Bûche » (1999), « Décalage Horaire » (2002) et aujourd'hui « Fauteuils d'Orchestre » (2006) et le moins que l'on puisse dire, c'est que je ne suis pas fan ! Le film bénéficie d'un beau casting mais, malheureusement, c'est un film à l'ancienne, très daté et très parisianiste dont le scénario et les situations sentent la naphtaline. De plus, la réalisatrice a tendance à reprendre le concept et les ingrédients de « La Bûche », son premier film. Or, comme je n'avais déjà pas été séduit par sa première oeuvre, je peux difficilement m'extasier devant ce deuxième film choral de la réalisatrice. Pour « Fauteuils d'Orchestre », le décor plus que réduit me donne l'impression d'assister à un soap télé du genre « Plus Belle la Vie » actuellement diffusé sur France 3. D'ailleurs, à chaque scène, on a l'impression que le film est tourné en studio. J'ai aussi l'impression que la scénariste-réalisatrice s'est laissée dépasser par son nombre de personnages, rendant l'étude de chacun trop superficielle. En resserrant le nombre de personnages, elle aurait gagné en profondeur et en intérêt pour chacun d'entre eux. Comme film choral, je préfère des films plus inspirés et qui sont davantage dans l'air du temps comme « Le Coeur des Hommes » (2003) ou « La Grande Séduction » (2004).
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