Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Le Figaro
par Brigitte Baudin
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
Comme à son habitude, Raoul Ruiz navigue au compas entre réalité et onirisme, romanesque et humour baroque (...) Un film mosaïque qui joue avec le temps et l'espace. Pour notre plus grand plaisir.
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ouest France
par La rédaction
Le titre est emprunté à un roman d'Alain-Fournier. Nouvelle référence littéraire pour Raoul Ruiz dont on sait combien il aime jouer avec le temps, le souvenir et la mémoire. Et la littérature globalement. Il se prête ici encore à son jeu de prédilection qui bouscule les codes de la logique et de la cohérence dans le déroulé du récit. Les générations se croisent dans ce grand chamboulement du temps. C'est la marque particulière de l'auteur, ses admirateurs y cèderont, conduits par l'interprétation de Grégoire Colin, François Cluzet et Marianne Denicourt notamment.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Positif
par Guy Scarpetta
Il faut s'y faire : Raoul Ruiz continue, il s'obstine, il accumule les films à un rythme ahurissant, aux antipodes de ce qui se débite industriellement sous le nom de cinéma. Complètement à contre-courant, c'est-à-dire libre, souverain.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Le Monde
par Jean-Luc Douin
L'adhésion que l'on peut ressentir à l'égard de ce film où Raoul Ruiz, comme toujours, fait preuve d'une virtuosité filmique et d'un indéniable sens esthétique, dépend sans doute du degré de connivence avec ces livres, mythiques pour certains. [...] Il leur faudra toutefois accepter le jeu d'un Grégoire Colin qui, poussé à jouer un mécréant sceptique, finit par donner l'impression d'être ailleurs, loin de ces horizons troublés mais enchantés.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Philippe Azoury
(...) passé le charme de l'envolée artificielle vers des cieux nostalgiques (ou prophétiques), le spectateur peut légitimement passer à côté de ces trois histoires qui ne communiquent que parce que le film en a décidé ainsi (...) le rythme n'est pas exactement au rendez-vous, et tout a tendance à s'estomper dans un sourd lointain.
MCinéma.com
par Philippe Scrine
(...) L'interprétation n'est pas en cause, François Cluzet et Grégoire Colin se sont parfaitement glissés dans la peau de leur personnage. Le malaise provient de la construction éclatée du Domaine perdu. Le cinéaste joue avec trois histoires et avec trois dimensions temporelles : passé, présent et avenir, au risque de nuire à la compréhension du film, le spectateur est alors perdu dans des domaines qui lui échappent.
Première
par Olivier de Bruyn
Ruiz signe un film nourri d'idées somptueuses et de séquences bancales. Inégal ? Oui. Stimulant ? Oui aussi...
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par Pete Wakefield
Raoul Ruiz n'est jamais aussi séduisant que quand il se laisse aller à ses fantaisies.
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Thoma Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
(...) comme souvent avec le cinéaste chilien, il faut accepter de s'égarer dans ce récit initiatique, baigné d'onirisme et de mélancolie, pour que le charme opère.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par François Gorin
On le (Raoul Ruiz) suivrait volontiers dans son labyrinthe spatio-temporel et borgésien, n'était l'impression de voir se chercher, et ne jamais se trouver, deux films : un classique récit d'amitié, et un traité plus théorique de la circulation des âmes à travers l'histoire et les histoires.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Claire Vassé
Certes plus laborieux que le fascinant et ludique Généalogies d'un crime, ce film reste passionnant dans sa manière de raconter comment les héros de notre enfance subsistent à jamais au fond de nous.
aVoir-aLire.com
par Catherine Le Ferrand
Comme toujours chez Raul Ruiz, il faut accepter de s'égarer, se laisser entraîner sur des chemins familiers qu'un détour va faire basculer dans l'étrange. Il faut accepter de perdre ses certitudes, savoir que le temps n'est pas une ligne droite, que l'espace est mouvant, que la mémoire est traîtresse.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
(...) Ruiz filme ce labyrinthe vieillot sans entrain et comme on boit le thé, le petit doigt en l'air. Récit flappi, film jauni qu'il fait sauter sur ses genoux. Rien de noveau rien de grave, l'oncle chilien tournera cinquante flms pour effacer celui-là.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Téssé
Livre d'images jauni, mise en scène aux rondeurs vieillottes, Le Domaine perdu endort et s'endort sur le moelleux coussin de son histoire, voyage mou parmi les ruines du siècle. [...] Quelque chose ne prend pas dans le film, que trahit le dénouement quasi-lelouchien (pardon, Raoul) où l'on retrouve Grégoire Colin et François Cluzet grimés en centenaire. Malice flappie de l'auteur ? Cette fois oui. Ce n'est que somnolence passagère, c'est sûr.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Ce retour aux sources, marqué par l'univers fantastique du Grand Meaulnes, concerne autant, sinon plus, l'imaginaire que le réel. Dommage que Ruiz, ici dans sa veine faiblarde, le fasse vivre aussi platement, nous rappelant le mauvais souvenir de son adaptation de Proust, "clichéeuse" et illustrative.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Comme à son habitude, Raoul Ruiz navigue au compas entre réalité et onirisme, romanesque et humour baroque (...) Un film mosaïque qui joue avec le temps et l'espace. Pour notre plus grand plaisir.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Ouest France
Le titre est emprunté à un roman d'Alain-Fournier. Nouvelle référence littéraire pour Raoul Ruiz dont on sait combien il aime jouer avec le temps, le souvenir et la mémoire. Et la littérature globalement. Il se prête ici encore à son jeu de prédilection qui bouscule les codes de la logique et de la cohérence dans le déroulé du récit. Les générations se croisent dans ce grand chamboulement du temps. C'est la marque particulière de l'auteur, ses admirateurs y cèderont, conduits par l'interprétation de Grégoire Colin, François Cluzet et Marianne Denicourt notamment.
Positif
Il faut s'y faire : Raoul Ruiz continue, il s'obstine, il accumule les films à un rythme ahurissant, aux antipodes de ce qui se débite industriellement sous le nom de cinéma. Complètement à contre-courant, c'est-à-dire libre, souverain.
Le Monde
L'adhésion que l'on peut ressentir à l'égard de ce film où Raoul Ruiz, comme toujours, fait preuve d'une virtuosité filmique et d'un indéniable sens esthétique, dépend sans doute du degré de connivence avec ces livres, mythiques pour certains. [...] Il leur faudra toutefois accepter le jeu d'un Grégoire Colin qui, poussé à jouer un mécréant sceptique, finit par donner l'impression d'être ailleurs, loin de ces horizons troublés mais enchantés.
Libération
(...) passé le charme de l'envolée artificielle vers des cieux nostalgiques (ou prophétiques), le spectateur peut légitimement passer à côté de ces trois histoires qui ne communiquent que parce que le film en a décidé ainsi (...) le rythme n'est pas exactement au rendez-vous, et tout a tendance à s'estomper dans un sourd lointain.
MCinéma.com
(...) L'interprétation n'est pas en cause, François Cluzet et Grégoire Colin se sont parfaitement glissés dans la peau de leur personnage. Le malaise provient de la construction éclatée du Domaine perdu. Le cinéaste joue avec trois histoires et avec trois dimensions temporelles : passé, présent et avenir, au risque de nuire à la compréhension du film, le spectateur est alors perdu dans des domaines qui lui échappent.
Première
Ruiz signe un film nourri d'idées somptueuses et de séquences bancales. Inégal ? Oui. Stimulant ? Oui aussi...
Score
Raoul Ruiz n'est jamais aussi séduisant que quand il se laisse aller à ses fantaisies.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
(...) comme souvent avec le cinéaste chilien, il faut accepter de s'égarer dans ce récit initiatique, baigné d'onirisme et de mélancolie, pour que le charme opère.
Télérama
On le (Raoul Ruiz) suivrait volontiers dans son labyrinthe spatio-temporel et borgésien, n'était l'impression de voir se chercher, et ne jamais se trouver, deux films : un classique récit d'amitié, et un traité plus théorique de la circulation des âmes à travers l'histoire et les histoires.
Zurban
Certes plus laborieux que le fascinant et ludique Généalogies d'un crime, ce film reste passionnant dans sa manière de raconter comment les héros de notre enfance subsistent à jamais au fond de nous.
aVoir-aLire.com
Comme toujours chez Raul Ruiz, il faut accepter de s'égarer, se laisser entraîner sur des chemins familiers qu'un détour va faire basculer dans l'étrange. Il faut accepter de perdre ses certitudes, savoir que le temps n'est pas une ligne droite, que l'espace est mouvant, que la mémoire est traîtresse.
Cahiers du Cinéma
(...) Ruiz filme ce labyrinthe vieillot sans entrain et comme on boit le thé, le petit doigt en l'air. Récit flappi, film jauni qu'il fait sauter sur ses genoux. Rien de noveau rien de grave, l'oncle chilien tournera cinquante flms pour effacer celui-là.
Chronic'art.com
Livre d'images jauni, mise en scène aux rondeurs vieillottes, Le Domaine perdu endort et s'endort sur le moelleux coussin de son histoire, voyage mou parmi les ruines du siècle. [...] Quelque chose ne prend pas dans le film, que trahit le dénouement quasi-lelouchien (pardon, Raoul) où l'on retrouve Grégoire Colin et François Cluzet grimés en centenaire. Malice flappie de l'auteur ? Cette fois oui. Ce n'est que somnolence passagère, c'est sûr.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
Ce retour aux sources, marqué par l'univers fantastique du Grand Meaulnes, concerne autant, sinon plus, l'imaginaire que le réel. Dommage que Ruiz, ici dans sa veine faiblarde, le fasse vivre aussi platement, nous rappelant le mauvais souvenir de son adaptation de Proust, "clichéeuse" et illustrative.