Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
MCinéma.com
par Céline Lin
Le réalisateur décrit avec émotion le destin de ces personnages (...). Le thème de la guerre est maîtrisé fermement, sans fioritures, avec réalisme et minutie. Le regard est juste, sans hypocrisie ni pitié, presque clinique, détaillant cette descente aux enfers. Et vu la dextérité avec laquelle le cinéaste ajoute à cette horreur objective une approche sensible des personnages, on peut parler de véritable coup de maître.
Mad Movies
par Julien Sévéon
Pari gagné pour le metteur en scène : ses images frappent fort et font mal. En évoquant ce drame qui sépara son pays, Kang adresse un message universel (...). Une véritable oeuvre d'utilité publique en ces temps bellicistes. Lorsque le sujet est de surcroît mis en scène avec un tel brio, on ne peut qu'adhérer totalement à la démonstration.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Ciné Live
par Arnold
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
Kang Je-gyu a pu reconstituer d'impressionnantes batailles avec plus de 25 000 figurants et une grande batterie d'effets spéciaux. Il a aussi poussé le réalisme très loin avec des scènes atroces de tuerie dans lesquelles il ne nous épargne aucun détail. C'est hyperviolent, parfois insoutenable mais c'est un bon film !
Le Monde
par Jean-François Rauger
Frères de sang est un copieux mélange d'émotions et de stimuli, de sentimentalité et de brutalité. (...) Ce mélange de sentimentalité un peu hystérique et de violence graphique hyperréaliste, désinhibée, aboutit à une allégorie limpide, un peu emphatique mais nourrie d'une énergie surprenante. Le thème de la fraternité perdue et retrouvée, au centre de nombreux films coréens contemporains, est ici littéralement exhibé.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Mathieu Carratier
Au risque de laisser les autres personnages devenir de la simple chair à canon, Kang Je-Gyu (...) a choisi de se focaliser sur ces frangins, qu'il jette dans des batailles à la violence extrêmement graphique, et dont la virtuosité ferait presque oublier Spielberg et son ...Soldat Ryan. Son film, fresque guerrière excessive et ardente que n'aurait pas reniée le John Woo des débuts, laisse un goût tenace de boue et de sang. Puissant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par Marco Ramius
Kang Je-Gyu, déjà réalisateur d'un explosif Shiri, a voulu faire son Soldat Ryan. S'il reprend les canons esthétiques de son modèle (caméra à l'épaule, violence très graphique), il livre pourtant un film, certes trop long, mais moralement moins lisse grâce à une réflexion plutôt amère sur le patriotisme. A voir pour se faire une idée.
La critique complète est disponible sur le site Score
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
par Isabelle Potel
Un blockbuster hystérique sur la guerre de Corée. (...) Kang Je-gyu, qui possède désormais une maîtrise certaine, mais déjà académique, de son propos, ne recule devant rien : un mélo familial useur de Kleenex ; des scènes de combats gore, appuyées jusqu'à la nausée ; une description minutieuse de la haine des rouges (...). Mais il y a un truc bien : Frères de sang règle définitivement leur compte à l'héroïsme guerrier, à la dignité et au courage soldatesques.
Positif
par Adrien Gombeaud
L'envie de raconter ce conflit international vu par la Corée se heurte à celle de réaliser un film de guerre à l'américaine. (...) Si louable soit-elle d'un point de vue nationaliste, cette ambition ne peut que déboucher dans une impasse artistique. Par définition, tout est emprunté (plutôt bien) à Titanic, au Soldat Ryan... et la foule coréenne se réjouit de pouvoir produire un reflet si parfait de Hollywood.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Zurban
par Olivier Pélisson
(...) fresque romanesque sur la guerre de Corée. On est ici dans la superproduction à vocation internationale plus que dans le film d'auteur. (...) le réalisme des scènes de guerre est sans équivoque. Ne lésinant par sur les effets, il en fait parfois trop, avec gros plans insistants sur des plaies sanguinolentes et ralentis dramatisants. Mais l'émotion et la dureté de cette passion fraternelle ne laissent pas insensible.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Cahiers du Cinéma
par Antoine Thirion
(...) le meilleur du cinéma coréen se charge de réintroduire des écarts sensibles, tandis que le pire reconstruit une unité populaire, comme ici, en réaffirmant les liens du sang (c'est l'essentiel) de deux frères séparés par la guerre (c'est un détail).
Ouest France
par La rédaction
Une chronique interminable de scènes répétitives avec musique pétaradante ou sirupeuse, et une violence appuyée d'images sauvages. Sans doute de bonnes intentions au départ, mais à l'arrivée un résultat surchargé.
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
"Frères de sang" prend le parti de montrer de manière hyperréaliste (...) la violence et les horreurs de la guerre. C'est impressionnant, voire fatigant sur deux heures et demie. (...) Kang Je-Gyu accumule les effets superflus. (...) Frères de Sang finit par sépuiser par sa propre surenchère émotionnelle, au détriment d'un véritable point de vue de cinéaste sur la guerre.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par François Gorin
C'est une longue épopée guerrière à l'ancienne, comme on n'en fait plus, même à Hollywood. Le scénario, du plus pur mélo simpliste, renverrait presque au temps du muet (...). Appuyant à grand renfort d'effets sur l'horreur des (nombreuses) scènes de combat, portant haut les valeurs familiales, le film est aussi (et surtout ?) un plaidoyer pour la réunification de la Corée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
La guerre filmée avec une complaisance maladive et un mépris souverain du spectateur (...) le réalisateur (...) est un sous-John Woo qui, sur plus de deux heures de bobine, s'ingénie à faire du sous-Soldat Ryan en ne ménageant pas les excès. (...) C'est du chantage à l'émotion pur et simple qui peut révolter tant cela s'apparente à de la malhonnêteté intellectuelle. (...) On pourrait parler de carnage pelliculé et belliciste mais même ce qui pourrait sembler sauver le film se retourne contre lui.
MCinéma.com
Le réalisateur décrit avec émotion le destin de ces personnages (...). Le thème de la guerre est maîtrisé fermement, sans fioritures, avec réalisme et minutie. Le regard est juste, sans hypocrisie ni pitié, presque clinique, détaillant cette descente aux enfers. Et vu la dextérité avec laquelle le cinéaste ajoute à cette horreur objective une approche sensible des personnages, on peut parler de véritable coup de maître.
Mad Movies
Pari gagné pour le metteur en scène : ses images frappent fort et font mal. En évoquant ce drame qui sépara son pays, Kang adresse un message universel (...). Une véritable oeuvre d'utilité publique en ces temps bellicistes. Lorsque le sujet est de surcroît mis en scène avec un tel brio, on ne peut qu'adhérer totalement à la démonstration.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
Kang Je-gyu a pu reconstituer d'impressionnantes batailles avec plus de 25 000 figurants et une grande batterie d'effets spéciaux. Il a aussi poussé le réalisme très loin avec des scènes atroces de tuerie dans lesquelles il ne nous épargne aucun détail. C'est hyperviolent, parfois insoutenable mais c'est un bon film !
Le Monde
Frères de sang est un copieux mélange d'émotions et de stimuli, de sentimentalité et de brutalité. (...) Ce mélange de sentimentalité un peu hystérique et de violence graphique hyperréaliste, désinhibée, aboutit à une allégorie limpide, un peu emphatique mais nourrie d'une énergie surprenante. Le thème de la fraternité perdue et retrouvée, au centre de nombreux films coréens contemporains, est ici littéralement exhibé.
Première
Au risque de laisser les autres personnages devenir de la simple chair à canon, Kang Je-Gyu (...) a choisi de se focaliser sur ces frangins, qu'il jette dans des batailles à la violence extrêmement graphique, et dont la virtuosité ferait presque oublier Spielberg et son ...Soldat Ryan. Son film, fresque guerrière excessive et ardente que n'aurait pas reniée le John Woo des débuts, laisse un goût tenace de boue et de sang. Puissant.
Score
Kang Je-Gyu, déjà réalisateur d'un explosif Shiri, a voulu faire son Soldat Ryan. S'il reprend les canons esthétiques de son modèle (caméra à l'épaule, violence très graphique), il livre pourtant un film, certes trop long, mais moralement moins lisse grâce à une réflexion plutôt amère sur le patriotisme. A voir pour se faire une idée.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
Un blockbuster hystérique sur la guerre de Corée. (...) Kang Je-gyu, qui possède désormais une maîtrise certaine, mais déjà académique, de son propos, ne recule devant rien : un mélo familial useur de Kleenex ; des scènes de combats gore, appuyées jusqu'à la nausée ; une description minutieuse de la haine des rouges (...). Mais il y a un truc bien : Frères de sang règle définitivement leur compte à l'héroïsme guerrier, à la dignité et au courage soldatesques.
Positif
L'envie de raconter ce conflit international vu par la Corée se heurte à celle de réaliser un film de guerre à l'américaine. (...) Si louable soit-elle d'un point de vue nationaliste, cette ambition ne peut que déboucher dans une impasse artistique. Par définition, tout est emprunté (plutôt bien) à Titanic, au Soldat Ryan... et la foule coréenne se réjouit de pouvoir produire un reflet si parfait de Hollywood.
Zurban
(...) fresque romanesque sur la guerre de Corée. On est ici dans la superproduction à vocation internationale plus que dans le film d'auteur. (...) le réalisme des scènes de guerre est sans équivoque. Ne lésinant par sur les effets, il en fait parfois trop, avec gros plans insistants sur des plaies sanguinolentes et ralentis dramatisants. Mais l'émotion et la dureté de cette passion fraternelle ne laissent pas insensible.
Cahiers du Cinéma
(...) le meilleur du cinéma coréen se charge de réintroduire des écarts sensibles, tandis que le pire reconstruit une unité populaire, comme ici, en réaffirmant les liens du sang (c'est l'essentiel) de deux frères séparés par la guerre (c'est un détail).
Ouest France
Une chronique interminable de scènes répétitives avec musique pétaradante ou sirupeuse, et une violence appuyée d'images sauvages. Sans doute de bonnes intentions au départ, mais à l'arrivée un résultat surchargé.
TéléCinéObs
"Frères de sang" prend le parti de montrer de manière hyperréaliste (...) la violence et les horreurs de la guerre. C'est impressionnant, voire fatigant sur deux heures et demie. (...) Kang Je-Gyu accumule les effets superflus. (...) Frères de Sang finit par sépuiser par sa propre surenchère émotionnelle, au détriment d'un véritable point de vue de cinéaste sur la guerre.
Télérama
C'est une longue épopée guerrière à l'ancienne, comme on n'en fait plus, même à Hollywood. Le scénario, du plus pur mélo simpliste, renverrait presque au temps du muet (...). Appuyant à grand renfort d'effets sur l'horreur des (nombreuses) scènes de combat, portant haut les valeurs familiales, le film est aussi (et surtout ?) un plaidoyer pour la réunification de la Corée.
aVoir-aLire.com
La guerre filmée avec une complaisance maladive et un mépris souverain du spectateur (...) le réalisateur (...) est un sous-John Woo qui, sur plus de deux heures de bobine, s'ingénie à faire du sous-Soldat Ryan en ne ménageant pas les excès. (...) C'est du chantage à l'émotion pur et simple qui peut révolter tant cela s'apparente à de la malhonnêteté intellectuelle. (...) On pourrait parler de carnage pelliculé et belliciste mais même ce qui pourrait sembler sauver le film se retourne contre lui.