Derniers Avis : L'Incroyable destin de Harold Crick - Page 4

J'ai adoré !
Je ne m'attendais pas du tout à ce genre de film... Vu ce que fait de manière général Will Ferrell, habitué de la comédie pour un humour très ricain. Non seulement j'ai été bluffé mais aussi emporté dans ce film très... Attachant.
Comment dire... Agréable, appréciable et même formidable puisqu'on se laisse aller aux multiples sourires.
Je suis satisfait de ce film que je classe dans ma vidéothèque.

Enfin une comédie avec un scénario qui tient la route .

superbe film, scénario très bien mis en place, malgré quelque longueur, une fois commencé le film on veut a tout prix savoir comment il se termine. A regarder

Le personnage tiré d'un roman fait tout le film. Peu d'autre
acteur aurait pu mieux que lui incarner ce rôle. Une performance
de nonchalance et de sobriété. Une jeune fille charmante. Une
romancière déjantée et un scénario original dont on devine la fin.
Sympa

Excellent. Will Ferrell est très bon dans ce rôle inhabituel pour lui. Scénario original, frais et léger mais surtout, très bien écrit. Je ne m'attendais pas à ça. Parti à l'aventure pour voir un bon gros film de demeuré avec W.Ferrell, j'ai été ravi de la surprise ! Je n'irai pas jusqu'à dire qu'il m'a mis une claque mais pas loin. C'est très bien réalisé et on n'en sort pas indemne. Beaucoup d'empathie autour du personnage grâce notamment à la performance de W.Ferrell, sa situation et la vie monotone à laquelle il était programmé. La voix off apporte énormément au récit et lui donne toute sa singularité. Émouvant.

Les 15 premières minutes de ce film peuvent sembler très ennuyeuses d'autant qu'on a cette voix de narrateur certes sublime mais un poil nuisible sur la longueur. les effets spéciaux n'ajoute rien à l'histoire. A part ça c'est un bon film avec un scénario fou, osé et très original avec une bonne palette de comédiens talentueux. L'idée de ce scénario ne pouvait venir que d'un écrivain ou d'un scénariste! Le créateur face à sa création.

Une comédie sympathique autours d'un sujet inattendu. Sans être exceptionnel, on passe un moment agréable.

"L'incroyable Destin de Harold Crick" fait partie de ces agréables surprises que réserve parois le cinéma. N'ayant pas lu de critiques, peu attiré par Will Ferell, clone de Jim Carey à l'"humour" parfois pachydermique, c'est plus la conjonction des horaires et du vide de la programmation qui m'a amené dans la salle qu'un choix délibéré. Et pourtant, le charme a vite opéré. La vie d'Harold Crick est présentée dans un décor à la "Playtime" (Marc Foster cite clairement Tati dans ses sources d'inspiration), avec une répétition qui évoque "Un Jour sans fin" ; afin d'illustrer son obsession compulsive des chiffres, des hologrammes comptabilisent chacun de ces gestes quotidiens, le tout ponctué par la voix off d'une narratrice au pur accent anglais.


On est dans la norme, pire, dans le normatif, y compris dans le procédé narratif, un peu comme dans le village à la Capra où s'ébat Jim Carey dans le "Truman Show". Là, la déchirure n'est pas la collision dans le décor ou la découverte d'une porte cachée au septième étage et demi, mais le fait que brusquement Harold entende la voix de la narratrice. Sur cette idée simple, Foster et son scénariste Zach Helm ont su broder une histoire convaincante, avec les destins croisés de cet homme qui découvre qu'il est le personnage d'un livre et de cette écrivaine qui n'arrive pas à terminer son roman, et entre les deux, le professeur de littérature (joué par un Dustin Hoffman jubilatoire) qui s'intéresse in extremis à Harold parce qu'il a cité une formule de sa mystérieuse narratrice qui a été l'intitulé d'une de ses plus fameuses UV.


Dans une interview, Zach Helm a dit : "De Pirandello à Brecht, Wilder, Stoppard, Woody Allen et Wes Anderson, on assiste à la progression d'une vague de littérature dramatique contemporaine consciente d'elle-même, qui déforme volontiers la réalité et implique le public. J'aime voir Homer Simpson interpeller son créateur, Matt Goening..." Ici, conseillé par le Pr Julius Hilbert, Harold essaie déjà de découvrir s'il est dans une comédie ou une tragédie ; et quand il devine quelle est la fin que lui réserve sa créatrice et qu'il lit le roman dont il est le héros involontaire ,il accepte son sort parce que tout autre fin dépareillerait un tel chef-d'oeuvre.


Balançant subtilement entre le rire et l'émotion, ce film réussit même à justifier avec élégance la pirouette finale qui serait apparue dans bien d'autres scénarios comme une simple concession à l'émotionnellement correct. Malgré quelques longueurs au milieu du film, l'ensemble se tient, et les acteurs sont à la hauteur de l'histoire : Will Ferell heureusement tout en retenue, et finalement très crédible, Maggie Gyllenhaal craquante en patissière anarchiste, et Emma Thompson parfaite comme d'habitude. Proche de l'univers de Charlie Kaufman, "Stranger Than Fiction" (une nouvelle fois, le titre original est bien plus intéressant que celui poussivement trouvé par les distributeurs français), s'il n'évite pas toujours le sentimentalisme un peu niais, réussit quand même à captiver par le ton poétique et burlesque de sa narration.

Bien que ce film ait déjà quelques années, je m'en viens donner ma critique personnelle mais le ferai tant d'un point de vue de spectateur que d'un point de vue de pédagogue sur les techniques du cinéma tant ce long métrage est une mine d'or !
Tout d'abord, le scénario est un exemple d'ingéniosité. Très bien écrit, inventif, il ne peut en aucun cas laisser place à l'indifférence. Le réalisateur Marc Forster, réalisateur du très bon "Stay", nous prouve à nouveau qu'il sait marquer la différence grâce à des techniques propres et abouties.
Fort d'un casting de choix, "L'incroyable destin d'Harold Crick"se "boit" tel un bon vin doté d'une robe pourpre, d'un corps résistant et surprenant jusque dans ses moindres détails. Le néophyte ne pourra en apprécier toutes les délicates subtilités, l'averti se délectera de toutes les nuances d'un
millésime trop peu connu.
Comme dit ci-dessus, le scénario est surprenant, innovant à l'extrême ! Quelle magnifique idée que de penser à ce personnage principal entendant la voix de la narratrice du film lui même, il fallait y penser et mieux, approfondir cette idée avec une décontraction affichée mais qu'on imagine avoir nécessité une réflexion approfondie !
Le casting prestigieux n'est pas en reste puisque servi par des dialogues fouillés, imaginatifs et drôles... La scène entre Dustin Hoffman et Will Ferrell servant à déterminer l'origine de cette situation
hors du commun frise l'anthologie ! Les prestations des acteurs sont d'une justesse millimétrée, tout est limpide, que demander de plus dès lors ? Et bien, des plans de caméra extrêmement bien pensés, une maîtrise du timing, de la réalisation, des effets spéciaux discrets mais intelligents...mais tout est déjà la !
Les bonnes idées s'enchaînent sans laisser de véritable temps mort, le montage frise la perfection, les décors sont extrêmement travaillés même s'ils peuvent parfois paraître d'une simplicité insolente.
En matière de pédagogie, ce long métrage est exemplaire pour enseigner a la fois les techniques de cinéma (plans, montage, scénario, photo, dialogues....tout est exploitable au plus haut niveau !)...en matière de sémiologie, il en va de même car tout est pensé jusqu'au moindre détail...des formes arrondies dans les univers féminins, en passant par la froideur et les droitures de l'univers d'Harold, l'ambiance cosy liée à l'univers d'Hoffman et cet univers divin de.notre narratrice. Les couleurs, évidemment, jouent parfaitement leur rôle... Encore faut-il pouvoir les déchiffrer ! Pour l'avoir testé, je vous le conseille si vous aussi vous enseignez la sémiologie du cinéma, ce film est un véritable cas d'école !
L'ambiance de ce film est homogène et surprenante à la fois on va de surprise en surprise
! Je jeu des acteurs est plus qu'honnête, il est généreux !
On passe donc un excellent moment devant cet ovni cinématographique qui pourrait se classer autant dans la science fiction que dans la comédie où la comédie romantique !
Un véritable bijou qui recèle nombre de trésors plus ou moins évidents ! À voir !!!

Exploitant le thème du roman rejoignant la réalité, un peu à la manière de "L'antre de la folie", "Stranger than Fiction" suscite un vif intérêt initial qui s'avère rapidement n'être qu'un vulgaire feu de paille. En effet, l'intrigue s'enlise rapidement et le spectateur finit par faire comme le héros c'est-à-dire regarder sa montre toutes les 30 secondes. Le quelques effets visuels ne parviennent guère à masquer la vacuité scénaristique. La supercherie devient criante dans les 15 dernières minutes lorsque la montagne accouche finalement d'une souris. Le dénouement ,qui était annoncée comme étant la 8e merveille du monde, s'avère n'être qu'un prout de canari. La déception est du coup à la hauteur des promesses du scénario. Alors que le film avait un potentiel monstrueux, il vire trop vite au médiocre, malgré quelques passages sympas et en dépit d'un Dustin Hoffman truculent.

Une comédie-romance qui manque de panache et de dynamisme. Trop prévisible malgré une idée sympathique et bien ficelé.

Un vrai bon moment que ce film, le scénario est vraiment bien ficelé, les acteurs sont tous bons, dommage que le rythme ai tendance à s étouffer peu à peu car le potentiel est énorme!

"L'incroyable Destin de Harold Crick" est une comédie dramatique Américaine, réalisée par Marc Forster ("Neverland", "Stay", "Quantum of Solace") et sortie en 2007. Le but du film, divertir avec une histoire originale, amusante mais aussi touchante. Mais est-ce réussi ? Ce "L'incroyable destin de Harold Crick" est-il bon ? Commencons par le scénario, plutot originale et enclin à passer un bon moment, un bon point pour commencer. L'interet suit un minimum au début, puis s'éssoufle petit à petit, nottement grace à une histoire d'amour un peu trop classique qui prend une grande importance, on finit par suivre sans vraiment etre à fond. Ca ce veut parfois drole et touchant, le tout reste plutot bien dosé sans exploser non plus dans la comédie et le drame, le tout reste leger. Le script : Harold Crick (Will Ferrell) est un employé du Fisc qui vit une vie normale. Un jour, il commence à entendre une voix dans sa tete, qui raconte toute sa vie et ses gestes, comme si cette voix narrait un roman. Jusqu'au moment ou celle-ci annonce la mort imminante d'Harold, celui-ci va alors chercher à découvrir qui est cette voix. Une mise en scène assez ingénieuse nottement lors des accidents pensés par Emma Thompson. Une réalisation basique.
Le casting dispose de 3-4 acteurs populaires. Le tout est porter par Will Ferrell ("Zoolander", "Austin Powers", "ma sorcière bien-aimée"), celui-ci épaulé par Maggie Gyllenhaal ("Donnie Darko", "40 jours et 40 nuits", "Adaptation"), Emma Thompson ("Judas Kiss", "Junior", "Nanny McPhee"), Dustin Hoffman ("Papillon", "Macadam Cowboy", "les chiens de paille") ou encore Queen Latifah ("Bone collector", "Chicago", "Beauty Shop"). Mais le charisme suit-il ? Commencons par Will Ferrel, globalement l'acteur, sans casser la baraque, remplis son contrat malgrés un jeu un peu mou du genoux, on aurait été plus de punch. Pour Maggie Gyllenhaal reste le seul point fort de l'histoire d'amour banale au possible du film, et sauve un peu tout ca grace à la sympathie qu'elle dégage. La meilleure reste tout de meme Emma Thompson en écrivaine completement possédée par son travail et plutot fragie physiquement et psychologiquement, un bon jeu et un bon role. Dustin Hoffman en professeur de littérature pas du tout inoubliable, dommage pour un si grand acteur. Quand à Queen Latifah, elle reste assez mal exploitée dans l'ensemble et que trés secondaire, dommage que le role ne prenne pas plus d'ampleur. Une bande-son sympathique dans l'ensemble, avec des musiques agréables mais pas inoubliables, encore une fois, la présence d'un thème marquant et propre au film lui aurait donné une vraie identité. Le compositeur ce nomme Brian Reitzell, qui a travaillé sur "CQ", "Virgin Suicides" ou encore "Lost in translation".
Un peu décu par la fin de ce "Harold Crick". Je trouve le tout extremement prévisible, un rebondissement final qui n'aurait pas du avoir lieu, le fait que ce retournement de situation prévisible est eu lieu, cela gache une vraie surprise et fin marquante. Sinon, la scène finale est plutot basique, tout est bien qui finit pas, point barre.
L'ennui ca peut aller, on ressent quelques longueurs de temps à autres à cause d'une histoire d'amour qui vient casser le rythme et le script principal bien plus interessant, un rythme qui en souffre. Donc un rapport durée de film (1h45)/Longueurs pas mauvais, malgrés quelques baisses de rythme.
Que dire finalement de "L'incroyable destin de Harold Crick" ? Une comédie moyenne, gachée par un script à la base interessant et à moitié laissé de coter pour une histoire d'amour basique pas trés interessante, Dustin Hoffman et Queen Latifah trop peut importants et travaillés, une bande-son agréable mais qui manque d'un thème propre à lui, une fin trés prévisible et quelques longueurs. Qu'est ce qui est à sauver ? La prestation d'Emma Thompson, Maggie Gyllenhaal et Will Ferrell, un script de base originale. Malheureusement, on aurait aimer plus de travaille et de profondeur, un scénario qui pousse plus son sujet de base et une vraie identité, ce film manque d'une identité, malgrés tout, il reste vraiment banal et de plus, avec ses mauvais point, moyen. On oubliera vite malgrés les bonnes intentions de certains acteurs. Dommage ...

Jolie surprise que ce film drôle et touchant ! Tout le monde il est beau et gentil et ça fait du bien tiens !

Il commençait bien cet "Incroyable destin de Harold Crick". Le contraire aurait été étonnant du fait que l'idée de départ est excellente. Et les vingt-trente premières minutes, malgré le fait que Will Ferrell ne possède pas un charisme étincelant, laissait penser qu'on aura le droit à une comédie réjouissante jusqu'au bout. Mais quand ça part sur une teinte dramatique, oups... l'ensemble perd considérablement de son sel et retombe dans la plus plate convention hollywoodienne au niveau scénaristique avec une bonne palanquée de bons sentiments. Le fait aussi qu'à partir de ce moment le film impose un rythme languissant n'arrange rien à tout cela. Je me demande ce qu'un grand cinéaste comme Capra aurait pu faire d'un tel sujet ??? Il vaut mieux pas le savoir car c'est pas la peine de se faire du mal avec un grand film qui aurait pu exister.