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    La Gloire de mon Père
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    194 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 décembre 2020
    Âgé de 41 ans en 2020 ce chef d'œuvre est ma madeleine de Proust à tout égard.
    La musique, les images, les dialogues et surtout la retranscription de nôtre belle histoire et France.
    Céline R
    Céline R

    4 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 novembre 2020
    Ce film fait ressurgir tellement d'émotions en moi...je ne me lasse pas de le regarder...la douceur de vivre dans les collines provencales et cet accent si chantant !
    Mafoipourquoipas
    Mafoipourquoipas

    12 abonnés 720 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 novembre 2020
    3,5 étoiles - La gloire de mon père

    Il y a une atmosphère magique dans ce film ... Il y a des voix et des sons ravissants ; des images d'un autre temps qui ont un charme apaisant ; et des paysages lumineux qui respirent la Provence. Certes, le jeu des acteurs n''est pas parfait. Certes, c'est un peu lisse, un peu propre, cela manque de réalisme. Mais, finalement, peu importe et ... peut-être est-ce mieux ainsi, car ce film parle d'enfance et c'est avant tout un souvenir heureux et idéalisé, qui fait écho à notre imaginaire comme la chanson de Charles Trenet, "Douce France ...". Bref, un film qui fait sourire et qui est très apaisant.
    GéDéon
    GéDéon

    92 abonnés 531 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 avril 2023
    En adaptant le roman éponyme de Marcel Pagnol au cinéma, Yves Robert nous propose un film attachant. Les interprètes sont pour la plupart inconnus du grand écran, d’ailleurs aucun des trois enfants présents ne poursuivra une carrière d’acteur. Toutefois, ils offrent une partition sans faute, accordée avec l’accent de Provence. Pour nous guider dans l’histoire, la voix-off de Jean-Pierre Darras apporte les explications nécessaires avec une pointe d’humour pagnolesque. Au-delà de ses quatre nominations aux César, « La gloire de mon père » a été le meilleur film français au box-office de 1990. Bref, une œuvre nostalgique dans laquelle résonne le chant des grillons.
    Fred B.
    Fred B.

    11 abonnés 705 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 avril 2020
    Vu le 14/04/2020.
    La Gloire de mon Père, c’est un film qui compte dans l'histoire du cinéma français comme d'ailleurs son frère jumeau "Le Château de ma Mère".
    Fils d'un instituteur marseillais, Marcel Pagnol passe ses premières années dans le monde de l'école où il se montre naturellement bon élève. Jeune adolescent, durant les grandes vacances de l'été 1904, il découvre les garrigues environnant Marseille et le Garlaban, auxquels il restera attaché toute sa vie. La vieille bastide louée par la famille devient le centre d'une sorte de paradis peuplé de personnages pittoresques dont Lili des Bellons, un jeune paysan qui deviendra son ami et l'initiera aux mystères des collines. Son père et son oncle s'adonnent à la chasse et c'est un exploit de chasseur, un doublé de bartavelles, qui deviendra la gloire de son père.
    Le film est très proche du duo de films "Jean de Florette - Manon des Sources", on y retrouve l'esprit du sud, des garrigues, le soleil, les cigales et l'accent marseillais, bref du Pagnol dans toute sa splendeur.
    Mais contrairement aux 2 films de 1986, celui-là est beaucoup plus tendre et beaucoup plus naïf. Pas un personnage ici pour faire un coup tordu (comme le Papet ou Ugolin) mais la joie et la naïveté d'un Marcel qui découvre l'amour des collines. Curieux que l'acteur qui joue Marcel (Julien Ciamaca) n'ait pas poursuivi sa carrière après ce duo à succès, il avait quand même un vrai talent qui restera inexploité.
    A noter également la présence puissante du duo Joseph-Augustine (Philippe Caubert et Nathalie Roussel). J'ai d'ailleurs eu un vrai coup de cœur pour la beauté naturelle de cette dernière, (34 ans à l'époque du film) mais qui sans être une pin-up dégage un charisme et un charme qui ne laisse pas indifférent. Un autre coup de cœur pour le jeune frère de Marcel, Paul, joué par Victorien Delamare. Lui a aussi a eu une carrière très courte mais ce jeune garçon m'a vraiment enthousiasmé par ces répliques et ces tirades très à propos. 7 ans à l'époque mais une verve peu commune.
    La Gloire de mon Père est un film qui nous parle du bonheur simple, de la famille, de l'opposition tout en respect entre laïcité et religion (oncle Jules), de la nature, il nous rappelle aussi un temps où télévision, internet, et consoles de jeux ne venaient pas forcément polluer notre vie commune et où les gens n'étaient pas moins heureux (et sans doute plus...)
    Y Leca
    Y Leca

    34 abonnés 1 010 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 avril 2020
    Très fidèle au livre de Pagnol. Bons acteurs, belle reconstitution, beaux paysages. Tout y est, nostalgie incluse.
    chrischambers86
    chrischambers86

    14 069 abonnés 12 481 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 avril 2020
    Les souvenirs d'enfance en Provence! L'univers ensoleillè de Marcel Pagnol, filmè par Yves Robert. "La gloire de mon père" est un film nostalgique! L'ambiance chaleureuse de la garrigue, les cigales, les lapins, les bartavelles et la musique de Vladimir Cosma! Le rèalisateur de "La guerre des boutons" sait faire monter la douceur d'un souvenir en tirant le meilleur parti de son dècor naturel et des visages de Philippe Caubère et Nathalie Roussel! Ce sont les 400 coups, la recherche du temps perdu et les expèriences passèes qui passionnent Yves Robert! Ne surpasse pas cependant le très èmouvant "Le château de ma mère", sorti en salle en 1990 à quelques mois d'intervalle du premier volet! Dèjà un classique...
    Mathan-Ancalimon
    Mathan-Ancalimon

    2 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 décembre 2019
    C'est beau, simple. On y voit les couleurs de la Provence : le bleu, le jaune orangé, le vert, ... on y entend les chants : le vent, les cours d'eau, et LES CYGALES...
    Les joies du quotidien, des plaisirs simples... ce film est beau, simple mais beau.
    Stephenballade
    Stephenballade

    405 abonnés 1 239 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 novembre 2019
    Aaaaah les romans de Marcel Pagnol ! Lui savait conter sa Provence natale ! Sa prose permettait au lecteur de presque sentir les senteurs des champs de lavande, d’humer les bonnes odeurs des plantes aromatiques, d’être bercé par l’accent du sud… et d’entendre le chant des cigales. Ben tiens, ça tombe bien, c’est justement sous le chant des cigales que s’ouvre le générique de "La gloire de mon père", adaptation cinématographique du roman éponyme de l’enfant d’Aubagne. Ce film est plaisant dans son ensemble, mais ce n’est selon moi la meilleure adaptation qui ait été faite. Pourtant, c’est la première fois que le 7ème art s’attaque au premier volet des « Souvenirs d’enfance », déclinés non pas en trois mais quatre volumes. La première surprise réside en la personne venue occuper le fauteuil du réalisateur : Yves Robert. Lui qui s’était surtout illustré dans la comédie, le voir ici à la baguette était pour ainsi dire impossible à prévoir. D’autant que le challenge était de taille à relever, surtout après le passage quatre ans plus tôt de Claude Berri avec son diptyque "Jean de Florette" et "Manon des sources", autres adaptations des romans de Pagnol. Le style est différent. Forcément, les « Souvenirs d’enfance » est sans doute l’œuvre la plus personnelle de l’écrivain, puisque ces écrits ne sont ni plus ni moins qu’une œuvre autobiographique. En cela, on retrouve dans le film cette marque personnelle grâce à la narration en voix off du jeune Marcel. Yves Robert a essayé de retranscrire à l’écran tout ce qui a pu fasciner le jeune Marcel, jusqu’à l’en faire tomber amoureux : la garrigue (constituée par les grands espaces arides et escarpés), le chant des cigales, les oiseaux… Il s’est également efforcé de retranscrire au mieux la nostalgie d’une époque révolue, l’admiration que le futur auteur avait envers son père, avec toute l’émotion qui allait de pair. Malheureusement, l’émotion ne parvient pas à sortir de l’écran pour submerger le spectateur, et ce en dépit du respect quasi chirurgical de l’œuvre littéraire. Les différents plans effectués sur la nature ont beau avoir été réussis, il manque ce petit quelque chose d’indéfinissable qui aurait pu donner au film toute la puissance émotionnelle des écrits. Autrement dit, Yves Robert a échoué là où Claude Berri a réussi. Nous avons pourtant des personnages hauts en couleur et criants de vérité : je pense au brocanteur (Jean Rougerie), au facteur (Michel Modo), et à François (Pierre Maguelon). D’ailleurs, vous demanderez à ce dernier comment voit un aveugle qui met des lunettes de soleil : trop drôle ! Ah ces expressions imagées marseillaises. Personnellement, j’adore ! J’en suis friand et je trouve même qu’il n’y en a pas assez. Pour une partie du casting, mon avis est que c’est un peu surjoué : à commencer par Philippe Caubère dans la peau du père de Marcel. De même que Didier Pain dans le rôle de l’oncle Jules. Encore que je l’ai trouvé nettement plus à son avantage dès que tout ce petit monde s’est retrouvé réuni en vacances pour un séjour inoubliable (surtout pour Marcel). Mais au moins, l’oncle Jules et Joseph Pagnol nous ont offert auparavant une confrontation savoureuse qui nous promettait quelques menues étincelles… restées en l’état. A côté de ça, d’autres personnages auraient pu être plus emblématiques qu’ils ne le sont : cette fois je pense à Edmond des papillons dit « Mond des Parpaillouns » interprété par Paul Crauchet, ou à Lili des Bellons joué par Joris Molinas. Comme pour preuve de ce manque de conviction, on ne retrouvera ce dernier que dans la suite donnée, à savoir le "Le château de ma mère". "La gloire de mon père" n’en demeure pas moins une œuvre assez agréable à suivre, mais on est loin de l’excellence des adaptations antérieures, qu’elles datent de quatre ans plus tôt, ou bien plus anciennes encore, notamment avec la bande à Raimu ou Fernandel. A noter aussi quelques petites erreurs, en particulier concernant les cigales : celles-ci ne sont pas si faciles à attraper (il faut déjà les voir, ce qui n'est déjà pas si évident tant elles se confondent avec le décor), et je doute qu’elles se mettent à chanter quand elles sont enfermées dans une poche. Il faudrait le vérifier dans le roman. Mais reconnaissons tout de même qu’Yves Robert s’en est tiré honorablement. Une chose est sûre, cela m’a donné envie de redécouvrir d'une part l’œuvre littéraire originelle, et le diptyque de Claude Berri d’autre part.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 6 novembre 2019
    Acting,Décor,Ambiance tout y est ces une pépite du cinéma français.A voir absolument,cette œuvre est fide au livre de Marcel Pagnol.
    Iris I.
    Iris I.

    6 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 avril 2019
    Que ce soit "La Gloire de mon père" ou "Le château de ma mère", chef d’œuvre absolu pour le diptyque. Déjà, les personnages sont super bien choisis. Chacun dans son rôle est parfait : du jeune Marcel, à Joseph, père instituteur laïque, Augustine lumineuse, telle que Marcel pouvait la décrire dans ses livres, l'oncle Jules qui roule les "R" avec délectation, truculent à souhait, Lili le frère de cœur de Marcel, Isabelle, premier amour de Marcel. Les paysages de la garrigue sont merveilleux, ces deux films respirent le le bonheur absolu, le bruit des cigales. Yves Robert a réussi son pari qui est de garder l'esprit des deux livres, et une des choses les plus difficiles, de parler du bonheur de l'enfance. Un diptyque sans drame; un drame qui est juste effleuré à la fin du Château de ma mère, mais juste suggéré (pas besoin d'en faire des caisses) avec la mort de cette dernière, la mort de Paul et celle de Lili. Cette parenthèse de la fin montre cette idée que le bonheur est une chose fragile. Deux films à voir et revoir sans modération. Très peu de films adaptés sont des réussites par rapport aux livres d'origine. Et bien ces deux là sont plus qu'à la hauteur.
    Mathieu B.
    Mathieu B.

    32 abonnés 766 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 octobre 2018
    Une petite madelaine de Proust ! J’ai vu ce film plusieurs fois étant gamin et il m’a fait rêver ! Je l’ai revu hier et c’était un vrai régal de me retrouver plongé dans les superbes paysages de garrigue d’Aubagne, en compagnie de Lili, ce garçon qui va faire découvrir à Marcel les joies de la vie à la campagne. Et puis c’est tellement bien écrit, et cette captivante voix narrative, ces accents chantants, ces attitudes théâtrales, cette époque où tout était plus simple, plus lent, plus authentique. Un petit bonheur simple, à déguster régulièrement.
    mx13
    mx13

    250 abonnés 1 918 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 octobre 2018
    Proche de Jean de florette et de Marius, une bonne adaptation du roman parue en 1990. Film sympathique et qui nous immerge dans cette vieille et belle époque. On filme parfaitement la Provence. Je le déconseille aux moins de 7 ans. 3/5
    Redzing
    Redzing

    1 161 abonnés 4 502 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 octobre 2018
    Yves Robert a réalisé deux films sur la jeunesse de Marcel Pagnol, tout deux sortis en 1990 et adaptés de romans de Pagnol lui-même. Premier du diptyque, "La Gloire de Mon Père", évoquant les premières années d'école du jeune Marcel, la naissance de ses frères & sœurs, et ses inoubliables vacances au fin fond de la campagne provençal. Outre le cadre idyllique (fort bien reconstitué au passage !) et les accents chantant des personnages, le film se révèle fort attachant, grâce à des personnages haut en couleur et bonhommes. En particulier, le jeune Marcel (touchant Julien Ciamaca), curieux, avide de lecture et d'aventure, et son père (amusant Philippe Caubère), enseignant citadin, cultivé, politisé, anti-religieux, et moraliste à très bon fond, qui sa se retrouver confronté à ses propres valeurs en pleine campagne. Ceci donnera lieu à des situations décrites avec humour, nostalgie et tendresse, mais aussi une certaine intelligence qui est devenue trop rare dans le cinéma populaire.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 septembre 2018
    Très bon film sur l'enfance de Marcel Pagnol la bastide neuve la garrigue le tahoume tête rouge film très émouvant a voir pour les petits et les grands.
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