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    A la poursuite d'Octobre rouge
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    237 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 janvier 2007
    Un excellent film sur la guerre navale (et plus particulièrement sous-marine), doublé d'une tension psychologique de tous les instants.
    Les acteurs, Sean Connery et Sam Neil en tête, comme à leur habitude, livrent une interprétation remarquable et sans la moindre fausse note, aux côtés d'autres comédiens bien impliqués dans leurs rôles.
    La réalisation est très soignée, les plans somptueux, la trame immersive et le tout fonctionne à merveille, même des années après sa sortie.
    Un film à conseiller à tous les amateurs du genre et qui les ravira sans le moindre mal.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 mai 2009
    Un excellent thriller sub-aquatique. Comme d'habitude, Sean Connery est excellent. Les autres acteurs sont tous très bon, les dialogues sont toujours très juste, jamais trop long ou inutiles.
    La musique elle est magnifique, avec ses choeurs très "soviet". D'ailleurs le thème principal du film est l'hymne de la flotte russe. La mise en scène est parfaite, et l'intérieur des sous marin, ainsi que leur pilotage, est présenté d'une manière très réaliste. C'est beau, prenant, sans temps mort, et le duel final entre l'Octobre Rouge et le sous marin Alpha est tout simplement grandiose.
    Bref, un grand moment de cinéma, et un classique incontournable du film d'espionnage/ guerre de la guerre froide.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 octobre 2006
    Un excellent film d’espionnage relatant un évènement se déroulant durant la guerre froide. Même si l’histoire tirée du roman de T.Clancy, n’est pas véridique comme l’affirment les autorités américaines et russes, elle montre bien toute la tension qu’il pouvait y avoir durant cette période et l’espionnage des activités sous-marines russes par les sous-marins américains. Le réalisateur J.McTiernan signe un film parfait où l’action est appuyée par un suspense omniprésent, une mise en scène magistrale et réaliste, une belle bande sonore et des scènes sous-marines qui rendent encore plus crédibles cette histoire. Bien sur, n’oublions pas les acteurs qui sont formidables à l’image d’un S.Connery impeccable dans le rôle du commandant M.Ramius. Je prends énormément de plaisir à voir et à revoir ce film, je ne m’en lasse jamais. « A la poursuite d’Octobre Rouge » est un excellent divertissement qui représente pour le moment la référence en matière de film sur les sous-marins. Un incontournable donc à ne pas manquer pour les amateurs du genre. Encore bravo à son réalisateur. 4 étoiles ne sont qu’un minimum pour ce petit chef d’œuvre du cinéma d’espionnage en version sous-marine.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Un très grand film, dont on parlera très longtemps, bien qu'il ait pris quelques rides !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Excellent film tiré du roman de Tom Clancy, l'un des maîtres du genre. A l'image de Sean Connery, les acteurs jouent très bien et la musique est magnifique.
    Redzing
    Redzing

    1 112 abonnés 4 468 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 décembre 2018
    En 1984, un sous-marin nucléaire russe lanceur d'engins, à la pointe de la technologie, se rue vers les USA. Alors que le gouvernement américain craint d'avoir affaire à un fou, un analyste de la CIA tentera de prouver que le commandant russe cherche en fait à passer à l'Ouest. Première aventure de Jack Ryan adaptée au cinéma, "The Hunt for Red October" est surtout un mélange très documenté de thriller politique, de film d'action, d'espionnage et de combats nautiques. Le film bénéficie d'un scénario particulièrement intelligent et sans temps mort, exploitant à merveille l'ambiance de la guerre froide dans la marine et dans les hautes sphères militaires. Sans compter une mise en scène inspirée signée John McTiernan, un montage visuel très efficace (alternant habilement intérieur et extérieur des sous-marins, jouant avec le confinement...), un montage sonore de très bonne qualité, et une belle BO de Basil Poledouris. Convaincant en analyste de la CIA impliqué mais quelques peu dépassé, Alec Baldwin se fait sans mal voler la vedette par Sean Connery, impérial en officier vétéran respecté et rusé. On notera également de très bons seconds rôles, dont Sam Neill et Scott Glenn. Au final, si "Das Boot" est le meilleur film de sous-marins sur la Second Guerre Mondiale, "The Hunt for Red October" est certainement le meilleur film de sous-marin sur la période moderne.
    gibraltar
    gibraltar

    26 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Ce film est un excellent film d'espionnage et qui traite d'un sujet pas évident qu'est le passage à l'ouest sans pour autant tomber dans la caricature.Sean Connery est comme toujours remarquable Alec Baldwin est très bon aussi.Le suspense nous tient en haleine jusqu'à la fin.
    ECh94
    ECh94

    21 abonnés 115 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Excellent film d’espionnage !! Le techno-thriller de Tom Clancy est rendu avec la maestria qui caractérise toute réalisation de J.McTiernan et avec une très grande fidélité par rapport au roman. Celui-ci est allégé juste de ce qu’il faut pour conserver tout l’intérêt de l’intrigue et donner au film le relief et le rythme nécessaires. L’histoire est absolument passionnante. Le réalisateur maintient d’un bout à l’autre du film un suspense à couper le souffle. Les scènes d’action, notamment de poursuites au fond des mers, sont fantastiques, rendues avec un réalisme époustouflant et magnifiées par une musique fortement teintée de chant des chœurs de l’Armée Rouge. La photographie nous offre des plans saisissants de réalisme rendant parfaitement l’ambiance vécue dans les différents univers clos propre à chaque bâtiment. J.McTiernan restitue parfaitement la tension palpable des différents protagonistes au cours de ce bras de fer. Les acteurs sont tous excellents. Sean Connery est, comme à son habitude, magistral à tel point que l’on pourrait croire que le personnage qu’il incarne a été créé sur mesure pour lui seul. Alec Baldwin et Scott Glenn sont très bons et très convaincants dans leurs rôles respectifs. Sam Neill, comme toujours, est formidable et joue juste, donnant une grande authenticité à son personnage d’officier en second dévoué. Ce chef-d’œuvre de suspense qui est à la frontière d’un film d’action est une référence dans la catégorie des films d’espionnage.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Certainement la meilleure des quatre adaptations des romans de Clancy. Les acteurs sont parfaits, le suspense est présent du début à la fin. Vraiment EXCELLENT.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Après les désormais mythiques Predator et Piege de cristal, John McTiernan cartonnait à nouveau avec cette première adaptation d'un roman de Tom Clancy qui devient instantanément une référence du film de sous-marin. Grace à son brillant casting qui aura offert le succès à Alec Baldwin avec le rôle de Jack Ryan (qu'il perdra quelques années plus tard avec le bide du pourtant réussi The shadow), mais aussi avec les prestations excellentes de Sean Connery, Scott Glenn et Sam Neil, le scénario est également excellent, très bien construit et qui garde un incroyable suspense jusqu'a la fin, mais surtout l'autre raison de la réussite du film de McTiernan c'est bien sur McTiernan, dont la mise en scène est un modèle du genre, le découpage, les cadrages et mouvements de caméra sont tout simplement déments de précision et il filme superbement quelques morceaux de bravoure spectaculaires. Mais même avec des films comme celui la on considère encore John McTiernan comme un simple faiseur, ce qui m'énerve.
    lillois
    lillois

    100 abonnés 454 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 novembre 2010
    "A la poursuite d'Octobre Rouge" est sorti en salle alors que le Monde sortait de la Guerre Froide, mais le roman de Clancy fut écrit avant la fin de celle-ci. Ce n'est donc pas une surprise de voir l'antipathie manifestée envers les Russes dans ce film.
    Replongé dans ce contexte international tendu, le spectateur en est quitte pour 2 bonnes heures d'attention soutenue, car "A la poursuite d'Octobre Rouge" est captivant. Sean Connery est magistral.
    Bien qu'ayant un petit air de propagande pro-américaine, il s'agit là d'un très bon film d'espionnage.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 328 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 mai 2021
    « Si vous ne me faites pas monter à bord de ce sous-marin, ça ne va pas tarder à être la guerre ! »
    Je devais avoir douze ou treize ans à l'époque.
    C'était au moins la soixante-dixième fois que j'entendais cette réplique déclamée par Alec Baldwin incarnant l'intrépide personnage de Tom Clancy - le fameux Jack Ryan - et pour la première fois celle-ci m'interpellait enfin.
    « Non mais attends deux secondes, me disais-je. Depuis le début de ce film je vois des sous-marins se tirer la bourre, des portes-avions déployés en état d'alerte, des Etats-majors réunis et à cran... Mais ce n'est pas déjà la guerre ? »
    Sous mes yeux ébahis je venais de découvrir le principe même d'une guerre froide.
    ...Et aujourd'hui encore, j'ai beau être enseignant d'Histoire et un explorateur certain du septième art, je n'arrive toujours pas à voir de meilleurs films que celui-là pour retranscrire et résumer cette incroyable partie d'échecs que fut la guerre froide que ce sont menés les Etats-Unis d'Amérique et l'Union des Républiques Socialistes et Soviétiques.

    Alors forcément, avec tout ce que je viens déjà de vous dire, vous devez certainement être en attente de quelques précisions.
    Tout d'abord vous devez vous demander à quel point j'ai pu exagérer mon nombre de visionnages de ce film. En toute honnêteté je l'ignore - et je pense même sincèrement que je le minore - car ayant découvert ce film vers l'âge de mes dix ans - et ayant été totalement fasciné par lui - il faut savoir que chaque mercredi, pendant que mes camarades de classe regardaient le Club Dorothée, moi je me revoyais "À la poursuite d'Octobre rouge" en intégralité.
    Et si je me permets de vous livrer cette anecdote c'est d'une part pour que vous flippiez tous à l'idée que l’État ait décidé depuis de confier des enfants à quelqu'un comme moi, et d'autres part aussi pour vous dire à quel point ce film - avant d'être un chef d’œuvre sur la Guerre froide - est aussi et avant tout un chef d’œuvre de cinéma tout court.
    Car pour qu'un film réussisse tout aussi bien à captiver un gamin de dix ans qu'un cinéphile adulte qui a depuis bien baroudé, c'est qu'en termes de septième art il sait aussi se poser là.

    Il suffit d'ailleurs de (re)voir la seule scène d'introduction de ce film pour se rappeler qui est John McTiernan et pourquoi cet auteur est à classer parmi les plus grands cinéastes du XXe siècle.
    Ouverture en fondu. Découverte d'un paysage froid et hostile. Des montagnes enneigées au pied d'un lac aux couleurs ternes.
    Le plan pannote de gauche à droite.
    En contrechamp le regard plissé de Sean Connery observe, l'oeil grave.
    Nouveau contrechamp. D'autres montagnes gelées mais ce coup-ci avec un panning droite-gauche.
    On comprend dès lors qu'on est au milieu d'un lac gelé.
    Le contrechamp sur le regard de Sean Connery se desserre.
    A côté de lui Sam Neil regardant au loin, avec des jumelles.
    « Ce matin est bien froid, commandant.
    - Oui. Froid... Et rude. »
    Sean Connery nous apparait dès lors comme le capitaine d'un fier bateau.
    Juste à côté de lui un vieux chalutier à vapeur part aussi en mer.
    Ce dernier sonne d'ailleurs au loin, comme pour saluer cet autre loup de mer qui prend le large.
    L'horizon se dégage.
    Le bateau sur lequel Connery et Neil se trouvent n'est en fait pas sur un lac, mais dans une rade qu'il s'apprête à quitter.
    La caméra pannote sur l'horizon et laisse deviner deux bateaux militaires aux devants, en escorte.
    Neil, jusqu'alors de profil, se retourne en direction de l'objectif. Apparaît soudain sur sa chapka les insignes de la marine soviétique.
    « C'est le moment, commandant.
    - Oui le moment... Le moment de vérité. »
    Le plan s'élargit. On découvre alors que ceux qu'on n'avait jusqu'à présent pris pour deux vieux loups de mer sur un bateau de pêcheur sont en fait au sommet d'un immense massif de sous-marin nucléaire lanceur d'engin.
    Les coeurs de l'armée rouge montent dès lors en intensité, appuyés par les puissants cuivres de Basile Poulidoris.
    Et tandis que la caméra longe l'immense vaisseau à fleur d'eau afin de donner toute l'ampleur de sa dimension, la musique monte jusqu'à ce que l'image se perde dans l'immensité du sombre massif.
    Le titre apparaît en cyrillique avant qu'une vague le traduise en anglais.
    "Hunt for the Red October"...
    ...Et la partition ne fait alors que commencer, sans aucune faute jusqu'à la dernière.

    Cette introduction elle pose tout ce qui va faire la force dévastatrice de ce film.
    Elle dit beaucoup de choses rapidement. Et pour les dire rapidement elle passe par des sous-entendus, des l'implicites, des sensations pour mieux ne pas avoir à s'attarder.
    Le béotien ne voit dans cette introduction que des Russes partir en mer avec un immense sous-marin.
    Mais celui qui connaît déjà ce film par contre se rendra vite compte qu'on vient déjà de lui poser toute une histoire et un univers.
    Oui, avant d'être des sous-mariniers, les personnages de Ramius et de Vassily sont des vieux loups de mer. Leur lutte et leur art s'inscrivent dans la plus pure tradition de la longue histoire de la marine, comme le suggère d'ailleurs ce tableau représentant des galions au combat, présent seulement quelques plans plus tard.
    Et pour chaque commentaire anodin de Vassily qui ne sait pas encore ce que trame vraiment ce départ, Ramius - qui lui sait déjà - apporte le complément nécessaire.
    Ce matin n'est pas seulement froid. Il est aussi rude.
    Quant au moment de partir, il n'est pas qu'un simple moment.
    Il est le moment de vérité.

    C'est là l'indéniable et première grande force de ce film : il n'est pas qu'un banal spectacle où des sous-marins vont se confronter - ce que son successeur "USS Alabama" ne comprendra d'ailleurs pas - il est au contraire un film qui inscrit toute cette lutte dans un ensemble plus grand, plus global, plus absolu.
    Ce film, c'est un ensemble de pièces qu'on déplace et qu'on déploie.
    C'est une multitude de coups de bourre et de coups de bluff.
    C'est une partie d'échecs dans laquelle sitôt engage-t-on le roi adverse qu'on expose le sien.
    ...Une partie d'échecs où cependant la Reine rouge joue sa propre partie, l'enjeu étant de savoir si le roi blanc le comprendra avec suffisamment de promptitude.

    Ainsi tout ce film se bâtit-il davantage comme un film de suspense plutôt que comme un film d'action.
    On passe son temps à exposer et expliquer les pièces et les stratèges.
    Les coups possibles et les changements soudain de règles.
    Tout ça en nous rappellant bien que de cette partie qui est jouée dépend le sort du monde entier.

    Pas un moment n'est perdu pour rappeler la puissance des machines engagées, la grandeur des colosses mythologiques mobilisés dans cette guerre surdimensionnée, et surtout la portée tragique que pourrait coûter chaque erreur.
    ...Et pourtant - malgré la majesté de l'affaire - le sort a donc voulu que cette guerre - la plus grande de toutes - soit cachée aux yeux de tous.
    ...Une guerre sous la surface des océans.
    Sans témoin.
    Sans image.

    Or la Guerre froide c'est justement ça.
    Une guerre où la survie de l'humanité n'a tenu qu'à la capacité des deux camps à ne pas faire d'erreur.
    Mais une guerre malgré tout invisible, ce qui la rend d'autant plus terrifiante et fascinante.
    Et cet "Octobre rouge" parvient justement à s'appuyer comme jamais sur cette idée afin d'incarner à lui seul l'essence même de ce conflit.
    Dans "Octobre rouge" on gagne tant qu'on ne perd pas. On ne perd pas tant qu'on ne combat pas, à condition malgré tout de ne pas fuir les confrontations qui se présentent à nous.
    Ne pas chercher à frapper mais être prêt à riposter au cas où...
    Et comble donc de cette guerre invisible c'est que celle-ci est menée cachée de tous, y compris de ses principaux acteurs.
    Combattre sous la mer c'est combattre avec un bandeau sur les yeux. On porte la mort avec soi sans rien voir de où on va et de qui nous entoure.
    Alors il faut apprendre à écouter, à se taire, à déjouer, à bluffer...

    De là "Octobre rouge" parvient-il à transformer cette terreur propre à la Guerre froide en une terreur sensible de cinéma.
    Le spectateur ne voit pas ce qui se passe. Il est pendu à des instruments de contrôle qu'il ne comprend pas. A des cartes qu'il ne sait pas lire. A un jargon qu'il ne sait pas déchiffrer.
    Alors il imagine terrifié ce qui se passe de l'autre côté de la coque.
    Il a une sueur froide qui lui coule dans le dos quand on lui signale un contact sonar.
    Il retient son souffle quand on lui annonce un "Ivan le fou"...

    Au final ce film réalise cet exploit de faire guerre.
    Ce film EST la Guerre froide dans toute son essence.
    Une longue partie d'échecs où pour gagner il a juste suffi de guider convenablement dans les ténèbres des anges de la mort porteurs d'apocalypse.

    Lors d'un intense moment en suspension au milieu du film, le commandant Marco Ramius dira ceci :
    « Nous faisons une guerre qui n'a laissé derrière elle aucune bataille ni aucun monument. Rien que des victimes. »
    Cette phrase résume au fond tout le coeur du propos.
    Ce n'était pas vraiment une guerre et pourtant elle a fait des victimes.
    Il n'y a pas eu de bataille et pourtant on n'y a déployé les plus grandes forces armées jamais constituées.
    Ce n'était pas une guerre, mais c'était justement parce que "ça ne va pas tarder à être la guerre" qu'elle était si palpitante et fascinante à la fois.

    C'est ce qu'est cet "À la poursuite d'Octobre rouge" : un film palpitant et fascinant à la fois.
    Remarquablement limpide pour être vu par un enfant de dix ans mais en même temps intensément complexe dans ce qu'il dit et dévoile pour encore captiver aujourd'hui un cinéphile devenu professeur d'Histoire.
    L'an dernier d'ailleurs je le faisais encore découvrir à quelqu'un de cher - un énième visionnage donc pour moi - et à la fin on était pourtant tous les deux dans le même état.
    Ce film, je crois que je ne m'en lasserai jamais.

    Alors oui, forcément je ne peux que vous inciter - si ce n'est pas déjà fait - à oser voir cet invisible...
    ...Et à comprendre comment ce film est parvenu à brillamment raconter une guerre qui n'a fait que "ne pas tarder..."
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