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J'ai visionné Nitabou deux fois en VOSTFR, que dire à part qu'il est simple, beau et émouvant. Sans doute le scénario est assez plat, ne donne pas à réfléchir, peut-être parce qu’il est beaucoup plus destiné aux enfants quoi que ! Aussi le dialogue est très simpliste et surtout répétitif dans pas mal d'occasions. Sinon, la mise en scène tout simplement excellente, les arrières-plans de la campagne japonaise aux quatres saisons sont détaillés, vivants et très bien dessinés, le chara-design assez réussi, l'animation fluide malgré les ratés des éléments en image de synthèse, les voix des seiyuu en japonais sont correctes, mension spéciale à celle de Nitarou adulte et particulièrement celle de son père Santarou, la musique est variée entre Shamisen, Shakuhachi, chansons, piano, orchestrale ... mais très omni-présente à mon gout, mais la plupart des morceaux sont beaux, doux et certains très touchants à en pleurer. Bref une œuvre assez réussie pour une première réalisation et un bon film qui mérite d’être vu.
Nous voici avec l'archétype de ce qui se fait de pire dans les animés japonais : le film musical et le drame historique.
Cumulant les défauts dantesques inhérents à ces deux genres, Nitaboh raconte donc l'enfance malheureuse du jeune Nitaboh, qui après avoir perdu sa mère, son père, la vue, et une amie d'enfance (dans le désordre), va se mettre à jouer du Shamisu (sorte de banjo traditionnel japonais).
C'est tout sauf rock'n'roll !!! Pas de drogue, pas de sexe, pas de succès fulgurant et de déchéance artistique et personnelle comme dans la plupart des biopics musicaux.
Non, seulement un type qui se tait, fait grincer 3 pauvres cordes, au 19ème siècle japonais, pendant 1h30...
Une torture interminable, avis donc aux masochistes et aux éventuels fan hardcore de musique traditionnelle japonaise, ceux-là dégusteront à coup sûr!
Plus jamais ça !
Cumulant les défauts dantesques inhérents à ces deux genres, Nitaboh raconte donc l'enfance malheureuse du jeune Nitaboh, qui après avoir perdu sa mère, son père, la vue, et une amie d'enfance (dans le désordre), va se mettre à jouer du Shamisu (sorte de banjo traditionnel japonais).
C'est tout sauf rock'n'roll !!! Pas de drogue, pas de sexe, pas de succès fulgurant et de déchéance artistique et personnelle comme dans la plupart des biopics musicaux.
Non, seulement un type qui se tait, fait grincer 3 pauvres cordes, au 19ème siècle japonais, pendant 1h30...
Une torture interminable, avis donc aux masochistes et aux éventuels fan hardcore de musique traditionnelle japonaise, ceux-là dégusteront à coup sûr!
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