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Grosse production resplendissante par sa beauté triste et morbide, Les âmes grises est probablement l'un des films français les plus sombres de son époque. D'une noirceur à glacer les sangs allant bien au-delà de la grisaille de son titre. Immanquable, sauf en temps de déprime.
C'est un beau film émouvant, dur et précis dans ses formes, trouble et mystérieux dans ses profondeurs, comme de la glace qui se brise au-dessus d'une eau informe et noire.
(...) Ce film tourné par un maître des éclairages est indiscutablement une oeuvre marquante, dominée par l'interprétation de Jean-Pierre Marielle et Jacques Villeret.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
L'académisme certain de la mise en scène n'enlève rien à la finesse de l'approche. Sans montrer aucune image du front, Angelo rend compte de l'horreur absolue de la guerre.
Il y a quelques différences, à la fin notamment, entre le roman et le film, mais l'on retrouve dans ce dernier, classique dans la forme, troublant sur le fond, la même habileté à mettre en scène des personnages ambigus, ces fameuses " âmes grises ".
Du beau roman sombre de Philippe Clau-del, Yves Angelo a tiré un film un peu moins beau et un peu moins sombre, mais d'une honnêteté scrupuleuse et d'un soin permanent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
(...) non seulement Angelo laisse de marbre alors qu'il cherche au contraire l'effroi et l'intensité (...), mais il devient vite exaspérant par sa propension à s'en enorgueillir quand même, arrogant et refoulé jusqu'au dernier plan.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
(...) malgré les décors soignés, les éclairages impeccables, la seule accumulation des monstruosités et des travers, des catastrophes et des fiascos, finit par constituer une fantasmagorie accablante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Vidé par la froideur d'une image digitale, le récit s'enfonce imperceptiblement dans le cliché du grand-film-du-patrimoine-qui-en-impose-par-sa-gravité. Du lourd donc.
La critique complète est disponible sur le site Score
(..) on y dépasse guère les cadres de la bonne vieille dramatique télé, le temps y dure plus longtemps et, malgré une troupe de haut vol, le spectateur reste de marbre.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
aVoir-aLire.com
Grosse production resplendissante par sa beauté triste et morbide, Les âmes grises est probablement l'un des films français les plus sombres de son époque. D'une noirceur à glacer les sangs allant bien au-delà de la grisaille de son titre. Immanquable, sauf en temps de déprime.
Elle
Le livre avait reçu des lauriers; le film est à sa hauteur.
Le Figaroscope
C'est un beau film émouvant, dur et précis dans ses formes, trouble et mystérieux dans ses profondeurs, comme de la glace qui se brise au-dessus d'une eau informe et noire.
Le Parisien
(...) Ce film tourné par un maître des éclairages est indiscutablement une oeuvre marquante, dominée par l'interprétation de Jean-Pierre Marielle et Jacques Villeret.
MCinéma.com
L'académisme certain de la mise en scène n'enlève rien à la finesse de l'approche. Sans montrer aucune image du front, Angelo rend compte de l'horreur absolue de la guerre.
TéléCinéObs
Il y a quelques différences, à la fin notamment, entre le roman et le film, mais l'on retrouve dans ce dernier, classique dans la forme, troublant sur le fond, la même habileté à mettre en scène des personnages ambigus, ces fameuses " âmes grises ".
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Ouest France
Le tableau est sombre et désabusé, à peine troué de quelques lueurs d'humanité, mais il finit par nous remuer.
Télérama
Du beau roman sombre de Philippe Clau-del, Yves Angelo a tiré un film un peu moins beau et un peu moins sombre, mais d'une honnêteté scrupuleuse et d'un soin permanent.
Cahiers du Cinéma
"Les âmes grises" ressemble à un téléfilm cher ou, mieux, à son tournage (...)
Chronic'art.com
(...) non seulement Angelo laisse de marbre alors qu'il cherche au contraire l'effroi et l'intensité (...), mais il devient vite exaspérant par sa propension à s'en enorgueillir quand même, arrogant et refoulé jusqu'au dernier plan.
Le Monde
(...) malgré les décors soignés, les éclairages impeccables, la seule accumulation des monstruosités et des travers, des catastrophes et des fiascos, finit par constituer une fantasmagorie accablante.
Les Inrockuptibles
Adaptation ratée du roman de Philippe Claudel.
Positif
La caméra enfin est davantage alourdie que portée par les ailes de l'ange. (...)
Première
Les acteurs, indiscutables, font ce qu'ils peuvent, mais le poids des conventions écrase tout.
Score
Vidé par la froideur d'une image digitale, le récit s'enfonce imperceptiblement dans le cliché du grand-film-du-patrimoine-qui-en-impose-par-sa-gravité. Du lourd donc.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
(..) on y dépasse guère les cadres de la bonne vieille dramatique télé, le temps y dure plus longtemps et, malgré une troupe de haut vol, le spectateur reste de marbre.
Zurban
On aurait aimé un souffle, du rythme. Rien ne vient si ce n'est (...) quelques numéros d'acteurs, impressionnants.