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chrischambers86
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3,0
Publiée le 25 avril 2014
Des petits voyous en mal d'argent, la plus belle collection de bijoux d'Europe...Et si c'ètait le casse du siècle ? L'ensemble des joyaux est assurè pour la somme de trois milliards d'anciens Francs! Les dernières statistiques ètablies dèmontrent que le choix d'un lieu pratiquement inaccessible et reconstituè comme un ècrin en plein ciel offre une sècuritè plus grande que n'importe quel autre endroit situè au niveau du sol et même en sous sol! En tout cas y en a pour trois milliards, c'est plutôt bien gardè (système èlectronique, appareil de contrôle, porte blindè) et surtout haut perchè (une tour de 28 ètages). Cette comèdie policière de Roger Pigaut frise tellement la bonne franquette qu'elle en devient dèlectable! Et comme les acteurs sont les premiers à savoir qu'ils ne tournent pas un chef d'oeuvre, il s'amusent! Serge Reggiani et Marcel Bozzuffi notamment, sans parler de Michel Bouquet en vieux garçon avec sa mère autoritaire, Francoise Rosay! Le tout dans un quartier qui sombre lentement, navire à la dèrive au milieu des ruines! Dans ce dèrisoire camp retranchè, Reggiani, Bozzuffi, Bouquet, Fresson et Amidou ne manquent pas d’astuces! Musique sympathique et dialogues de Andrè-Georges Brunelin : « Ce boulot là, ça se fait dans le feutrè, avec un boeuf sur la langue ! »...
Une comédie sans prétention, dirigée par Roger Pigaut, mieux connu comme acteur. Un film qui se laisse voir, et qui est bien servit par une distribution de qualité (Serge Reggiani, Bernard Fresson, Dany Carrel, Michel Bouquet, Marcel Bozzuffi, Françoise Rosay, Amidou). C'est un film que l'on voit avec plaisir! Une bande de ratés, un peu minables mais malins, tente le casse du siècle! Seul reproche, une réalisation un peu figée....
Trois milliards sans ascenseur est une comédie policière qui raconte un casse monté par une bande de potes sympas et un peu losers. Ce n'est pas du tout un grand film mais c'est bien foutu et le casting est de 1er choix, les personnages sont attachants, l'ensemble est dynamique, il y a de l'humour et de la malice dans l'air. Ca se regarde sans s'ennuyer et les acteurs jouent avec entrain ; dommage que Trois milliards sans ascenseur soit tombé dans l'oubli car c'est le type même du cinéma populaire français mais fait avec soin. A signaler une très sympathique B.O. qui accompagne l'ambiance désinvolte de Trois milliards sans ascenseur.
Un petit film bien sympathique venant juste derrière « Compte à Rebours » du même Roger Pigaut qui nous avait transportés dans une toute autre ambiance avec la même bande d’acteurs. Après un petit chef d’œuvre du film noir l’équipe a pris le parti de ne pas se prendre au sérieux avec cette histoire de hold-up abracadabrantesque ayant pour but essentiel de nous montrer une galerie de personnages tous plus attachants les uns que les autres. C’est aussi l’occasion pour Pigaut de mettre en relief tout un Paris qui s’efface sous le béton. Des films comme on en fait plus avec trois francs six sous. Nostalgique et très rafraîchissant. Comme quoi on peut tout se permettre quand on a les acteurs.
Il y a des films qui ne sont pas des chefs d'œuvres mais qui nous touchent, tellement ils inspirent la sympathie. On pouvait s'attendre au pire avec cette bagarre grotesque en ouverture, mais très rapidement le film prend une tournure sympathique, on s'attache à cette bande de bras cassés, à Reggiani habité par son rôle, à Dany Carrel mignonne comme un cœur, à Bouquet avec sa mère abusive, ses chats et qui lit du Konrad, à tous les autres (Bozuffi, Rosay, sans oublier Nike Arrighi, l'espiègle stripteaseuse) seul Fresson reste un peu en retrait. C'est plein d'idées, plein de surprises, plein de nostalgie aussi sur ces vieux quartiers que les promoteurs de tours font disparaître. Une délicieuse friandise.
Une bande de copains désœuvrés, sympathiques et pas très doués, tentent un incroyable hold-up, faire un film..... sans consistance à part d'être un documentaire sur cette banlieue qui a été détruite pour faire pousser La Défense. Un bon casting mais dont personne ne se force.... décevant
de par son casting 3 etoiles, "trois milliards sans ascenseur" permet à cette comédie policière d'être regardable. Le mérite en revient à Marcel Bozuffi, Michel Bouquet, Serge Reggiani, Bernard Fresson, Dany Carrel ou Francoise Rosay. Le scenar lui ne casse pas trois pattes à un canard. Juste sympa. 2.5 / 5
Une bande de copains vivent à la petite semaine en attendant la destruction de leur quartier, ils vont tenter le casse du siècle. Du classique biensûr mais le casting est vraiment sympa et le scénario fonctionne bien même si sur la fin il semble un peu baclé. il y a aussi le contraste entre les personnages, sortes de naufragés sur une île déserte, et les tours en construction qui les encerclent.
L'idée parodique du film est de confronter cinq petits malfrats amateurs ou occasionnels à un cambriolage audacieux. Malgré leur maladresse chronique et une évidente incapacité, ces braves tyves d'une banlieue décrépie projettent le casse du siècle dans une tour...sans ascenseur. Voila pour l'explication du titre. Pour accentuer le décalage entre le projet trop ambitieux et ses modestes artisans, bien trop tendres, le réalisateur généralement passable Roger Pigaut n'hésite pas à charger les personnages. Pour tout dire, c'est l'unique aspect humoristique de ce film insuffisant. Passons sur la tentative effective du cambriolage qui n'est d'aucun intérêt, sans ingéniosité ni suspense. Les lacunes majeures du divertissement tiennent à une mise en scène très terne et à des personnages inaboutis, univoques, dont on fait vite le tour. Des faiblesses qu'on trouvait déjà dans "Compte à rebours" du même Pigaut. L'idée originale de la comédie est bonne mais sa réalisation l'est moins...comme le projet des protagonistes en somme.
De bons artistes, mais un film un peu décevant. Un film qui n’a pas fait date. Le quartier de la défense , un vieux quartier qui disparaît pour laisser la place aux tours et autres constructions modernes. Certaines scènes du film me semblent confuses. La tentative de casse à la tour Nobel s’arrête brusquement par l’explosion du système électronique Montfabert installé par Albert. Or en parallèle le système est testé au café et explose simultanément. Des plans au café et à la tour Nobel s'entrecroisent et on ne sait plus si on est dans le vieux café ou au sommet de la tour. Pierre crie Stop au café juste après l’explosion à la tour , puisque le système électronique est défaillant et qu’il est inutile de continuer . Mais l’explosion avait également eu lieu au café et avait laissé des traces. La caméra avait montré l’explosion à la tour, pas celle au café. Le plan suivant montre Pierre à la tour qui dit "j’ai eu un pressentiment". Ou ça ? Au café il se doutait de la défaillance du système électronique ? A la tour, il a dit stop à Gus qui voulait prendre les bijoux mais à été arrêté par l’explosion ?