Derniers Avis : La Légende de Beowulf - Page 4

Surpris par un film d'animation qui avait poutant tout l'air d'une idiomatique série B.
On suit le destin de Beowulf, guerrier rongé par la culpabilité et maudit avec le royaume qu'il a "volé".
Le scénario est rempli de scènes d'actions épiques, de dramaturgie, et de sang, ce qui nous donne une histoire dark-fantasy resplendissante.
On peut se sentir mitigé face à la réalisation technique de ce long-métrage, mais impossible de trouver ça laid: les personnages sont vivants comme il faut, les décors sont soignés, il n'y a rien à cracher au final.
Si vous voulez un film d'animation adulte bien comme il faut, Beowulf ne peut que vous satisfaire.

Acheté a 3€ en édition Blu-Ray j'ai jamais eu le courage d’insérer le disque dans mon lecteur, un film qui prenait la poussière depuis quelques temps mais j'ai enfin pris mon courage a deux mains et je me suis lancé dans ce film qui ne m'a jamais emballé .
Résultat très mitigé face a ce film qui a des atouts comme de très vilains défauts .

Commençons avec les points négatif , c'est laid , y'a pas a chercher midi a quatorze heure c'est laid, affreux comme le monstre au début du film et ça fait mal au yeux .
La synthèse est super inégal, autant les personnage sont pas mauvais car les physiques ont été reprit sur des acteur connu ( Anthony Hopkins , Angelina Jolie , Ray Windston etc ) , mais le reste est limite une catastrophe .
Le film date de 2007 mais l'animation avait deja 5 ans de retard alors a l'heure actuel c'est encore pire .

J'ai eu l'impression que Robert Zemeckis ne savait pas quoi choisir entre un vrai film avec des acteurs ou alors un film d’animation ? Résultat on semble être coincé entre les deux et le rendu est mauvais . C'est bête car le budget ( 150 000 000 $ ) était propice a un vrai film .
Ensuite c'est clairement un film d'animation qui cible un public assez mature, donc pas pour les enfants, c'est gore et il y a quelques allusion sexuel et même de la nudité ( même si c'est caché ) , mais bon le gore est très moyen c'est dommage .

Ce qui rattrape le film c'est son récit, dans un univers vraiment sympa, de la dark fantasy sombre et violente .
On va suivre la légende Beowulf un homme qui va devenir malgré lui roi et sera rongé par la culpabilité .
Bref une bonne histoire mais une laideur qui détruit le film , le rendu final est donc inégal et très moyen .

La Légendes De Beowulf est l’adaptation d’un conte anglo-saxon dopé au numérique. Le scénario est assez malin, mêlant habilement les exploits du héros nordique avec une réflexion intéressante sur les remords et la fatalité. Zemeckis signe une mise en scène violente et spectaculaire (quitte à en faire un peu trop) qui se marie bien avec l’ambiance épique du film. En revanche, l’utilisation de la « performance capture » génère un esthétisme très particulier auquel je n’adhère pas du tout. Le faux transpire par tous les pores de la pellicule et le photoréalisme est loin d’être atteint.

Il faudra d'abord expliquer quel est l'intérêt de la performance capture. Pour résumer on prend des acteurs et on reproduit leurs expressions de visage le plus fidèlement via la performance capture : ?
Au lieu de laisser les acteurs (ici pas des moindre) faire leur boulot on va copier ce qu'ils font alors qu'on les a sous la main, c'est stupide surtout que ceux là doivent coûter assez cher.
Si le résultat est parfois tellement bluffant qu'il est impossible de distinguer l'image réelle de celle de synthèse, d'autres fois c'est au contraire très facile, autrement dit c'est très moche. Pour bien comprendre ce à quoi il faut s'attendre, il faut imaginer des cinématiques de jeux videos PC du début des années 2000 sur l'écran. La performance capture est donc un point négatif pour le film puisque inutile, tour à tour bluffante ou répugnante. La technologie à tout prix connait ses limites.
Sur le fond, Beowulf la célèbre légende est bien servie par de bons dialogues et un bon rythme. Gloire et remords, monstres et héros, mythologies et légendes.. tout l'arsenal du film héroïque-fantastique est présent. Le film reste captivant puisque à part graphiquement on ne peut rien lui reprocher d'autre et aurait gagné à être tourné en caméra réelles.

Robert Zemeckis est un réalisateur qui ne chôme pas. Fer de lance de l'expérimentation cinématographique dans les années 80 aux côtés de Steven Spielberg et de Joe Dante, il continue d'exploiter des techniques à la pointe du progrès, se faisant désormais premier défenseur du performence capture. Après un magnifique Pole Express très divertissant et procurateur de sensations vertigineuse, il continue son exploration des possibilités de cette technologie en abandonnant cette fois le conte de Noël pour enfant au profit d'une œuvre inspiré de la mythologie nordique beaucoup plus sombre sous ses apparences trompeuses de blockbuster familial...Débutant par une scène d'orgie dans la grande salle du roi Hrothgar, les charpentes de la bâtisses sont immédiatement implantés, esquissant un profil général du ton de l’œuvre : peu conventionnelle, sombre, torturée, remplie de choses peu recommandables aux enfants à commencer par cette surexposition d'ébats en chaleurs dans cette débauche de sexe et d'alcool (ça n'a vraiment rien à voir avec les festins victorieux d'Astérix & Obélix). Ainsi le tableau dressé correspond bien à l'âpre démesure des légendes nordiques, épiques mais sillonnées de travers sous-jacent peu glorieux, endurcies par la glace insoluble des paysages comme des psychologie. Rien n'a été épargné, et c'est tant mieux. Les hauteurs enneigés sont splendides, mais Zemeckis n'hésite pas à les remplir de sang pour respecter les anciens écrits. Les fulgurantes séquences d'actions, réalisés avec une main de maître, se permettant une flopée de plans fracassants les codes habituels de la mise en scène (le carnage de Grendel, où le géant est filmé détruisant tout autour de lui par une caméra virevoltante toujours centrée sur le monstre), sont entrecoupées de scènes très calme, silencieuses et lentes, dont le rythme relève d'une autre époque cinématographique. Une fragile dimension romantique, minimaliste et très douce, est instaurée de la meilleure manière qui soit, seyant parfaitement à ce conte guerrier et sanglant. Par ailleurs, cela permet également à Zemeckis de peaufiner son atmosphère mythique, nous plongeant davantage dans ce monde obscur et dangereux. On entend une bûche craquer, les hommes discutent à voix basses en attendant le démon de la nuit et l'inquiétude règne. L'ambiance moyenâgeuse n'est pas construite seulement à travers de gros décors encombrants, elle l'est aussi par son austérité, sa dureté. La musique d'Alan Silvestri s'inscrit parmi ses meilleurs thèmes, tant il sait jongler entre l'épique lors de l'époustouflant final (un peu l'équivalent du plan-séquence de Bagghar dans Tintin de Spielberg, 5 ans auparavant...) et le mystère dans la grotte. Évoquant de la légende du roi Arthur que nous connaissons tous (l'amour entre Merlin et Vivianne), la mise en avant de la séductrice mortelle qui tue son amant en lui faisant subir une lente agonie éthique donne un caractère infini à cette épopée tragique qui se referme sur un cercle vicieux et éternel. Une conclusion pessimiste qui achève d'élever Beowulf au rang de pur morceau de bravoure sur pellicule, sans concession ni courbette envers quiconque. Les louanges étaient d'autant plus mérités qu'en ces temps où les producteurs et leurs cahiers des charges règnent sur l'industrie cinématographique à gros budget, les films aussi « indépendants » que Beowulf n'existent quasiment pas à l'état de grand spectacle. L'accueil hostile de la part du public était prévisible, on pouvait facilement s'attendre à une réception similaire à celle de Batman Return en 1992 pour les mêmes raisons. Quant à la presse, elle n'a pas apprécié la technique employée de performance capture, qui était encore trop rare, et a pertinemment remarqué la ressemblance agaçante avec un jeux vidéo, chose qui sera désormais inévitable pour la postérité, alors que les accomplissement graphiques vidéo ludiques dépassent déjà les prouesses effectuées en 2007. Cependant, quelques journaux (comme Mad Movies, tiens donc) ont su voir plus loin que le bout de leur nez, plus loin que la forme, certes contestable, mais intéressante, de ce Beowulf, pour en mesurer toute l'ampleur stylistique (la forme artistique du film derrière sa forme purement technique) et le modernisme. Un très grand film, malmené pour le même type d'égards que Bilbo le Hobbit mais à bien plus grande échelle, proportionnelle à une position bien plus extrême sur le fil de l'aiguille, et j'espère sincèrement que les années lui rendront justice.

le film Beowulf de robert zemeckis ( retours vers le futur ) un film d'animation plutôt bien réaliser coté graphisme , avec un scenario moyen qui aurait put être meilleur.. l'histoire d'un héros ou faux héros dirais je qui arrive a faire l'exploit de tuer une vilaine créature ... Tout s'enchaine la gloire, le royaume, la reine.. le style violent et aigri du film restitue l’ambiance de l'époque qui n'étaient pas des tendres....mais la bête qui sommeille dans la montagne ne l'a pas oublier.. un pacte se concrétise (un drôle de parie qui faut l'avouer aurait put être meilleur...) et sonne le glas et le destin de ce faux héros.. un début prometteur avec un milieu et une fin casse cou.. un film qui se regarde mais a la fin on en reste sur notre faim car trop vite expédié..

• Effets spéciaux:6.4/ 10
• Scénario :4/10
• Crédibilité des Acteurs: 5.3 /10
• Bluraythèque: Non

J'ai sèrieusement du mal à comprendre les critiques négatives envers "La légende de Beowulf". Quand j'entends que le scénario est nul ou que c'est moche, ou qu'il n'y a pas de rythme je deviens fou. Comment ne peut on pas voir ici le meilleur film d'héroic fantasy depuis "Le seigneur des anneaux", le cadeau ultime pour les geeks et les fans de fantasy élevé à "Conan le barbare" ? Epique, barbare, bad ass, violent, politiquement incorrect, spectaculaire, "La légende de Beowulf" s'inscrit comme le digne héritier du barbare cimmérien. Visuellement proche des écrits de Howard et de Tolkien, scènes d'actions extrêmement inspiré de la démeusure spectacuaire de "God of war", scénario en bêton armé écrit par Roger Avary, co-auteur de "Pulp Fiction", alliant grand spectacle et personnages pronfonds, racontant les démons et les faiblesses d'un homme, les démons des hommes. "Entre la vértié et la légende, mieux vaut imprimer la légende" c'est la phrase clé du western de John Ford "L'homme qui tua Liberty Valence" et cette phrase colle parfaitement à ce qu'est Beowulf. La mise en scène ultra virtuose en fait certes parfois un peu trop, Zemeckis prenant un plaisir fou avec ses nouveaux jouets, la performance capture étant encore experimental à l'époque. Peu de monde voyait l'intêret de cette technologie, d'ou son échec commercial. A mes yeux, "La légende de Beowulf" représente l'anti "300" en terme de film de barbare. L'un étant involontairement drôle et statique, l'autre bad ass et spectaculaire. Et pour une fois, on a droit à un blockbuster pour adultes et pas pour mioches avec des "Narnias" et compagnie tout pourris. "La légende de Beowulf" a tout d'un classique du genre.

Un bon film de légende, certes pas très recherché et au scenario banal , mais c'est un bon divertissement , à conseiller à tous les fans de skyrim !

La Légende de Beowulf est un film pas terrible mais regardable. Le film adopte la technique de la motion capture qui est très réussi et abouti dans ce film, mais ce film manque d'ambition, il contient de bonnes idées qui sont enveloppés dans le film et qui ne sont jamais utilisés ou correctement exploités, le film manque aussi de rythme pour tomber dans un film fantastique quelques fois à la limite d'une science fiction pataude, le film manque aussi de relief et les personnages sont plats. Reste un film plutôt soignés côté effets spéciaux et qui offre tout de même des scènes spectaculaires, le scénario du film est assez classique mais assez efficace.

Il est agréable de voir enfin un film d'animation qui n'est pas destiné à un jeune public ! En plus d'être très bien fait, il emprunte des légendes, des personnages et des monstres à certaines périodes reconnues de notre histoire, réelles ou non, le tout toujours très sombre et assez complet ! Quelques longueurs peut-être, mais vraiment divertissant et efficace !

Artificiel et sans intérêt, ce film ne fait que narrer les aventures d'un viking dans un scénario vide (il faut INTERPRETER une légende, pas simplement l'illustrer dans des images de synthese ignobles).

Visuellement ça a de la gueule, mais ça s'arrête là

Ce qui frappe d'emblée c'est la laideur visuelle des personnages.
Une image de synthèse convenable dans l'action, plus que dérangeante et manquant d'âme dans les scènes de dialogues.
Dommage, car le scénario, plus mature qu'attendu, aurait mérité pour le coup un film avec de vrais acteurs.

Excellent ,original ,les notes données à ce film me paraîssent particulièrement basse au vu de la qualité du
scénario ,des effets spéciaux et de la réalisation en elle-même .Quant au journal du dimanche ,les Highlanders vous disent bien des choses non publiables sur ce site.
A voir....

un héroic fantasy maitrisé avec de bonnes batailles, pour un public jeune !!!!