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Votre avis sur Sheitan ?
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Des potes sortent d'une soirée, et une aguicheuse leur propose d'aller chez elle, à la campagne. Ils vont vite déchanter...Sheita ets un film mal joué, vincent cassel est investi même s'il n'est pas crédible dans son personnage. Le reste est malsain, gore violent, sexuel,avec des djeun's parisiens qui y comprennent rien à ceux de la campagne,et ceux de la cambrousse qui comprennent rien à la vie citadine, bref un film français quoi! Pas terrible et beurk
Je suis partagé sur ce film.
Je n'ai pas aimé l'image de type DV et l'ambiance stéréotype du banlieusard. Dans, le style, j'ai préféré "Notre jour viendra" du comparse de Kim Shapiro : Romain Gavras, avec aussi Vicent Cassel.
Le thème est lui intéressant et pourrait faire penser, par moment, à du Comes.
Mais le scénario est assez classique.
... un réalisateur à suivre néanmoins
Je n'ai pas aimé l'image de type DV et l'ambiance stéréotype du banlieusard. Dans, le style, j'ai préféré "Notre jour viendra" du comparse de Kim Shapiro : Romain Gavras, avec aussi Vicent Cassel.
Le thème est lui intéressant et pourrait faire penser, par moment, à du Comes.
Mais le scénario est assez classique.
... un réalisateur à suivre néanmoins
Au sortir d’une boite de nuit, cinq personnages (la bourgeoise, le black, la beurette, le noiche et le neuneu) décident de partir à la campagne pour passer le réveillon de noël dans la maison de la bourgeoise. Arrivés là-bas, ils découvrent un gardien aux allures de péquenot psychopathe, et des villageois qu’on croirait échappés de «Délivrance». Encombrée d’un atelier de poupées à mi-chemin entre Chucky et Frankenstein, la maison cache aussi la monstrueuse femme enceinte du gardien.
Sheitan, en arabe-langage branché de técis, c’est Satan. Car c’est le diable qui tire les ficelles de tous ces événements étranges qui s’accélèrent au fur et à mesure que s’approchent les douze coups de minuit. Vincent Cassel a accompagné et défendu ardemment de jeunes réalisateurs français ; certains brillants (Matthieu Kassovitz), d’autres intéressants (Gaspard Noë), d’autres enfin totalement surfaits (Jan Kounen). Il présente Kim Chapiron comme le représentant d’une nouvelle génération. Soit.
Mais s’il bénéficie d’un rythme assez trépidant, «Sheïtan» ne fait que recycler les différents éléments de la «culture» djeune : montage digne d’un clip, cadrage bancal et mouvements de caméra parkinsonien ; vocabulaire de quinze mots («Un truc de ouf» étant le niveau le plus élevé de la métaphore), et préoccupations limitées au cul et au bien-être de son pitt-bull…
Le réalisateur ne joue pas à fond la carte de l’épouvante ; il cherche à ratisser plus large, et fait des incursions dans le porno soft et dans la comédie, dans un registre auquel nous a habitué Besson scénariste («Taxi», «Banlieue 13») ; c’est dire la finesse… Vincent Cassel en fait des tonnes, mais il y prend visiblement plaisir, cherchant du côté de la folie d’un Nicholson. Malheureusement, les autres acteurs ne sont absolument pas dirigés, et encore moins portés par l’insignifiance des dialogues.
Mal foutu, complaisant, souvent prévisible, «Sheïtan» ne trouve furtivement une identité que quand il bascule beaucoup trop tardivement dans l’épouvante, avec un dérapage vaguement lynchien. Tout cela est bien insuffisant pour déceler un futur Peter Jackson.
http://www.critiquesclunysiennes.com/
Sheitan, en arabe-langage branché de técis, c’est Satan. Car c’est le diable qui tire les ficelles de tous ces événements étranges qui s’accélèrent au fur et à mesure que s’approchent les douze coups de minuit. Vincent Cassel a accompagné et défendu ardemment de jeunes réalisateurs français ; certains brillants (Matthieu Kassovitz), d’autres intéressants (Gaspard Noë), d’autres enfin totalement surfaits (Jan Kounen). Il présente Kim Chapiron comme le représentant d’une nouvelle génération. Soit.
Mais s’il bénéficie d’un rythme assez trépidant, «Sheïtan» ne fait que recycler les différents éléments de la «culture» djeune : montage digne d’un clip, cadrage bancal et mouvements de caméra parkinsonien ; vocabulaire de quinze mots («Un truc de ouf» étant le niveau le plus élevé de la métaphore), et préoccupations limitées au cul et au bien-être de son pitt-bull…
Le réalisateur ne joue pas à fond la carte de l’épouvante ; il cherche à ratisser plus large, et fait des incursions dans le porno soft et dans la comédie, dans un registre auquel nous a habitué Besson scénariste («Taxi», «Banlieue 13») ; c’est dire la finesse… Vincent Cassel en fait des tonnes, mais il y prend visiblement plaisir, cherchant du côté de la folie d’un Nicholson. Malheureusement, les autres acteurs ne sont absolument pas dirigés, et encore moins portés par l’insignifiance des dialogues.
Mal foutu, complaisant, souvent prévisible, «Sheïtan» ne trouve furtivement une identité que quand il bascule beaucoup trop tardivement dans l’épouvante, avec un dérapage vaguement lynchien. Tout cela est bien insuffisant pour déceler un futur Peter Jackson.
http://www.critiquesclunysiennes.com/
Après Martyrs, La Meute ou encore La Colline a des Yeux, je continue ma lancée sur l'horreur à la française. Sheitan, donc, est un film assez mauvais. Non que certaines scènes soient malsaines ou dérangeantes (la source ou le lit est vraiment pas mal), mais on fait passer les habitants de la campagne pour des fous qui "baisent" entre eux. Et les citadins comme des civilisés. Outre ce ce détail, je dirai que le début (une heure quand même) est trop léger par rapport aux autres films que j'ai pu voir. Et on ne comprend pas où veut en venir le réalisateur... J'ai rien compris à cette histoire de poupée, d'enfant qui naît à minuit. Vers la dernière demi-heure, il se fait plaisir malgré un manque de soutien de la part des acteurs (que j'ai trouvé insupportable). Le temps passe vite c'est déjà ça.
Banlieusards contre campagnards. Entre inspiration et foutage de gueule. Ni assez drole, ni assez flippant et trop criard. Vincent Cassell réalise une interprétation assez jubilatoire. Le film capte un certain air du temps (enfin pas trop, j'espère..) mais ca n'est pas suffisant pour en faire un bon film. A voir à la rigueur pour l'audace de l"ensemble.
Sur la forme, Sheitan est un film atypique, drôle et grinçant, avec une mise en scène assez originale. En revanche, au niveau du fond, cette énième variation sur le thème de la confrontation des jeunes des banlieues (nécessairement délinquants et mal élevés) à la France profonde (nécessairement diabolique et incestueuse) finit vraiment par être fatigante.
Je l’avais vu il y a 5 ans et l’avais trouvé nul
Je l’ai revisionné hier et ça a un peu évolué
Je trouve que Vincent Cassel surjoue à mort et je comprends pourquoi il a produit ce film, il s’est vraiment fait plaisir ça se ressent
Famille de dégénérés face à une bande de jeunes qui l’est presque autant
L’histoire du Diable rend le film original
Je l’ai revisionné hier et ça a un peu évolué
Je trouve que Vincent Cassel surjoue à mort et je comprends pourquoi il a produit ce film, il s’est vraiment fait plaisir ça se ressent
Famille de dégénérés face à une bande de jeunes qui l’est presque autant
L’histoire du Diable rend le film original
Film d’horreur qui sent bon notre campagne française avec son atmosphère automnale. Bref, l’ensemble a beaucoup de mal à nous faire un semblant de sursaut et on attend, attend, attend que quelques choses se déroulent, surtout quand le film est interdit au -16ans.
Seule la prestation de Vincent Cassel vaut le détour.
Seule la prestation de Vincent Cassel vaut le détour.
Julien D
Un film étrange. Sa première curiosité vient du public auquel il s’adresse, il fut interdit aux moins de 16 ans à sa sortie alors que son humour plaira moins aux spectateurs plus matures. L’autre grande surprise vient de l’horreur promise par la bande annonce alors qu’il ne s’agit que d’une parodie grandguignolesque d’une série Z où s’opposent la jeune génération urbaine multiethnique et un univers rural démoniaque. On attend longtemps la violence puis, quand elle arrive, il se passe n’importe quoi et la fin n’a aucun sens… La prestation de Vincent Cassel mérite toutefois le coup d’œil car il ne rejouera pas avant longtemps dans une telle folie.
Pour une fois la note moyenne des critiques est en rapport avec la réalité film moyen.
Lourd par moment surement volontaire mais trop lourd justement pour être apprécié comme il ce doit. Dans le même style qu'un "la colline à des yeux" mais pas mieux.
Lourd par moment surement volontaire mais trop lourd justement pour être apprécié comme il ce doit. Dans le même style qu'un "la colline à des yeux" mais pas mieux.
Vous aimez les films malsains, gores et un peu bizarre ! Ce film est pour vous!
Vous avez envie de vous taper une belle barre de rire avec vos potes ... il est aussi pour vous ! Cassel est très bon, certains passages sont assez comiques cependant ce n'est certainement un film que l'on pourrait qualifier de "bon".
Vous avez envie de vous taper une belle barre de rire avec vos potes ... il est aussi pour vous ! Cassel est très bon, certains passages sont assez comiques cependant ce n'est certainement un film que l'on pourrait qualifier de "bon".
Cassel est excellent dans son rôle, les autres ne sont pas mal, mais ce n'ai pas ça qui, à mon goût, tire le film vers les haut.... Soit je n'ai rien compris à ce film, soit je suis passé totalement à côté. Les film passe vite, et il faut attendre la fin pour avoir "de l'action". Je n'ai pas ri durant le film, c'est surement pour ça que je ne lui mes que 2/5
Sheitan fait l'effet d'un bon gros mollard craché en pleine tronche, surenchère à tous les niveaux, vulgarité facile, provoc' sympatoche, NTM et j'en passe... Le conte immoral de Kim Chapiron refuse tout compromis, tout bon goût et toute catégorisation : film haïssable en même temps qu'il impressionne Sheitan rappelle les premières réalisations cartoonesques de Jan Kounen par sa caméra dirigée sous amphétamines, sa bande-sonore pétaradante, son Cassel qui en fait des tartines et ses répliques wesh-wesh. Ici tout y passe : un chien tripoté par une nymphomane, une famille redneck que l'on devine incestueuse, des lascars qui pissent de traviole, une maison habitée par une armée de poupées tueuses, du sexe et de la déviance à gogo... On ne se torche plus avec les Cahiers du Cinéma mais l'esprit reste le même : montrer du trash sans raconter grand-chose d'intéressant, juste pour repousser les limites de l'acceptable et creuser l'humanité pour mieux l'enterrer. C'est donc un trip principalement réalisé dans l'optique de choquer le petit pudibond qui sommeille en nous, concept facile, gratuit, mais qui fonctionne très bien dans son registre. Il m'est impossible de dire si j'ai aimé ou pas ce gros machin dégénérescent, toujours est-il que je reconnais la science du rythme dont dispose Kim Chapiron. A noter la très bonne prestation d'Olivier Barthélémy que l'on retrouvera dans le non moins controversé Notre Jour Viendra...
O.V.N.I cinématographique, Sheitan peut se vanter d'un savant mélange des genres, entre comédie noire, thriller brutal et film d'horreur Z. Son atmosphère putride lui confère une originalité certaine. Cependant, on émettra quelques réserves par rapport à un scénario qui tourne rapidement à vide aux effets gore cheap importuns. Le métrage de Chapiron se laisse voir largement, bien plus que sa pitoyable relecture américaine : Mandy Lane.
Sujet classique de la bande de copains perdus dans la nature, ( là c'est une bande de jeunes) et qui devient la proie de ...je ne sais plus qui. Ce gars c'est utiliser une caméra, sûr, et la montée de la tension ne présage rien de bon pour eux, sauf qu'au moment où on devrait avoir franchement peur, ça tombe à l'eau, on décroche complètement, il ne m'a pas eut. Peut-être que c'est trop long au démarrage. Peu angoissant pour un film d'épouvante, mais ça reste prometteur...
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