Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Première
par Mathieu Carratier
Long travellings envoûtants, bonde-son blindée de classiques pop, héros élégants et tragiques dont la réussite n'est qu'un pas de plus vers leur chute... Scorcese n'a pas déménagé à Londres mais c'est tout comme. (...) Vaughn rejoue la partition avec une telle assurance qu'on aurait presque l'impression d'entendre le morceau pour la première fois. C'est ce qu'on appelle la vituosité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Brazil
par Christophe Lemaire
Entre ironie mordante, nihilisme forcené, quête de rédemption, esprit de vengeance et éclair de violence (...), le polar lêché de Matthew Vaughn (...) fait plaisir à voir. Surtout à cause du fascinant Daniel Craig
Ciné Live
par Arnold
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Mad Movies
par Stéphane Moïssakis
Matthew Vaughn a su se démarquer de l'influence embarrassante de Guy Ritchie. Le réalisateur se réclame au contraire de Martin Scorcese, Michael Mann et même David Fincher (...). S'il n'atteint jamais les cimes de ses influences, il optimise cependant l'intrigue tarabiscotée de Layer Cake par un savoir-faire indéniable.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Paris Match
par Alain Spira
Cet excellent thriller est du pur british (...) Flegmatique, totalement immoral, délicieusement cruel, subtilement humoristique, ce film d'action et d'intéractions multiplie les péripéties et les embrouilles, à tel point qu'il faut une certaine vigilance pour ne pas perdre le fil. A noter la présence du réjouissant Colm Meaney au côté d'un Daniel Craig plus "steve mcqueenien" que jamais.
MCinéma.com
par Guillaume Tion
Il y a un peu de tout dans ce Layer cake, malheureusement, si le mélange est assez cohérent, il manque de souffle. L'amateur de scénars mafieux notera l'arrivée des dealers serbes, plutôt efficaces, avec lesquels il faudra désormais compter. A part ça, rien de neuf : du déjà-vu, plaisant à (re)voir, bien fait. Mais sans génie.
Ouest France
par La Rédaction
Le scénario à tiroirs multiplie les allées et venues, la mise en scène s'y promène sans retenir ses effets. Dans la violence notamment. Mais avec une interprétation solide et convaincue. De quoi ouvrir une fenêtre dans le monde du polar, pour faire voir que le cinéma anglais peut y tenir une place originale.
Positif
par Fabien Baumann
Pendant une heure on s'amuse presque des penchants blairiens du sale petit héros dealer et de l'efficacité du sniper serbe, forcement nommé Dragan. Mais le scénario s'offre des rebondissements vraiment trop bon marché...
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Matthew Vaughn signe un polar musclé, dans la lignée des films de Guy Ritchie, qui tient ses promesses sans témoigner d'une originalité excessive...
Télérama
par Cécile Mury
Rien ne manque à l'exercice, ni la brutalité des scènes d'action, ni les effets de surprise ménagés par une mise en scène énergique. Au-delà de cette efficacité, le récit repose sur un parti pris original : montrer le trafic comme une activité commerciale ordinaire, bien intégrée au tissu social. Un premier film prometteur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Véronique Le Bris
De la routine? Pas vraiment. Basé sur le roman de J.J Connolly, Layer Cake est un thriller post-moderne qui demande au spectateur un cerveau bien fait plus qu'une passive fascination pour les effets spéciaux.
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Layer cake (est un) film mort vivant, dépersonnalisé, démembré, condamné à la convulsion d'images permanente sous peine de coma définitif. Rien ne suffit à dissiper ce sentiment de labeur permanent, ce souffle suant du réalisateur à mener ses scènes à bout. Chaque coupe est un ouf de soulagement mêlé de frayeur. Difficile de faire plus pénible.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Julien Camy
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par J.-F. R.
Le personnage principal est-il manipulé ou manipulateur ? Cette question, à laquelle on s'intéresse finalement assez peu, semble demeurer le seul véritable enjeu de cette froide machine artificielle où tout ne semble arriver que par la seule fantaisie du scénariste.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
(...) c'est une baudruche, une machine molle, qui démontre une fois de plus qu'en tentant de pallier son absence d'énergie brute (...), le polar anglais reste un décalque vain et guindé de son modèle américain. Aussi sexy que de la jelly.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
Long travellings envoûtants, bonde-son blindée de classiques pop, héros élégants et tragiques dont la réussite n'est qu'un pas de plus vers leur chute... Scorcese n'a pas déménagé à Londres mais c'est tout comme. (...) Vaughn rejoue la partition avec une telle assurance qu'on aurait presque l'impression d'entendre le morceau pour la première fois. C'est ce qu'on appelle la vituosité.
Brazil
Entre ironie mordante, nihilisme forcené, quête de rédemption, esprit de vengeance et éclair de violence (...), le polar lêché de Matthew Vaughn (...) fait plaisir à voir. Surtout à cause du fascinant Daniel Craig
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Mad Movies
Matthew Vaughn a su se démarquer de l'influence embarrassante de Guy Ritchie. Le réalisateur se réclame au contraire de Martin Scorcese, Michael Mann et même David Fincher (...). S'il n'atteint jamais les cimes de ses influences, il optimise cependant l'intrigue tarabiscotée de Layer Cake par un savoir-faire indéniable.
Paris Match
Cet excellent thriller est du pur british (...) Flegmatique, totalement immoral, délicieusement cruel, subtilement humoristique, ce film d'action et d'intéractions multiplie les péripéties et les embrouilles, à tel point qu'il faut une certaine vigilance pour ne pas perdre le fil. A noter la présence du réjouissant Colm Meaney au côté d'un Daniel Craig plus "steve mcqueenien" que jamais.
MCinéma.com
Il y a un peu de tout dans ce Layer cake, malheureusement, si le mélange est assez cohérent, il manque de souffle. L'amateur de scénars mafieux notera l'arrivée des dealers serbes, plutôt efficaces, avec lesquels il faudra désormais compter. A part ça, rien de neuf : du déjà-vu, plaisant à (re)voir, bien fait. Mais sans génie.
Ouest France
Le scénario à tiroirs multiplie les allées et venues, la mise en scène s'y promène sans retenir ses effets. Dans la violence notamment. Mais avec une interprétation solide et convaincue. De quoi ouvrir une fenêtre dans le monde du polar, pour faire voir que le cinéma anglais peut y tenir une place originale.
Positif
Pendant une heure on s'amuse presque des penchants blairiens du sale petit héros dealer et de l'efficacité du sniper serbe, forcement nommé Dragan. Mais le scénario s'offre des rebondissements vraiment trop bon marché...
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Matthew Vaughn signe un polar musclé, dans la lignée des films de Guy Ritchie, qui tient ses promesses sans témoigner d'une originalité excessive...
Télérama
Rien ne manque à l'exercice, ni la brutalité des scènes d'action, ni les effets de surprise ménagés par une mise en scène énergique. Au-delà de cette efficacité, le récit repose sur un parti pris original : montrer le trafic comme une activité commerciale ordinaire, bien intégrée au tissu social. Un premier film prometteur.
Zurban
De la routine? Pas vraiment. Basé sur le roman de J.J Connolly, Layer Cake est un thriller post-moderne qui demande au spectateur un cerveau bien fait plus qu'une passive fascination pour les effets spéciaux.
Chronic'art.com
Layer cake (est un) film mort vivant, dépersonnalisé, démembré, condamné à la convulsion d'images permanente sous peine de coma définitif. Rien ne suffit à dissiper ce sentiment de labeur permanent, ce souffle suant du réalisateur à mener ses scènes à bout. Chaque coupe est un ouf de soulagement mêlé de frayeur. Difficile de faire plus pénible.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Le personnage principal est-il manipulé ou manipulateur ? Cette question, à laquelle on s'intéresse finalement assez peu, semble demeurer le seul véritable enjeu de cette froide machine artificielle où tout ne semble arriver que par la seule fantaisie du scénariste.
Les Inrockuptibles
(...) c'est une baudruche, une machine molle, qui démontre une fois de plus qu'en tentant de pallier son absence d'énergie brute (...), le polar anglais reste un décalque vain et guindé de son modèle américain. Aussi sexy que de la jelly.