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Un visiteur
5,0
Publiée le 29 octobre 2010
Peut être qu'avec du recul ce film vaudrait un 4 mais sur le coup ce film est plein d'émotion, splendide !! Je pensais que j'allais trouver ça plat, ou peu convainquant mais ... j'ai été agréablement surprise et bien plus encore. Cette histoire d'amour entre l'homme et ces chiens est vraiment merveilleuse. Et le must, Paul Walker m'a vraiment impressionné par sa prestation ! Je ne le pensais pas aussi convainquant dans de tels rôles, Vraiment BON !!
Comme toutes les productions Disney, il faut attendre que les 15 minutes de publicité se terminent, et alors ca commence : On découvre avec émerveillement que Jason Biggs est présent au casting, et on se demande toujours comment il a fait pour devenir acteur... De même pour Paul Walker, qui a part une paire d'yeux bleus n'a rien a montrer au public. Des acteurs ridicules, qui ont la triste tache de devoir sortir a longueur de temps des répliques d'une médiocrité presque amusante. Pourtant, l'histoire est belle, a la suite d'une catastrophe, tout le monde est sauvé, mais les chiens de traineaux restent sur place malheureusement, et vont se débrouiller seul pour survivre et retrouver leur maitre, et d'ailleurs il est important de souligner que les passages sans acteurs, avec juste les chiens, sont parfois presque intéressants (sauf la scène avec l'Orque te le phoque, qui vraiment dépasse l'entendement par son manque de crédibilité), mais j'ai pas fait le déplacement pour voir un documentaire animalier donc bon... De la pseudo-émotion, du pseudo-rire.. Un pseudo-bon film.
Ce qu’une caméra n’était jamais parvenue jusqu’ici quelque soient les quatre coins de la planète a toujours été un terrain d’investigation de prédilection pour les studios Disney et à part promener la troupe d’Huskies dans un cirque blanc, ne reste que la splendeur naturelle toute donnée ainsi qu’une prouesse d’éleveurs hors limite atteignant sans doute ce qu’on avait fait de mieux jusque là en matière de dressage d’animaux ce qui se traduit à l’écran par de rares instants d’une pure magie. Sujet d’expédition tourné en fiction d’une certaine réalité qui aura donc intéressé plus d’un cinéaste… Le Japonais Koreyoshi Kurahara s’y attaquait en 1984 sur une musique de Vangelis Papathanassiou et partant d’un fait réel situé en 1958 où deux chiens de traîneaux seulement cherchaient à survivre… Tout en s’approchant du documentaire Antarctica de John Welley et David Flatman (40 mn, 1991) Frank Marshall dans son Antartica y rajoute une patte de romance poussée à bout grâce à une technique cinématographique sophistiquée qui doit tout à la docilité dressée des quadrupèdes. Les continents ne seraient-ils plus fixes ou Marshall découvre-t-il que la terre tourne sur elle-même car dans l’ambivalence du titre on s’attend à de mièvres dérives. Antartica qui n’est pas Antarctica mais Frank Marshall peut se le permettre puisqu’il remplace sur l’affiche des Survivants (Alive) de 1993 les hommes par un groupe de chiens polaires et on aura compris que cette fois ce ne seront pas des humains qui lutteront contre le froid quêtant l’hypothétique survie mais les valeureux chiens de traîneaux ! Filmé alors derrière l’oreille ou aux coussinets, côte à côte ou en plongée, l’Husky (-ies) est tenu de près au cours de ses pérégrinations que pas même l’œil humain devenu invisible ne devrait pouvoir saisir si ce n’était compter sur l’ingéniosité du septième Art parvenant ici à faire vivre au spectateur pris à l’état de l’animal leurs aventures glacières en face des yeux loin du traîneaux qu’ils avaient pour habitude de tirer jusqu’à l’épuisement sans agacer. Pour l’aventure, la base du camp d’observation de départ est vite délaissée lorsqu’un scientifique universitaire atterrit pour partir à la recherche d’une météorite noire qui proviendrait de Mercure et l’atmosphère paisible des chiens reposant sur le canapé cuir ou jouant à la table des cartes sera de courte durée… Une étoile filante dans la nuit finissante, au réveil, ça veut certainement dire bonne chance du ciel… Face à face en réduit de couchettes car le scientifique débarqué là par taxi de bimoteur ramène en pilote une amie du guide de la base qui vit son désert blanc en toute quiétude. Son effet de surprise stéréotypé par un « je ne pensais jamais te voir cette année » n’est voué qu’à une courte embrassade de retrouvailles ; c’est du sérieux la chasse à la météorite noire… Photos de famille des « intrépides explorateurs » au départ. Évidemment les sourires dentifrice sur l’immaculée étendue blanche, ça se voit moins… Bave du chien Bok sur le nez d’un des membre du site scientifique et voilà le duo guide / chercheur es science parti loin de la civilisation… Promenade sur les glaciers, franchissement d’un lac surgelé, passe d’une crevasse à la profondeur inconnue, la glace n’est pas très solide hors saison, brisure d’un puits à gouffre et à l’explorateur scientiste d’avoir failli finir au fond de la terre ; une carte postale ciel et blanc animée à se gaver de bonbons au poivre quoi… Nécessité oblige de se demander si l’un a une femme alors qu’on est censé avoir affaire à des scientifiques en voyage d’étude pendant que la demoiselle-pilote égraine le temps en faisant de solitaires réussites avec un jeu de cartes ; ne manquait plus qu’un sérieux problème météo s’en mêle pour que son client soit retardé… Départ pour la tempête de « c’est bien l’endroit où on est » (? !) - là où est tombée la météorite de Mercure - puis évacuation du camp de base mais pas question d’abandonner les chiens candidats volontaires à un hypothétique second voyage stoppé par la plus grande tempête que l’antarctique ait connu en 25 ans ! Et nous ne sommes qu’à mi-parcours… 200 jours de détention sur la banquise pour une meute de chiens où seuls quelques steaks de mouettes serviront de repas… Et pas une pastille Valda pour enrayer tout cela sauf le fond d’une corniche pour mettre fin à la vie de l’un d’entre eux et la menace toujours présente d’un monstre marin pour les effrayer d’une possible nourriture… Les chiens nordiques sont admirables, éveillés et espiègles au caractère typé de chacun. Les filmer en pleine tempête où on ne voit pas à deux pas est déjà un exploit en soi et une mise en scène poussive marquée de certaines lourdeurs invite presque au soulagement lorsqu’au moindre bruit d’un grincement de porte qui s’ouvre on croit entendre le gémissement plaintif des meilleurs amis de l’homme abandonnés au sort d’une passionnante survie.
Un film que j'ai decouvert sans m'attendre a m'y attacher autant ... Une petite merveille pour ceux qui aiment les animaux et la nature , le scenario est tres tres emouvant et sort de l'ordinaire avec aussi des moments d'aventure pour ces chiens qui nous offre ici une prestation vraiment superbe ... Decors splendides , les images sont sublimes ..; Une petite Merveille (j'avoue une fois de plus que je m'attendais a autre chose)
Le rythme du récit, qui alterne maladroitement les scènes humaines et animales, est très mou. Le film est beau, plein de gentilles émotions mais peut-être un peu trop gentil justement. On a du mal à s'attacher aux chiens, leur nombre n'aidant pas à la personnalisation des différents animaux.
Eblouissant, époustouflant , émouvant ... Ce film est un véritable hommage entre la relation qu' entretienne les hommes et les chiens ... un film boulversant comme il n'en existera jamais deux .
Très beau film, à l'hestétique magnifique, grace notemment à son scénario attachant et impeccable. Les décors sont splendides et les chiens absolument remarquabes ... Un régal notemment qu'il s'agit d'une histoire vraie !
Pour ceux qui ont aimé "le dernier trappeur" ou qui aiment les paysages enneigés, le film devrait à peut près leur plaire. Il en est de même pour les enfants qui aiment les animaux. Moi, je me suis carrément embêté pour ne pas dire autre chose. La scène du lion des mers est terriblement frustrante (il se fait voler sa bouffe, il mord gentilment la papatte à un loup et se fait mordre la queuqueue en retour, avant de s'enfuir. Débile !). Joli mais totalement inutile.
Un film pour les fanas d'animaux. On voit ici des chiens extraordinaires qui font de tres bons acteurs :) touchant et poignant, il s'aoute a la longue liste des beaux films tres peux connus, même si vous n'aimez pas les animaux