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Un visiteur
3,5
Publiée le 26 mai 2013
Un film Disney magnifique. On tremble et on est ému par ce groupe de chiens héros laissé de côté. Un vrai film qui traite de la relation et de l'amour éprouvé entre l'homme et ses animaux. Le tout est servi par des images magnifiques. Une vraie réussite !
Bon là j'avoue que je ne vais pas être objective... Ce film me fait pleurer comme une madeleine à chaque fois et je ne me lasse pas de le regarder. Si vous aimez les chiens, et le monde du mushing c'est émotions garanties, si en plus vous aimez les paysages de grand froid, regardez-le !
Un superbe film. Je valide le partage. Une belle réalisation. Merci beaucoup pour les photos. Des paysages magnifiques et des chiens de grande qualité et de gentillesse.
Le film est dans l'ensemble assez classique, car le scenario du film et son déroulement ne surprendra personne. Néanmoins, le film est superbement réalisé : joie, tristesse et compassion nous remplisse le coeur tout au long du film,et c'est ce qui fait la force de antartica. Un très bon film!
Bon film !! Une jolie histoire très émouvante !! C'est incroyable que les chiens puissent rester autant de temps là-bas !! Et en plus c'est d'après une histoire vraie !! L'acteur principal, Paul Walker était bien et les chiens magnifiques !! Un des chiens avait un très beau regard ! De plus, ils étaient très bien dressés. Egalement de très beaux décors naturels !! Bref, un beau film touchant, à voir en famille !!
"Antartica, prisonniers du froid " vient repasser sur HD1, ce qui m'a donné l'occasion de le revoir. Ce que j'aime dans ce film, au demeurant inspiré par une histoire vraie, c'est la sobriété de sa réalisation. Puis, sans tomber dans le mélo, on est presque inévitablement amenés à partager les sentiments et à prendre parti pour l'un des acteurs principaux - Paul Walker de son vrai nom, pour ne pas le citer – victime complaisante des exigences inconsidérées de son client. Parfois un peu " assaisonné " à la sauce Hollywoodienne, mais sans que ce soit réellement perturbant, c'est un film qui appelle au réveil notre sensibilité et qui tend à nous reconnecter à notre ipséité, en nous rapprochant de nos amis les animaux et de nos " frères " les chiens en particulier. Lesquels se joignent le plus souvent à notre vie en nous offrant un amour inconditionnel et une indéfectible fidélité, unique en son genre, et incomparable en tous points dans ses manifestations ... C’est un film très " vrai ", qui finit bien et " Ça j'achète " !... Un dernier point : Paul Walker et Moon Bloodgood forment un très joli couple d'acteurs, vraiment agréable à regarder !...
Sublime! Voilà mon film préféré! Des paysages grandioses, un scénario bien ficelé qui rebondit et vous tient en haleine. Et surtout, chapeau aux réalisateur et maîtres chiens qui ont su transmettre des émotions fortes à travers le regard des chiens. Je n'est jamais été aussi boulversée par des animaux!!! Bravo à Paul Walker qui nous donne une préstation plus que réaliste d'un musher amoureux de ces chiens. Enfin petit plus pour Jason Biggs qui nous dévoile enfin un autre visage que celui que nous avons pu voir dans American Pie, bien qu'il reste dans un registre plutôt comique.
Un film savoureux à regarder en famille ou entre amis. Et surtout n'oublier pas les mouchoirs, l'émotion est au rendez- vous! (c'est le seule film devant lequel j'ai pleuré!)
Une très belle histoire avec de nombreuses scènes émouvantes durant lesquelles il est difficile de ne pas avoir les yeux humides. Un beau moment d'évasion et de dépaysement. Et si comme moi vous aimez les animaux et les chiens allez voir ce film.
Certainement un des meilleurs Disney. Visuellement cest un pur régal, et même sans être un inconditionnel de la race canine, la beauté des huskies et leur interprétation sans faille force ladmiration. On regrettera 2-3 points, notamment l'omniprésence de la musique, l'abus deffets numériques (ratés!) qui dénaturent le film (phoque léopard, pluies détoiles filantes, scène comique des aurores boréales tourbillonnant façon spots déclairage), et le fait que les superproductions americaines ne comprennent toujours pas que le 99% de la planète sen fout de leur ultra-nationalisme (lever du drapeau après 30 secondes de film déja)!
Quel beau film j'ai vu là ! 2H d'aventure et de bonheur avec ces huit chiens de traineaux exceptionnels ! L'histoire vrai de Jack , Max , Maya , Dewey , Truman , Shorty , Buck et Shadow abandonné par leur maitre au milieu de l'antarctique pendant plus de six mois spoiler: dont deux ne survivront pas à ce drame . Un film fait pour moi car les pays froid et les chiens c'est mon dada . 5/5 .
bon film avec une histoire d'amour qui ne fait que alourdir ce film. dommage, mais la caméra est toujours très bien placé. les chiens de traineaux sont très attachant. l'histoire (qui est vrai) touche profondément l'humain sur les autres êtres vivants.
Ce qu’une caméra n’était jamais parvenue jusqu’ici quelque soient les quatre coins de la planète a toujours été un terrain d’investigation de prédilection pour les studios Disney et à part promener la troupe d’Huskies dans un cirque blanc, ne reste que la splendeur naturelle toute donnée ainsi qu’une prouesse d’éleveurs hors limite atteignant sans doute ce qu’on avait fait de mieux jusque là en matière de dressage d’animaux ce qui se traduit à l’écran par de rares instants d’une pure magie. Sujet d’expédition tourné en fiction d’une certaine réalité qui aura donc intéressé plus d’un cinéaste… Le Japonais Koreyoshi Kurahara s’y attaquait en 1984 sur une musique de Vangelis Papathanassiou et partant d’un fait réel situé en 1958 où deux chiens de traîneaux seulement cherchaient à survivre… Tout en s’approchant du documentaire Antarctica de John Welley et David Flatman (40 mn, 1991) Frank Marshall dans son Antartica y rajoute une patte de romance poussée à bout grâce à une technique cinématographique sophistiquée qui doit tout à la docilité dressée des quadrupèdes. Les continents ne seraient-ils plus fixes ou Marshall découvre-t-il que la terre tourne sur elle-même car dans l’ambivalence du titre on s’attend à de mièvres dérives. Antartica qui n’est pas Antarctica mais Frank Marshall peut se le permettre puisqu’il remplace sur l’affiche des Survivants (Alive) de 1993 les hommes par un groupe de chiens polaires et on aura compris que cette fois ce ne seront pas des humains qui lutteront contre le froid quêtant l’hypothétique survie mais les valeureux chiens de traîneaux ! Filmé alors derrière l’oreille ou aux coussinets, côte à côte ou en plongée, l’Husky (-ies) est tenu de près au cours de ses pérégrinations que pas même l’œil humain devenu invisible ne devrait pouvoir saisir si ce n’était compter sur l’ingéniosité du septième Art parvenant ici à faire vivre au spectateur pris à l’état de l’animal leurs aventures glacières en face des yeux loin du traîneaux qu’ils avaient pour habitude de tirer jusqu’à l’épuisement sans agacer. Pour l’aventure, la base du camp d’observation de départ est vite délaissée lorsqu’un scientifique universitaire atterrit pour partir à la recherche d’une météorite noire qui proviendrait de Mercure et l’atmosphère paisible des chiens reposant sur le canapé cuir ou jouant à la table des cartes sera de courte durée… Une étoile filante dans la nuit finissante, au réveil, ça veut certainement dire bonne chance du ciel… Face à face en réduit de couchettes car le scientifique débarqué là par taxi de bimoteur ramène en pilote une amie du guide de la base qui vit son désert blanc en toute quiétude. Son effet de surprise stéréotypé par un « je ne pensais jamais te voir cette année » n’est voué qu’à une courte embrassade de retrouvailles ; c’est du sérieux la chasse à la météorite noire… Photos de famille des « intrépides explorateurs » au départ. Évidemment les sourires dentifrice sur l’immaculée étendue blanche, ça se voit moins… Bave du chien Bok sur le nez d’un des membre du site scientifique et voilà le duo guide / chercheur es science parti loin de la civilisation… Promenade sur les glaciers, franchissement d’un lac surgelé, passe d’une crevasse à la profondeur inconnue, la glace n’est pas très solide hors saison, brisure d’un puits à gouffre et à l’explorateur scientiste d’avoir failli finir au fond de la terre ; une carte postale ciel et blanc animée à se gaver de bonbons au poivre quoi… Nécessité oblige de se demander si l’un a une femme alors qu’on est censé avoir affaire à des scientifiques en voyage d’étude pendant que la demoiselle-pilote égraine le temps en faisant de solitaires réussites avec un jeu de cartes ; ne manquait plus qu’un sérieux problème météo s’en mêle pour que son client soit retardé… Départ pour la tempête de « c’est bien l’endroit où on est » (? !) - là où est tombée la météorite de Mercure - puis évacuation du camp de base mais pas question d’abandonner les chiens candidats volontaires à un hypothétique second voyage stoppé par la plus grande tempête que l’antarctique ait connu en 25 ans ! Et nous ne sommes qu’à mi-parcours… 200 jours de détention sur la banquise pour une meute de chiens où seuls quelques steaks de mouettes serviront de repas… Et pas une pastille Valda pour enrayer tout cela sauf le fond d’une corniche pour mettre fin à la vie de l’un d’entre eux et la menace toujours présente d’un monstre marin pour les effrayer d’une possible nourriture… Les chiens nordiques sont admirables, éveillés et espiègles au caractère typé de chacun. Les filmer en pleine tempête où on ne voit pas à deux pas est déjà un exploit en soi et une mise en scène poussive marquée de certaines lourdeurs invite presque au soulagement lorsqu’au moindre bruit d’un grincement de porte qui s’ouvre on croit entendre le gémissement plaintif des meilleurs amis de l’homme abandonnés au sort d’une passionnante survie.