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    The Ballad of Jack and Rose
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "The Ballad of Jack and Rose" et de son tournage !

    Un film, plusieurs tonalités

    La réalisatrice Rebecca Miller résume The Ballad of Jack and Rose : "Ce film raconte à la fois le déclin et la fin de Jack Slavin, l'éveil et l'émancipation de sa fille Rose à la découverte d'une nouvelle identité. L'histoire fonctionne à plusieurs niveaux, avec des ruptures de ton, du pathétique au comique. J'ai cherché à mêler ces tonalités très contrastées parce qu'elles reflètent l'idée que je me fais de la vie."

    Une situation de pré-deuil

    La réalisatrice Rebecca Miller a voulu traiter à sa manière l'émancipation d'une jeune fille et les sentiments que peut alors éprouver l'un des parents. Elle explique : "J'ai cherché à traduire l'état d'esprit de quelqu'un qui s'attend à voir partir sous peu un être auquel il est particulièrement attaché. C'est une situation d'attente, de "pré-deuil". Et parfois, l'amour qui vous lie à cet être est si fort que vous vous attendez à disparaître à sa suite. C'est autour de ce noeud émotionnel que l'histoire s'est construite."

    La communauté hippie

    The Ballad of Jack and Rose évoque indirectement la période hippie, dans laquelle était plongé, jeune, le personnage de Jack. Rebecca Miller, qui s'est inspiré de l'expérience de son frère aîné, qui vécut dans cette communauté à la fin des années soixante, explique son rapport à cette période et l'influence qu'elle exerce sur le long-métrage : "En dépit de ma très grande jeunesse, je fut fascinée par ce milieu, par l'espérance dont il était porteur et la folie qui l'imprégnait, par tous ces gens qui s'essayaient à des comportements extrêmes dans l'espoir d'inventer de nouvelles formes de vie. Et cela m'intéressait de voir comment Jack passait de ce type de collectivité à une forme de repli quasi absolu, en tête à tête avec sa fille."

    Un travail en couple

    The Ballad of Jack and Rose marque la première collaboration de l'acteur britannique Daniel Day-Lewis avec sa compagne, la réalisatrice américaine Rebecca Miller, fille du dramaturge Arthur Miller.

    La révélation Camilla Balle

    La jeune Camilla Belle, la Rose du long-métrage, a été choisie au terme d'un casting qui a vu défiler pas moins de 400 filles âgées de 16 à 20 ans. Daniel Day-Lewis participa à la sélection finale, portant sur une dizaine de candidates. Rebecca Miller décrit Camilla Belle : "Elle dégage une grande pureté. On peut facilement imaginer que Rose n'a pas été affectée par le monde extérieur, qu'elle n'a jamais regardé la télévision et n'a eu aucune expérience sexuelle. D'où l'énorme choc culturel que constitue le débarquement de Kathleen et sa tribu. Camilla est également une actrice très authentique, douée des qualités et de la beauté d'une star à l'ancienne."

    Une si longue absence...

    The Ballad of Jack and Rose marque le retour de Daniel Day-Lewis sur le devant de la scène. Le mystérieux acteur britannique, particulièrement rare sur grand écran, ne s'y était plus illustré depuis Gangs of New York, en 2003, où il incarnait le terrible "Boucher".

    Présenté à Deauville

    The Ballad of Jack and Rose a été présenté lors du Festival du Film Américain de Deauville 2005, hors-compétition.

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