Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Elisabeth Lequeret
En route fonctionne (...) sur le trop-plein: le désir sexuel qui sature chaque plan finit pas contaminer tous les membres du trio, s'épuisant en vaines combinatoires (...). Contrairement à ce que suggère son titre, En route est un huis clos: le paysage à découvrir n'est jamais que le corps de l'autre.
Le Monde
par Thomas Sotinel
La nécessité de l'expansion territoriale, l'insupportable exigence de l'unité communautaire, la soudaine remise en question de sa légitimité au contact de l'étranger, la tentation meurtrière qui répond à cette menace : autant de questions qui, sans qu'ils s'y réduisent pour autant, taraudent ces films et semblent remettte sur le métier du jeune cinéma allemand de vieilles hantises qu'on dit aujourd'hui enterrées.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Dans l'ensemble, c'est élégant, léger, allusif, subtil, qu'il s'agisse de plans séquences ou d'ellipses. Rien à voir avec la lourde artillerie du cinéma d'auteur français qui, dans le meilleur des cas, reste corseté, scénarisé, acté, musiqué, décoré à l'extrême.
Positif
par Matthieu Darras
Une histoire sans réel noeud dramatique, des dialogues comme improvisés, une caméra DV légère, un dénouement improbable : En route a les défauts de ses qualités. Il incarne en tout cas à merveille l'était d'indécision de toute une génération [...].
La critique complète est disponible sur le site Positif
Synopsis
par Arnaud Malherbe
Voyage incertain, taraudé par le doute amoureux, les regards en coin et plus quand affinités. Une inquiétante étrangeté qui rappelle, par instants, le magnifique trio délétère du Couteau dans l'eau, de Polanski.
TéléCinéObs
par François Forestier
Road-movie tourné en DV par Jan Krüger, servi par une actrice étonnante, Anabelle Lachatte, En route mélange l'improvisition et un style photo très méticuleux. Incontestablement, Krüger est l'héritier de Wenders.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
par Gaël Golhen
Cette version allemande du Dogme (DV, errance et refus de toute psychologie) finit par lasser, malgré des instants inspirés (notamment dans Marseille).
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Jacques Morice
Quête sexuelle ou sentimentale, parabole autour de la famille recomposée, vague thriller, tout est possible dans ce film elliptique au charme entêtant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Claire Vassé
La lumière, la cadre et les acteurs suffisent à retenir l'attention, mais on attend en vain que le film sorte de sa jolie maîtrise.
Libération
par Gérard LEFORT
Une aventure des corps qui, avec un bel acharnement, envoie paître la psychologie. En sous main, comme un billet doux glissé sous la porte du film, poème griffonné dans sa marge mettant les mots dans un autre ordre, En route écarte sur la table une suite gagnante de tarots irrésolus : briquet, moto, brûlure.
Cahiers du Cinéma
En route fonctionne (...) sur le trop-plein: le désir sexuel qui sature chaque plan finit pas contaminer tous les membres du trio, s'épuisant en vaines combinatoires (...). Contrairement à ce que suggère son titre, En route est un huis clos: le paysage à découvrir n'est jamais que le corps de l'autre.
Le Monde
La nécessité de l'expansion territoriale, l'insupportable exigence de l'unité communautaire, la soudaine remise en question de sa légitimité au contact de l'étranger, la tentation meurtrière qui répond à cette menace : autant de questions qui, sans qu'ils s'y réduisent pour autant, taraudent ces films et semblent remettte sur le métier du jeune cinéma allemand de vieilles hantises qu'on dit aujourd'hui enterrées.
Les Inrockuptibles
Dans l'ensemble, c'est élégant, léger, allusif, subtil, qu'il s'agisse de plans séquences ou d'ellipses. Rien à voir avec la lourde artillerie du cinéma d'auteur français qui, dans le meilleur des cas, reste corseté, scénarisé, acté, musiqué, décoré à l'extrême.
Positif
Une histoire sans réel noeud dramatique, des dialogues comme improvisés, une caméra DV légère, un dénouement improbable : En route a les défauts de ses qualités. Il incarne en tout cas à merveille l'était d'indécision de toute une génération [...].
Synopsis
Voyage incertain, taraudé par le doute amoureux, les regards en coin et plus quand affinités. Une inquiétante étrangeté qui rappelle, par instants, le magnifique trio délétère du Couteau dans l'eau, de Polanski.
TéléCinéObs
Road-movie tourné en DV par Jan Krüger, servi par une actrice étonnante, Anabelle Lachatte, En route mélange l'improvisition et un style photo très méticuleux. Incontestablement, Krüger est l'héritier de Wenders.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
Cette version allemande du Dogme (DV, errance et refus de toute psychologie) finit par lasser, malgré des instants inspirés (notamment dans Marseille).
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Quête sexuelle ou sentimentale, parabole autour de la famille recomposée, vague thriller, tout est possible dans ce film elliptique au charme entêtant.
Zurban
La lumière, la cadre et les acteurs suffisent à retenir l'attention, mais on attend en vain que le film sorte de sa jolie maîtrise.
Libération
Une aventure des corps qui, avec un bel acharnement, envoie paître la psychologie. En sous main, comme un billet doux glissé sous la porte du film, poème griffonné dans sa marge mettant les mots dans un autre ordre, En route écarte sur la table une suite gagnante de tarots irrésolus : briquet, moto, brûlure.