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septembergirl
604 abonnés
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3,0
Publiée le 7 mai 2015
Un film qui constitue, 27 ans après, la suite des deux premiers films de la saga devenus cultes. Une comédie, toujours réalisée par Patrice Leconte, dans laquelle on prend plaisir à retrouver la bande d’amis. Cependant, leurs mésaventures manquent ici quelque peu de saveur et, malgré quelques bonnes répliques, certaines situations frôlent parfois le ridicule. Un simple divertissement, pas vraiment indispensable, qui, par moment, parvient malgré tout à distiller une douce nostalgie !
On aurait pu s'imaginer que des années après ce film serait un désastre. Ce n'est finalement pas le cas. Le film aurait même pu être bien car il commençait bien. Seul problème, l'intrigue débile où Christiane (Dominique Lavannant) ou s'est fait refaite la bouche et qu'on apprend qu'elle a un bras de bêtes. J'ai trouvé ça absolument débile. Sans compter cela se film reste quand même regardable voire pas mal.
Je ne comprends pas que ce film ait pu faire dix millions de spectateurs en France ! Ca ressort du prodige : comment a-t-on réussi à meubler 97 mn avec des gags qui tombent autant à plat et des blagues aussi éculées (le coup du chien échangé) ? Comment a-t-on produire un aussi mauvais film avec une brochette d'aussi talentueux acteurs ? Ils s'y sont d'ailleurs mis à six pour écrire un scénario plat, sans guère de récit soutenu et rempli de poncifs : le nombre dans ce domaine est loin de faire la force. Les joyeux lurons ne semblent pas tellement avoir de plaisir à jouer cette histoire plan-plan. Heureusement, on nous a épargné un Bronzé 4 ! L'affiche prévient pourtant : "les mêmes en pire". Il est vrai que les deux premiers opus étaient bien meilleurs. Certes, ce film a fait de l'argent : il n'a pas auréolé la filmographie de ses géniteurs. willycopresto
Le slogan sur l'affiche était sans doute à prendre au premier degré, sans y voir une forme d’ironie cinglante à laquelle le Splendid nous avait habitués. Le problème vient certainement d'une réunion aussi tardive de ceux qui, travaillant ensemble dans leur jeunesse, avaient contribué à dynamiter pas mal de vieilles idées en matière d’humour en France. Quand bien même on croit retrouver les vieux réflexes, les automatismes, à l'instar d'un vieux couple passant en revue ses points communs, il en ressort tout de même un film bancal, avec quelques saillies drôlatiques mais beaucoup d’approximations. Un peu comme le retour des Trois Frères, voici un film qui arrive bien trop tard et aurait dû être mis en branle à l'époque, dans la foulée du Père Noël est une Ordure, plutôt que des années après, laissant penser à un opportunisme un peu facile; une sensation encore renforcée par le peu de moments réellement mémorables. Quelque chose s'est perdu en route. Entre recyclage et nouvelles idées pas toujours inspirées, ces Bronzés 3 déçoivent.
comment gâcher 2 films inoubliables des années après. je ne comprends toujours pas comment les acteurs ont accepté de tourner ce truc. le jeu des acteurs ne suffit pas. les gags tombent vite à plat.le réalisateurs pensait sans doute qu'en les réunissant on aurait une bonne comédie, mais non ça suffit pas. il faut une histoire. même pas un sourire..
Il auras fallu attendre 27 ans pour retrouver toute la troupe du Splendid et voir enfin une suite aux deux premiers films des Bronzés devenus cultes. Autant le dire tout de suite, autant d'années écoulés entre deux films d'une même franchise ce n'est jamais bon et ça sent souvent le ratage. On en était pas loin tant le scénario est insipide avec des personnages de Nathalie, Bernard et Popeye sans saveur et même souvent chiant tout comme leur mésaventures. Entre spoiler: l'annonce du fils gay, Bernard qui parle de façon énervante, Nathalie qui nous emmerde avec son chien, Popeye qu'on ne reconnait plus, l'histoire des griffures et des lèvres de Christiane ça partait très très mal. Même l'unique chanson qui accompagne l'aventure n'est pas terrible. Et que dire du gâchis d'avoir monté la bande les uns contre les autres. Heureusement que Jérôme, Gigi et Dusse sont la pour nous faire rire et que les 25 dernières minutes rehaussent fortement ce scenario un peut fade. A ce moment la on retrouve enfin l’esprit des Bronzés avec une équipe soudé et complice qui fait défaut durant tout le reste du film et de la nostalgie lorsqu'ils évoquent leurs vacances au ski du deuxième volet qui nous fait un peut oublier le reste. Au final cette suite n'était pas indispensable même si en l'état ça reste un film correcte c'est de loin le moins bon des trois.
Autant le premier volet de la célèbre trilogie française été bien, autant le deuxième été très bien, mais alors le troisième, contrairement à ce que laisse présager le début de cet avis, est mauvais en tout point. On joue sur le succès des précédents pour en faire d'autres, mais là c'est trop, les vannes principales tombent à l'eau, la réalisation et le scénario laissent à désirer, les personnages sont un peu lourds et beaucoup moins convaincants que dans les autres films. Rien ne surpassera « Les Bronzés font du ski », et ce râté ne fait qu'enfoncer l'originalité et l'humour. Sans surprises, un film râté, fade, prévisible et pas toujours très crédible, mais on prend quand même plaisir à retrouver notre bande préférée, on lâche quelques sourires par moment, mais malheureusement ça s'arrête là. Troisième et dernier film de la trilogie, « Les amis pour la vie » valent les très négatives critiques qui leur sont attribués.
Avec le recul, je considère "Les Bronzés 3 - Amis pour la vie" comme un bon film. Beaucoup moins drôle et réussi que les deux premiers volets, certes, mais un film au capital sympathie indéniable. L'évolution des personnages est amusante, en particulier celle de Jérôme et Jean-Claude Dusse. Si l'intrigue est par moments abracadabrante, elle ne se laisse pas moins suivre sans déplaisir aucun. Le personnage de Bernard, interprété par Gérard Jugnot, a tendance à agacer lorsqu'il est en crise, de même les continuels retournements de situation (j'ai couché avec lui, mais en fait non je te disais ça pour te faire marcher) qui tiennent plus de la facilité qu'autre chose et ne sont pas vraiment crédibles. Néanmoins, le charme opère grâce aux comédiens (seule Balasko m'a parfois énervé car j'avais l'impression qu'elle en faisait trop). Les membres du Splendid se sont réunis et on ne va pas bouder notre plaisir, même s'il s'agit d'un plaisir en demi-teinte. Le film n'est pas drôle en soi, il ne réserve pas de situations à se tordre de rire (contrairement aux deux premiers films), mais certaines scènes et répliques font mouche.
Très mal accueillis pas la critique je dois dire que celui ci n'est pas dingue mais au moins il a le mérite de faire marrer. Plusieurs gags sont comique, Clavier et Jugnot sont au top et parviennent a bien faire rire.
Le scénario n'est pas sensationnel mais bon sa se laisse regarder tranquillement. C'est pas la même époque, c'est différent, et sa reste correcte.
Personnellement, je n'ai pas trouver se film : Les Bronzés 3 amis pour la vie si horrible que ça même si je me méfie des suites fait longtemps après le dernier opus de la saga, certes il est beaucoup moins drôle que l'opus précédent et les gags ne volent pas bien haut, mais je l'ai quand même trouver plus drôle que le premier film.
Malgré son carton au box-office et le plaisir de retrouver une équipe que l’on adore, ce troisième volet des « Bronzés » est une vraie déception. Ce n’est pas pour autant une daube, mais on n’y retrouve ni le panache, ni l’extravagance, encore moins la folie des précédents (surtout du second). Un rendez-vous manqué en somme.
Une appréciation moins que moyenne. Le film manque cruellement d'innovation, les personnages n'ont pas suffisamment évolué fondamentalement avec l'âge, comme si les leçons de la vie n'avaient pas atteint ceux ci.... Alors oui, quelques rires cependant par ci par là (la scène où Jugnot pète un câble) mais c'est tout. On est bien loin de la qualité des "bronzés font du ski" que je regarde toujours avec plaisir.
27 ans après, les Bronzés font leur grand retour dans un troisième film un peu trop déjanté ! Jérôme a divorcé avec Gigi, qui se retrouve avec un Jean-Claude musclé et qui change de perruque selon sa chemise, Bernard qui devient hystérique quand il apprend l'homosexualité de son fils, l'esthéticienne qui en veut à Jérôme pour sa bouche défigurée, Popeye qui se fait appeler Robert et qui n'en finit plus d'être avec plusieurs femmes à la fois, ... l'humour prend un coup de jeune et reste efficace malgré des exagérations comme la patte d'ours qui griffe tout le monde et le couple qui baise sous la douche en poussant des cris. Ils en viennent même à se demander qui avait couché avec qui il y a 27 ans... mais aussi la veille ! Un bon retour de ces classiques de la comédie française.
Difficile de faire mieux que les deux opus précédents. En même temps la barre était placée haute et puis l'écart temporel est lointain. Toutefois, si on prend le film en se détachant des deux autres, il faut avouer qu'il est tout de même pas mal. C'était prévisible qu'il nous ferait pas oublier l'excellent Les Bronzés font du ski. Certes les acteurs ont perdu de leur jeunesse, de leur fraicheur mais en aucun cas ils n'ont égaré leur humour. Entre un Jean Claude Duss transformé physiquement mais gardant toute sa loose-attitude, un Thierry Lhermite toujours aussi infidèle, un couple Jugnot-Balasko au top de l'ingratitude et un Clavier appauvri en mode reconquête de sa Gigi métamorphosée en bombe chirurgicale un brin pathétique, tous les ingrédients sont présents pour nous faire rire.