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Robrex
24 abonnés
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2,0
Publiée le 3 avril 2018
Moi qui pensais que ce serait sympa de retrouver cette bande de potes qui a marqué les esprits grâce au deux premiers films, (surtout avec le deuxième), au final, "Les Bronzés 3" s'avère être juste un film créé pour la thune. La troupe du Splendid a beau être agréable à retrouver, le scénario est vraiment nul, les acteurs sont mauvais, l'humour est majoritairement lourd, gras et énervant et la mise en scène est mal gérée. Après, même si ça reste très inférieur au deux premiers films, "Les Bronzés 3" n'est pas un gros navet pour autant. On a fait largement pire que ça dans le cinéma Français, mais je reconnais quand même que c'est pas un bon film. A la limite, les points positifs du film sont Michel Blanc, que j'ai trouvé toujours aussi drôle et sympa à retrouver, et la chanson "Baïla Morena" interprétée par Zucchero. Sinon, le reste du temps, c'est vraiment pas au top. Au niveau des acteurs, à part Michel Blanc qui apporte une présence agréable, les autres membres du Splendid sont vraiment pas très bons. Thierry Lhermitte s'est complètement lâché et est pas vraiment impliqué. Christian Clavier est pas au top non plus, Marie-Anne Chazel fait vraiment peine à voir et en plus est vulgaire. Gérard Jugnot surjoue complètement et est juste soûlant, et Josianne Balasko a beau ne pas être la pire, c'est pas la joie non plus. On retrouve aussi Dominique Lavanant qui est juste moyenne, elle a ses moments drôles mais la plupart du temps, elle en fait trop. Martin Lamotte qui était absent du deuxième film et qui revient dans le 3 sert un peu à rien, et Bruno Moynot est pas très utile non plus. Au niveau des nouveaux acteurs, Ornella Muti peut être bonne au début, mais pas trop vers la fin, Arthur Jugnot est sympa, mais est mis en retrait, et Caterina Murino est juste là pour être la bombe sexuelle de service. En conclusion, "Les Bronzés 3" est pas vraiment un film que je recommande, même si c'est pas une énorme bouse, ça vaut pas le coup. Contentez-vous des deux premiers films, mais celui-là, on va peut-être éviter ! "Les Bronzés 3" est en quelques sortes la première suite de vieille licence de cinéma Français qui fallait pas faire !!
Ok, y a 30 ans qui séparent le 2 et le 3, donc les acteurs prennent un coup et perdent peut-être de leur superbe. Pour ma part, j'ai trouvé Marie Anne Chazel en dessous des autres, mais sinon rien à signaler. Ils ont gardé leurs rôles mais avec ce que l'âge et l'expérience implique. Rappelons-nous que dans le 1 et le 2 ils avaient leurs imperfections.
Passons, le cadre est sympathique, le scénario un peu anecdotique mais encore une fois, le 1 et le 2 avaient rien d'emblématique non plus. C'était de la rigolade, des quiproquos des histoires de cul, des larmes et du rire. -1 pour le dénouement que j'ai trouvé minable. C'est pas la comédie du siècle mais elle termine mieux la trilogie qu'un "les 3 frères 2 "
Certains gags peuvent faire sourire même si on est bien loin des deux premiers films, et certaines péripéties auraient été à bannir, qui peut s’apparenter à du remplissage !
Qui aurait cru que cette suite, vingt-sept ans après "Les Bronzés font du ski", ferait couler autant d’encre au moment de sa sortie en salles ? Des projections presses filtrées au coût mirobolant et franchement honteux de la production (35 millions d’euros qui sont allés pour l’essentiel dans la poche des acteurs-scénaristes), le dernier film de Patrice Leconte a tous les atouts pour s’attirer les faveurs d’un grand public nostalgique des deux premiers volets des aventures d’une bande de Français moyens rediffusées jusqu’à plus soif chaque année sur les chaînes hertziennes. Mais tous les ingrédients aussi pour s’attirer les foudres d’une critique avec laquelle Patrice Leconte n’a jamais eu d’excellents rapports et qui s’est, à raison, offusquée de ses atteintes à la liberté de la presse. Mais à voir le film, on sait pourquoi la troupe du Splendid et le réalisateur avaient tout intérêt à ce qu’il ne soit pas visible avant le fameux verdict du premier jour d’exploitation. Pour atteindre le but fixé pour satisfaire les actionnaires (10 millions d’entrées), "Les Bronzés 3" doit avant tout compter sur la précipitation du spectateur qui n’a rien lu ni rien entendu du contenu de ce nouvel épisode car si le bouche-à-oreille fait son travail, la fréquentation devrait s’essouffler en un temps record. À la fin des années 1970, début des années 1980, lorsque sortent coup sur coup "Les Bronzés", "Les Bronzés font du ski" et "Le Père Noël est une ordure", la troupe du Splendid sait quel public elle vise dans sa peinture au vitriol du trentenaire, Français moyen issu de la classe moyenne. Même si la réalisation de Patrice Leconte et de Jean-Marie Poiré n’avait déjà pas marqué les esprits, les différents films valaient surtout pour leur fraîcheur, leur entrain, leur nombre incroyable de répliques cultes débitées par des acteurs qui n’étaient pas encore encombrés d’une filmographie parfois consternante. Mais aujourd’hui, difficile de ne pas voir dans ces Bronzés-là l’empire que chacun s’est bâti à coups de succès populaires pas toujours glorieux. Le scénario, abracadabrant de bout en bout, n’est qu’un mauvais prétexte à une succession de scènes où chacun va y aller de son insupportable numéro tout en se gargarisant de blagues consternantes sur les Noirs et les homos. Peu aidés par l’absence totale de mise en scène (on ne compte même plus les faux raccords) et de direction d’acteurs, les comédiens s’enfoncent peu à peu dans le grotesque et la caricature. Les fans de la première heure risquent de ne plus voir leurs films cultes de la même manière. Ces retrouvailles forcées, fabuleux prétexte à faire beaucoup de fric avec un minimum d’efforts, sentent à ce point le rance que le spectateur lambda devrait pour une fois ne pas s’y tromper. Ce néant d’une heure trente-cinq est l’exemple parfait de ce qui participe à l’abrutissement des masses. Insulte au septième art, mépris pour le grand public, le bien mal nommé "Les Bronzés 3 : Amis pour la vie" devrait rejoindre les suites malheureuses au panthéon des films honteux du cinéma français
A part l'énorme plaisir de retrouver toute la troupe du splendide ensemble dans leur rôle des bronzés, rien et à sauver dans ce film. On retrouve absolument rien de ce qui a fait le succès des deux premiers, les gags son tous absolument pas drôle. Les personnages ne son plus du tout dans leurs rôle du début. Et que dire de celui de Jean Claude dus tellement drôle dans les deux autres, et tellement pitoyable dans ce volet. Et ses perruque ridicule. Seul le rôle de Christian clavier tiens un peut près la route. Je mais deux étoiles pour le nostalgie. mais très mauvais ses une insulte au bronzé de nos début.
Refaire un nouvel épisode des Bronzés 25 ans après les deux premiers volets, cela sentait l'affaire financière à plein nez pour les acteurs et la destruction du mythe pour les spectateurs... Et pourtant, le film dans sa première partie est une réussite, il sent bon l'été (mais pourquoi le faire sortir en salle en février !!?) et on a un grand plaisir à revoir cette splendide bande ! Chaque acteur retrouve son rôle et le lien avec les volets précédents est bien présent, le film part donc sous les meilleurs hospices. Hélas, le scénario est ridicule et certaines des blagues fils rouges sont de mauvais gouts, ringardes voir absurdes, on pense alors au fils gay, à la chirurgie plastique ou à la bête sauvage... Dommage donc, les bronzés ce sont d'abord des citadins en vacances qui ne comprennent pas le monde où ils sont et pas des bourgeois interprétés justement par des bourgeois... Le film n'est pas mauvais, il est juste dommage que le scénario n'ai pas été plus "intelligent".
Un des pires films du cinéma français, dont on peine à rire, même au second degré, qui a pourtant attiré 10 millions de spectateurs en salle ! J'espère que ce fut par curiosité ! Comme quoi les ventes et la qualité peuvent être très dissociables. Film irregardable même en étant très indulgent envers la troupe du splendide, transformée en ringards aux soucis de petits bourgeois, dont l'une d'eux a des seins siliconés. Blagues lourdes et pas drôles, rien à tirer de ce bide cinématographique, on ne même pas en rire au second degré (comme c'est souvent le cas pour les films ratés), une bouse monumentale.
Un navet, il n'y a pas d'autre mot. L'humour est plat, les acteurs ne sont plus crédibles, un film clairement qui ne méritait pas de succès. Les deux premiers sont bien mieux. Un film bâclé.
Ringard et poussif avec ses acteurs encore hésitants et une réalisation à la limite de l'amateurisme, le premier film de la trilogie m'avait fortement déplu. Le second était plus abouti donc plus drôle. Sans être une très bonne comédie, ce dernier film de la série est mon préféré. Il bénéficie de moyens importants (jolis paysages, BO pêchue...). Les acteurs ont pris de la bouteille mais sont attachants et, cela n'engage que moi, plus amusants qu'à leurs débuts. J'ai été agréablement surpris par certains excès du film comme la poitrine proéminente de Gigi ou la palette de cheveux de Jean-Claude Dusse... Evidemment, le scénario invraisemblable part dans tous les sens, mais c'est un peu l'A.D.N. de la série. Heureusement, le rythme ne faiblit pas jusqu'à la fin quelque peu incongrue.
Dernier volet de la trilogie, plus de 20 ans après le premier film, "Les Bronzés 3 amis pour la vie" est le volet le plus détesté de celle-ci. Ce que je peux comprendre sur le papier, mais que je trouve quand même exagéré. Et sur ce point, je dois forcément m'expliquer. Ce film n'est pas aussi bien que le second épisode, c'est un fait clair et net. Mais je trouve qu'il est quand même plus regardable que le tout premier volet. Certes, la nostalgie vous joue peut-être des tours, mais en étant honnête, le premier épisode de cette trilogie n'avait absolument rien de spécial et il ressemblait bien plus à un vulgaire film amateur. Mais cela reste cependant mon avis, il est vrai. Je ne suis pas un fan absolu de cette licence, je n'ai peut-être pas l'approche nécessaire pour comprendre le problème. Mais avec ce postulat, j'arrive donc bien plus à prendre du recul. Par conséquent, je trouve que ce projet-ci est un film plutôt drôle malgré tout. Le scénario et l'histoire sont certes très classiques, on retrouve toujours le même schéma narratif des vacances. Mais je ne pense pas que ce soit forcément une critique très valable pour attaquer ce film, tant la trilogie n'a jamais été très forte dans ce domaine. La performance des acteurs, par contre, est beaucoup plus appréciable. Étant donné que les acteurs ont énormément appris entre les deux derniers films, cela se ressent, et on les sent toujours autant appliqués dans ces rôles qui leur tiennent certainement très à cœur. Et donc, même si ce film manque parfois un peu de rythme, on reste quand même sur un long-métrage qui se laisse regarder. L'idée du retour fait peut-être du mal à certains, mais j'aime l'idée de développer de nouveaux gags avec des personnages que nous connaissons par cœur. Reprendre les mêmes n'aurait servi à rien, apporter du neuf aide beaucoup à l'inverse. Il n'y a qu'à voir le personnage de Michel Blanc, qui est vraiment transformé ! Ce n'est donc pas un film sensationnel, mais c'est une comédie assez regardable. Elle ne brille pas énormément, mais elle n'est pas non plus une honte quand on sait que cette licence n'a jamais été de très haute qualité de toute façon. Pour conclure, un troisième film appréciable, mais sans plus.
Il y a des retours (comme celui de Renaud, des "Trois frères" ou encore des "Visiteurs") qui n'ont qu'un seul véritable intérêt, celui de guérir les fans inconditionnels d'une nostalgie qu'ils avaient vis à vis de leur idole depuis trop longtemps absente. C'est exactement pareil avec les Bronzés 3. S'ils n'ont jamais été mes "idoles", je reconnais que leurs films d'époque (Bronzés, Bronzés font du ski, Papy fait de la résistance, le père noël est une ordure) sont tout de même de vraies réussite car malgré les dizaines de diffusions faites, on arrive toujours à les redécouvrir avec un certain plaisir. D'ailleurs, au début de ce "Bronzés 3", on peut s'attendre à retrouver l'esprit léger et amical des deux premiers volets, mais on se rend vite compte qu'à chaque gag ou situation comique, ça tombe à l'eau, quand ce n'est pas affligeant. En plus, les jeux d'acteurs sont plutôt mauvais et caricaturaux (notamment Jugnot et Clavier) mais ça tient plus largement du fait de vouloir "reconstituer" ce qui a fait le succès à l'époque. Le problème, c'est que l'insolence de la jeunesse ou l'audace de la liberté artistique repose sur un point essentiel que le Splendide a pu avoir à sa grande époque : faire son truc sans se soucier de l'image renvoyée. Or, ce film est bien l'exact inverse puisqu'il tente d'imiter pâlement ce qu'ont été les films précédents. Bref, un film à côté duquel on peut très largement se permettre de passer. A titre personnel, je conseille plutôt de revoir les films originaux, on a plus de chances de s'amuser même si on les connait presque par coeur.
Les ravages de l'âge... Fou de voir, outre la peau qui se fane pour tout le monde (et dans ce film il n'y a a pas de changements notables...), que le temps peut faire un mal de dingue à l'humour, à la modernité, à l'esprit qui autrefois était brillant, alerte et moderne chez ce groupe d'amis. Ça fait du mal à entendre, à voir, à regarder. Ceux qui dans les années 80 nous ont tant faire rire ont perdu avec ce "film" tout leur talent. En vingt ans tout s'est envolé, laissant place à la ringardise à outrance, la caricature de la caricature, la lourdeur de beaufs, le tout saupoudré de couleurs clinquantes, de dialogues éculés, de maquillage, prothèses, costumes, décors de mauvais goût... bref, quel nauvrage. Le succès a enterré le meilleur d'eux même. Alors oui on ne peut s'empêcher de penser : ils ont pris les sous et ont bâclé le scénario persuadé que ça marcherait ces petits comiques !.. Et on prend le temps de la reflexion, on regarde un peu plus longtemps ce truc et on se dit... bah oui. Et Leconte a beau dire que y a du bon, non, ya rien de bon, et jamais ce film ne sera un bon film, et encore moins une comédie.
L'appât du gain est un moteur puissant, comme en temoigne la présente daube. Patrice Leconte filme comme un manche des comédiens blasés ramasser de la fraiche. Le scénario est à l'unisson de la photo particulièrement laide, quant à la lumière pétaradante, qui écrase les visages, elle mériterait d'être montré en école de cinéma en contre exemple. Christian Clavier tente de tirer la couverture à lui dans toutes les scènes, tandis que Blanc et Jugnot semblent s'ennuyer ferme. Le spectateur est pris en otage.